J'ai oublier de sortir mon linge de la machine et pour régler ce problème j'ai donc relancé un cycle de rinsage et d'essorage de 18 minute avant de le sortir et l'étendre afin que mon linge ne sente pas mauvais. cette video de 8:46 à permis à mon cycle de rinçage de paraître moins long, ainsi, il ne me reste plus que 9:14 à attendre et le temps d'écrire ce message, plus que 6:52. Vous l'aurez tous compris, j'aurai donc mis 3:02 à écrire ce message, (ce qui est un parfait mensonge compte tenu des calcules que j'ai dû réaliser afin de mené à bien ce dernier.) et je me tourne maintenant vers vous monsieur le ministre Éric dupont-moretti, et tiens à vous remercié de ce discours qui m'a permis aujourd'hui, à moi, un homme simple de la société civile, de trouver pour une fois moins long ce cycle de rinçage qui sans cela m'aurai paru interminable. Quand je dit interminable je ne mentionne pas l'idée que vous seriez un homme minable de l'intérieur, je n'y pense même pas. Mais serai t'il un crime de le penser ? Bisou.
autant que marocain jai deux dossiers d'héritage bloqué depuis 12 ans par une administrateur la je commence avoir de l éspoir d avoir mes droits et mon argent d'héritage du Maroc je suis content pour cet avocat qui connait le bon et le mauvais dans tout les tribunaux et chaque profession de la justice soit les juges les avocats les huissiers les administrateurs jéspére que nos dossiers seront débloqués et bonne chance
Le poivrot qui a touché trois cents milles euro en liquide d'une société spécialisé dans le blanchiment d'argent avec laquelle il c'est offert une Maserati a Monaco pour ne pas avoir a déclaré le véhicule aux impôts est votre ministre de la justice. 😆😊😂
@@monsieurm3418 L’ego, autrefois enivré par tant de faste, doit désormais s'accommoder d'une sobriété brutale. Ayons, en effet, une certaine compassion ironique pour le départ précipité de Dupont-Moretti, ce "titan du verbe" qui, il y a peu encore, nourrissait l’espoir brûlant de prolonger son règne ministériel. Le voici, du jour au lendemain, dépouillé de ses atours de pouvoir, privé des grâces et douceurs que confère la fonction, laissé seul, « tout nu », face à la réalité crue. Finie l’ivresse du Pouvoir, cette illusion de gravité dans le grand livre de l’Histoire. Disparue, la magie des décisions retentissantes, qui, telles des éclairs, zébraient la scène politique. Le cortège des privilèges s’est évanoui : la voiture blindée et ses vitres teintées, le ballet discret des gardes du corps, l'escorte stridente des motards ouvrant la voie, et le refuge de ce prestigieux logement de fonction. L’ego, autrefois enivré par tant de faste, doit désormais s'accommoder d'une sobriété brutale. Ayons une pensée pour ce ministre de la justice, autrefois accueilli avec ferveur par les détenus lors de ses visites, encensé par ceux qu’il prétendait réformer. Et son départ tant applaudi par une large frange de la population, impatiente de voir écarté un Garde des Sceaux qui considérait l’explosion des crimes et délits comme de simples illusions, de purs fantômes d’une imagination collective trop fertile. Ainsi va la vie politique : l’encens d’hier devient la cendre d’aujourd’hui.
Sa vas nous changer de dati... Et de tous les escales aquis de par leurs cupidité intellectuelle, la France offre sa liberté la France comme toujours revendique les droits de l'homme la France ce revendique de son amour propre impartiale pour une justice libre et indépendante, ce beau pays etonne par son courage et par son peuples grands en justice même si le plus dur reste à accomplir, Robin des bois doit dormir heureux aujourd'hui, ce peuple nous étonnera toujours, au reste des esclaves prend ont de la graines 💪🇫🇷
L’ego, autrefois enivré par tant de faste, doit désormais s'accommoder d'une sobriété brutale. Ayons, en effet, une certaine compassion ironique pour le départ précipité de Dupont-Moretti, ce "titan du verbe" qui, il y a peu encore, nourrissait l’espoir brûlant de prolonger son règne ministériel. Le voici, du jour au lendemain, dépouillé de ses atours de pouvoir, privé des grâces et douceurs que confère la fonction, laissé seul, « tout nu », face à la réalité crue. Finie l’ivresse du Pouvoir, cette illusion de gravité dans le grand livre de l’Histoire. Disparue, la magie des décisions retentissantes, qui, telles des éclairs, zébraient la scène politique. Le cortège des privilèges s’est évanoui : la voiture blindée et ses vitres teintées, le ballet discret des gardes du corps, l'escorte stridente des motards ouvrant la voie, et le refuge de ce prestigieux logement de fonction. L’ego, autrefois enivré par tant de faste, doit désormais s'accommoder d'une sobriété brutale. Ayons une pensée pour ce ministre de la justice, autrefois accueilli avec ferveur par les détenus lors de ses visites, encensé par ceux qu’il prétendait réformer. Et son départ tant applaudi par une large frange de la population, impatiente de voir écarté un Garde des Sceaux qui considérait l’explosion des crimes et délits comme de simples illusions, de purs fantômes d’une imagination collective trop fertile. Ainsi va la vie politique : l’encens d’hier devient la cendre d’aujourd’hui.
