Moi qui suis un débutant en Langage C , des vidéos comme ça m’aide beaucoup à comprendre certaine chose ,Merci pour l’explication c’est plus clair pour moi… vivement les suites
Ça fait 30 ans que je fais de l'informatique, je me suis dit "je vais rien apprendre mais la vidéo va être chouette, je regarde quand même". Et ben raté, une fois encore voilà une vidéo drôlement bien fichue qui met le point (l'intérêt de la précision des bits) sur quelque chose que j'avais insuffisamment considéré. Bravo Vincent ! La seule question que je me pose encore c'est d'où vient cette fameuse porte ? :)
Et moi qui suis en train de transférer des fichiers sur K7 audio (KCS ; Comodore 64) ou sur K7 VHS (Video Backup System (sur Amiga))... Cette vidéo est super informative. La suite risque d'être plus complexe.
Merci 🙂 Quand je fais le parallèle avec les cassettes audio/vidéo, je veux bien sûr parler de l'utilisation classique où on enregistre de l'audio et de la vidéo analogique. Mais si on utilise ces cassettes pour enregistrer des données informatiques (bruit "de modem") alors il s'agit d'un enregistrement numérique. Donc on bénéficie de la fiabilité du numérique : les données relues depuis la cassette seront strictement identiques à celles qui ont été écrites. Et c'est la même chose avec les disquettes. Toutefois, si le support magnétique se dégrade au fil du temps et des manipulations (ce qui n'est pas rare), alors les bits vont devenir non fiables et on finira par perdre les données. Donc la seule solution pour conserver des données numériques de manière fiable, c'est de faire régulièrement des copies de sauvegarde (en mode numérique) avant que le support physique ne se dégrade. Et comme en numérique une copie d'une copie reste strictement identique à l'original, il n'y aura jamais de perte de données. Remarque : si on fait une copie de cassette de données informatiques avec un copieur analogique (par exemple une radio double cassette), les bits vont perdre en qualité ! Et si on renouvelle l'opération plusieurs fois, ces bits vont finir par devenir illisibles. En revanche, si on fait des copies de ces cassettes de données en mode numérique avec un ordinateur, il n'y aura aucune perte de qualité. On sait qu'il existe pléthore d'utilitaires pour faire des copies de disquettes sur tous les ordinateurs. Mais je ne sais pas s'il existe de tels outils pour faire des copies numériques de cassettes de données... Je suppose qu'il faut lire l'intégralité de la cassette vers la RAM de l'ordinateur, puis l'écrire sur une nouvelle cassette. A condition d'avoir assez de RAM.
@@Vretrocomputing Ou reprendre l'audio de la K7 audio (en wav) et à l'aide de KCS (MS-DOS; Windows 3.1 ou Windows 95) le repasser en fichier. A noter que ça ne marche pas avec les K7 Amstrad CPC 464, ZXSectrum ou Commodore 64 qui doivent être converti à l'aide de logiciel spéciaux disponible sur les PC de nos jours. Il sont ainsi converti de wav en cdt (Amstrad CPC 464). Pour les K7 VHS, c'est plus compliqué car pour la technique Hardware la moins chère, il faut posséder un Amiga A500+ avec le Workbench 1.3 (pour la version 1.5) ou le Workbench 2.1 (pour les versions les plus récentes) minimun + un magnétoscope + le cable devenu presque impossible à se procurer (que j'ai quand même réussi à avoir à Noêl).
A quand le retour des cours Atari ST svp ? Ainsi qu’une vidéo expliquant comment graver 2 TOS sur une EEPROM pour avoir des STE avec double TOS 1.62/2.6 ? D’avance merci. 👍
N'aie crainte, les cours de programmation sur Atari ST vont revenir. J'ai juste fait un petit détour par la théorie. Bien entendu tout cela nous servira par la suite 😎 Et concernant le Bi-TOS, je n'ai pas d'expérience dans ce domaine... mais c'est un sujet clairement intéressant.
@@Vretrocomputing en fait, on utilise une EEPROM de capacité double et on injecte les deux TOS. Ensuite suivant la position d’un interrupteur relié à cette EEPROM, on envoie une tension sur celle ci pour activer la partie basse ou haute de l’EEPROM. J’ai un document à ce sujet.
