BRIAN COHEE: The Psychopathic Teen 

Je me suis dit la même chose c’est tellement beau que les gens du quartier lui ai fait un mémorial

pareil quand j'ais vu le mémorial.

Des frissons à la fin de ce beau monument de bronze...

Un petit rdv chez l’orthophoniste peut-être ?

​@@imFaYaa on a chacun nos difficultés et la condescendance n'est pas forcément utile. Je propose plutôt un peu de bienveillance en ces temps bien compliqués...

L investigation a commencé avec le appelle de la famille. Ce qui est touchant et nouveau sur nos médias se sont les inquiétudes du voisinages pour un sans abri mais je reste dubitatif sur une réelle enquête pour disparition de un marginal au sein de la police soit importante. En effet surtout aux USA avec le grand taux d homicides et disparitions ( le chiffre est inconnu) la police a l ordre de qui elle doit enquête et un meurtre résolu dans une dynastie apporte gloire et médaille, résoudre un meurtre chez un marginal n apporte pas de médaille. Tuer un marginal dont personne soutient sa mémoire lors d un jugement, le meurtrier qui a un travail, une famille et demande clemence à la cours que soit sincère ou théâtrale....juste ou injuste le meurtrier sera punit de très peu de prison. Le contraire sera punit de perpete.

Entièrement d'accord avec vous ! J'aime aussi la pudeur qu'elle adopte quant à certains détails. Il n'est pas forcément nécessaire de connaître les détails scabreux je trouve

Oui, pauvres parents... (memes s'ils n'ont pas été irréprochables, ça n'enlève rien à leur douleur)

En gros il y a la bonne et la mauvaise censure :) Mais qui sera assez pur pour choisir qui la mérite?

Aucune notion de pureté ! La loi est très claire sur l'incitation à la haine. ​@@AliceLaronce

​@@AliceLaronceen tout cas actuellement il y a bien quelqu'un qui décide ce qui doit être censuré ou non, puisqu'il y a une différence de traitement.

@@mathildedebeaune Vu le fourre-tout incroyable qu'est la dernière loi passée à ce sujet (loi SREN) je n'aurais pas osé la sortir celle là. Loi conçue au passage pour et par les saintes élites de notre incorruptible république. Et dont l'application (contraventionnelle, donc même plus de recours) sera laissée à de vertueuses institutions telles que Google et la Police nationale :) En tout cas il est toujours amusant d'entendre couiner à la censure ceux qui l'applaudissent pour d'autres.

@@anaisdumaine5993 De ce que j'en sais, la censure sur youtube est réalisée à 99,99 % par des bots. Quand à savoir qui les programme et pourquoi... Le fameux score ESG apporte un début de réponse.

Elle a tellement géré de A à Z, appeler les parents des enfants qu'elle garde pour que les petits ne soient pas traumatisés par l'arrivée de la police, appeler la police pour dénoncer le crime de son propre fils, se cacher de lui pour qu'il ne se doute pas qu'elle appelle... Elle a fait un sans faute, et on ne peut que comprendre qu'elle puisse être bouleversée à l'idée que le fils qu'elle a mis au monde et élevé ait fini par devenir un meurtrier..

@@valtameri915on voit qu’elle a prit sur elle tout le long et que finalement elle craque et réalise quand elle est au commissariat. C’est vraiment impressionnant, je pense que peu de gens peuvent faire ce qu’elle a fait.

H.s

@@user-lb8jt5oe1p regarder la vidéo en entier serait une bonne idée avant de dire aux autres qu'ils sont hors sujets.

Les pleurs de sa mère m'ont fait pleurer. Je les plains vraiment

Moi

Moi aussi

Grave😁

Mia x infini

Compliqué à dire aussi. Le garçon a 19 ans il a l'air "dans son monde", "excentrique". Ses proches devaient le voir plus comme un original qu'un danger potentiel ou imminent. Ca reste très particulier comme cas, il présentait un potentiel meurtrier qui n'a pas vraiment été pris au sérieux ou suffisamment compris.

Le nombre de parents dans le déni... Je suis prof en collège, un élève est passé en conseil de discipline l'année dernière pour agression sexuelle sur une collègue, il a dit qu'il voulait la viol***, il a écrit des choses absolument abominables sur elle, sur ses fantasmes immondes. L'élève n'a pas été renvoyé, le pauvre c'est pas sa faute il ne sait pas ce qu'il dit, "du sursis", la mère n'a entrepris aucune démarche pour le faire suivre, lors du conseil de discipline elle a dit en toute détente que c'était la faute de la collègue qui s'habillait de manière à déconcentrer les garçons... J'attends juste qu'il s'en prenne à une gamine pour pouvoir dire "on vous avait prévenu". La collègue en question est toujours en arrêt pour dépression, elle prend des anxiolytiques pour dormir et sa plainte n'a toujours pas été traitée sachant que pour les flics "moins de 13 ans il n'aura rien". Un de mes élèves qui flirte carrément avec l'autisme+++ a dit en commission éducative qu'il n'avait qu'une envie prendre une chaise et fracasser tout le monde avec dans la cours parce que les autres élèves le répugnaient. Il tient régulièrement des propos racistes/misogynes mais il n'a rien parce qu'il est "particulier". C'est évident qu'un truc ne va pas avec ce gosse et qu'il est en souffrance mais sa mère refuse de le voir. Un autre reconnu autiste après une crise particulièrement destructrice et un chantage au conseil de dis' a ravagé une salle de classe en sixième, mordu le CPE, frappé des AED, on a été obligés de le garder et de prendre sur nous pendant quatre ans. Il était vulgaire, insultant, menaçant, il terrorisait tout le monde et avait un traitement de faveur hallucinant, en gros les 28 autres élèves devaient céder à tous ses caprices au risque de le "déclencher", on avait un protocole pour évacuer la salle si ça arrivait. Heureusement pour le calmer lui refiler sa tablette fonctionnait la plupart du temps. L'année dernière il a frappé au sol une collègue qui s'est interposée entre lui et les autres élèves dans la rue. Il a fallu cinq passant pour le neutraliser. Toujours rien. En lycée cette année, il a a nouveau pété un câble frappé trois profs, ravagé à nouveau une salle de classe, enfin un conseil de discipline, sachant qu'il parlait de vouloir "couper la t*** d'une de ses camarades au motif que "sa voix l’insupportait". Le respect envers les personnes en situation de fragilité mentale est non négociable mais il faut aussi voir à protéger les gens en fait. Et obliger les parents à soigner leurs gamins avant qu'ils ne tuent des innocents. Et c'est sans compter ceux qu'on garde en sachant très bien le danger qu'ils présentent mais "c'est nous ou la rue et il risque de se faire tuer dans la rue". Du coup un jour d’exclusion pour un couteau au collège, trois jours pour de la drogue et on les traine jusqu'en troisième...

@@libertym4897 Quel mérite vous avez de continuer dans cette profession difficile, mal payée, mal considérée, souvent méprisée ou raillée et qui devient de plus en plus dangereuse !!! La hiérarchie ne vous protège pas, c'est le royaume du "pas de vagues". Entre les élèves qui déraillent, les parents qui sont dans le déni ou dans l'agressivité, les collègues qui ne vous soutiennent pas forcément, les ministres qui soufflent le chaud et le froid, la situation qui devient de plus en plus intenable... on se demande comment les profs n'ont pas encore démissionné en bloc. Et aux concours de recrutement, tiens, comme c'est étrange, il y a moins de candidats que de postes à pourvoir. Sans une immense révolution copernicienne, tout le système menace de s'écrouler. Chapeau aux enseignants qui acceptent encore de se dévouer pour une cause qui fut belle, mais qui ne peut plus remplir sa mission actuellement. Soutien total pour votre témoignage.

En soit il été suivi par un psychiatre que faire d'autre ?

​@@libertym4897étant moi même une femme autiste, c'est assez dingue de voir le traitement différencié entre le filles autistes et les garçons. C'est horrible à dire, mais bcp plus de choses sont passées aux garçons autistes parce qu'on (la société+les parents) tend à les dédouaner de toutes leurs mauvaises actions (sous couvert d'autisme) et à être ultra permissif dans leur éducation. En fait c'est terrible parce que bien évidemment que l'autisme nécessite une approche particulière mais sûrement pas d'être permissif face à des actions violentes envers les autres ! Au final ce type d'approche qu'ont certains parents vient d'une réelle méconnaissance du trouble et d'un manque d'accompagnement qui mène à ce genre de conséquences... À l'inverse, l'éducation genrée fait que les petites filles autistes ont bcp plus d'attentes en termes d'intégration sociale et de ce qui est approprié ou non pr leur genre, donc elles ont une éducation plus stricte qui laisse bcp moins passer ces attitudes violentes et tout écart à ce qui est attendu d'elles (souvent à leur détriment). C'est également pour ce genre de raisons que les petites filles "masquent" plus et que l'autisme est détecté en moyenne beaucoup plus tard (à l'âge adulte). Dans les deux cas, ces deux "extrêmes" ne sont pas bons du tout et comme je disais au début, ça vient réellement d'une méconnaissance en France par rapport au comportement à avoir vàv d'un enfant autiste/le cadre qui doit être placé. On a vraiment 15 ans de retard sur ce sujet, c'est assez pathétique...

Classique aux US assez tristement. Mais il était entouré et c'est peut être le plus important.

@@balladedespendus4265 oui vrai

J'y ai pensé Sophie. C'est malheureusement courant outre-atlantique. 🥺

Et la fascination que nous avons à leur égard !

@@balladedespendus4265 Ce n'est sûrement pas moi qui avait dire le contraire !

Je ne suis pas d'accord. Si elle avait écouté les alertes Warren serait encore là. Le nombre de parents dans le déni... Je suis prof en collège, un élève est passé en conseil de discipline l'année dernière pour agression sexuelle sur une collègue, il a dit qu'il voulait la viol***, il a écrit des choses absolument abominables sur elle, sur ses fantasmes immondes. L'élève n'a pas été renvoyé, le pauvre c'est pas sa faute il ne sait pas ce qu'il dit, "du sursis", la mère n'a entrepris aucune démarche pour le faire suivre, lors du conseil de discipline elle a dit en toute détente que c'était la faute de la collègue qui s'habillait de manière à déconcentrer les garçons... J'attends juste qu'il s'en prenne à une gamine pour pouvoir dire "on vous avait prévenu". La collègue en question est toujours en arrêt pour dépression, elle prend des anxiolytiques pour dormir et sa plainte n'a toujours pas été traitée sachant que pour les flics "moins de 13 ans il n'aura rien". Un de mes élèves qui flirte carrément avec l'autisme+++ a dit en commission éducative qu'il n'avait qu'une envie prendre une chaise et fracasser tout le monde avec dans la cours parce que les autres élèves le répugnaient. Il tient régulièrement des propos racistes/misogynes mais il n'a rien parce qu'il est "particulier". C'est évident qu'un truc ne va pas avec ce gosse et qu'il est en souffrance mais sa mère refuse de le voir. Un autre reconnu autiste après une crise particulièrement destructrice et un chantage au conseil de dis' a ravagé une salle de classe en sixième, mordu le CPE, frappé des AED, on a été obligés de le garder et de prendre sur nous pendant quatre ans. Il était vulgaire, insultant, menaçant, il terrorisait tout le monde et avait un traitement de faveur hallucinant, en gros les 28 autres élèves devaient céder à tous ses caprices au risque de le "déclencher", on avait un protocole pour évacuer la salle si ça arrivait. Heureusement pour le calmer lui refiler sa tablette fonctionnait la plupart du temps. L'année dernière il a frappé au sol une collègue qui s'est interposée entre lui et les autres élèves dans la rue. Il a fallu cinq passant pour le neutraliser. Toujours rien. En lycée cette année, il a a nouveau pété un câble frappé trois profs, ravagé à nouveau une salle de classe, enfin un conseil de discipline, sachant qu'il parlait de vouloir "couper la t*** d'une de ses camarades au motif que "sa voix l’insupportait". Le respect envers les personnes en situation de fragilité mentale est non négociable mais il faut aussi voir à protéger les gens en fait. Et obliger les parents à soigner leurs gamins avant qu'ils ne tuent des innocents.

Ce n'est pas aux parents de soigner leur enfants, mais j'approuve vos constatations concernant le déni et le non suivi medico socio psychologique des enfants et des parents. Ici les parents ont une part de responsabilité, mais le problème est aussi socio économique sans doute. Cela coûte niveau financier et même éducatif.

​@@libertym4897 "J'attend juste qu'il s'en prenne à une gamine pour dire..." Tu vois bien avec ta collègue que c'est horrible d'avoir été victime d'agression sexuelle. Pourquoi espérer une victime encore plus jeune? C'est dégueulasse à penser.

@@alie.b4165 Je n'espère pas que ça arrive. Je dis juste qu'à mon niveau la seule chose que je peux faire c'est d'attendre et rappeler qu'on le savait. L'équipe a saisi tous les leviers, plaintes au commissariat, conseil de discipline, signalement sur le registre santé sécurité du collège et on ne peut rien faire. La prochaine étape ce sera de constater qu'il aura fait du mal à quelqu'un qui n'a pas le "pouvoir" de se défendre vu que nous n'avons pas le pouvoir de les défendre. Ce gamin n'a rien à faire à proximité de jeunes filles.

...ous....que moi je t'écouterais encore des heures....! J'apprécie apprendre avec tes savoirs-faire. Donc merci. Bien à toi chère demoiselle. 😊

...ré...oups : avec tes savoirs pas savoir-faire !

Idem 😊