Très magnifique j'aime beaucoup nenan binta laly sow quand j'écoute ses chansons je coule les larmes en pensant à beaucoup des personnes qui était parmi nous mais qui sont morts aujourd'hui et pourtant c'était des grands hommes en leurs temps malheureusement ils sont partis à jamais 😥 Longue vie à toi nenan binta laly que Dieu vous assiste pour toujours amenn
G suis vraiment sans mot tellement sa me va droit au coeur g les larmes aux yeux parce que sa me rappelle de mon enfance à côté de ma grande mère paix à son,longue vie à toi cher maman binta laly,g t'écoute depuis Hambourg/Allemagne
Les mots ne sont pas suiffisante je vous invites tous qui on les moyens d’essayer d’acheter les morceaux via ITUNES juste pour un soutient ...elle merite
Toujours égale à elle-même, Fatoumata-Binta « Laly » Sow, depuis la fin de la dernière guerre d’extermination déclenchée par les Européens ! Quel âge lui donnez-vous ? ‘‘Ever green!’’, n’est-ce pas ? Toujours verte ! Dans la langue noire de pharaon, « binta » signifie fille, jeune. Elle est toujours alerte alors que son existence n'a été qu'un chapelet de soucis dans l'isolement. La énième tentative de récupération régionaliste et politique de la misère de cette artiste modèle au soir de sa vie n'en est que plus inadmissible. Il n’y a pas longtemps, elle avait dit ses adieux à la scène. Réduite à la dernière extrémité, elle a fait machine arrière en bravant l’âge. Il serait très instructif de lire le reportage, déjà ancien, sans doute passé inaperçu, d’Alimou Sow à ce sujet. Encore un peu et elle deviendra une mendiante dans la capitale, loin de Télimilé, où elle faisait œuvre utile dans le plus grand désintéressement. « Pastorale ? » Que signifie cette appréciation bizarre ? « Pas moderne », n’est-ce pas ? Ce qui est sûr, c’est que le déluge de cacophonie qui l’accompagne au point de la rendre inaudible n’a que de lointains rapports avec la chanson de la gardienne intransigeante de la culture originelle qu’a toujours été Fatoumata-Binta. Il faut le faire en ces temps où les fantassins de l’Occident, fourrés dans toutes nos formations artistiques, montent à l’assaut de la vraie musique noire, devenue une fantomatique « world music », sans contenu ni authenticité. Et voilà qu’un escroc professionnel tenu de rendre compte de ses actes après avoir été jeté dehors convoque, désemparé, le ban et l’arrière-ban pour organiser on se demande quelle « aide humanitaire ». C’était le cadet de ses soucis quand il louait un avion entier afin d’aller rendre des comptes à ses maîtres francs-maçons, friands de fœtus humain, et de recevoir de nouveaux ordres de pillage de nos ressources, en quoi Alpha Condé n'avait rien à lui envier. Suivra, si le temps l'autorise, une mise au point qui devient urgente. dk31032022.
