J'ai beau connaître cette oeuvre sur le bout de la mémoire, elle m'émeut toujours autant depuis toutes ces années. Merci de cette interprétation belle et profonde, Anne-Isabelle. Un pur régal !
@@AnneIsabelledeParcevaux Je te comprends ! J'avais travaillé la transcrip' pour piano. Mais ça ne vit vraiment qu'à l'orgue. Encore merci et bravo pour ton Art !
Quand j'ai étudié cette œuvre, j'ai fait souvent dans une église où au même temps je regardais les rayons du soleil traversant les vitraux : pour le prélude et sa variation il semblait comme une bande sonore parfaite.
Au risque de me répéter quant aux commentaires précédents, votre sensibilité dans l'interprétation et dans vos choix de registration sont en tous points remarquables... Mille mercis pour l'amour de cet instrument que vous nous transmettez.
Cette œuvre de César Franck, ici magistralement interprétée, comme toute sa musique a bercé mon adolescence et m’a forgé une âme romantique. Je suis toujours autant ému en l’entendant. C’est peut être aussi à cause d’elle que l’une de nos filles se prénomme Clotilde…
Merci pour ce témoignage personnel. Je vous rejoins complètement. La musique de Franck est particulièrement émouvante. Je suis aussi toujours touchée lorsque j’entends une de ses œuvres pour orgue. Et j’aime beaucoup jouer sa musique, même si j’aimerais parfois avoir de plus grandes mains... 😊
Ah César Franck😍😍😍 En plus par Anne-Isabelle de Parcevaux, ce n’est que du bonheur avec une de ses plus célèbres œuvres. Je ne savais pas qu’elle fut composée à l’origine pour harmonium et piano. Toujours un plaisir pour moi d’entendre la musique de César Franck. Car mon père était organiste suppléant de 1938 à 1945 sur l’orgue de ce compositeur à Sainte-Clotilde. D’ailleurs j’ai appris que vous y aviez donné un concert il n’y a pas si longtemps sur cet instrument. Comme j’aurais voulu y être... En tous les cas j’aime beaucoup votre interprétation. Félicitations👏🏼👏🏼👏🏼 Très bonne prise de son aussi et bravo à la personne qui filme, c’est de très belles images de ce Cavaillé-Coll à Saint Ignace. Cordialement depuis la Suisse. Adrian Schüle.
Merci beaucoup pour votre message. 😊 Je suis ravie que mon interprétation de cette œuvre si connue de César Franck vous plaise. Merci pour vos commentaires sur le son et l’image. Bien cordialement depuis Paris Anne-Isabelle de Parcevaux
André GIDE a appris à jouer cela pour le piano. Cela m'a inspiré mon récit intitulé « Millbay et Millbay », écrit pour les Villes UNESCO de la Littérature.
Mon oeuvre préférée du grand César Franck, par vous fort joliment interprétée, me régale le coeur et l'esprit. On sent qu'elle vous plaît également. Merci pour ce beau moment musical et pour la découverte de ce Cavaillé-Coll que je ne connaissais pas encore.
I´ve listened to this piece (piano version) today for the first time at a concert and wanted to hear the original version as well and found this amazing video. Great work!
Thank you for introducing me to this beautiful piece (Opus 18), which you so excellently interpret. I find it interesting that the rhythm of the first 13 notes of the prelude is exactly the same as the rhythm of first 13 notes of the theme of the last movement of Franck’s Symphony in D minor. While this prelude is written in 9/8 time, and the symphony is in 4, the first four notes share this 1,1,1,2 count pattern. In the symphony this long 2-count produces an element of syncopation. I have often wondered whether that piece, composed in 1888, borrowed this syncopation from a nascent ragtime rhythm. At that time ragtime (an early form of jazz) was popular in the United States and just arriving in Europe. Since his Opus 18 was written in 1862, however, borrowing a ragtime rhythm would be impossible. Maybe Franck just liked this rhythm and he re-used it. Whatever the source for the music, you perform it wonderfully with powerful gentleness. All of us Anne-Isabelle de Parcevaux fans adore you, and we are indebted to you for your grace, talent and commitment to your instrument. Keep the good sounds coming. We will all be listening.
merci RU-vid de permettre la découverte de chaînes telles que celle de Anne Isabelle. Je crois que je vais écouter et regarder toutes ses vidéos en séquence... Au delà de la qualité artistique et d'interprétation évidente - touchante - c'est une chance que la qualité audio et vidéo soit à la hauteur. Quant au sourire énigmatique il est en bonus.
Miss Anne- Isabelle your performimg is wonderful, remarkable. You have The divine spark, from your precious hands The light of The spirit flows. Thanks a lot for sharing this beautiful performimg.
Großes Kompliment, eine wirklich sehr schöne Aufnahme. Wunderbar gespielt und ein wirklich sehr beeindruckendes Video! Vielen Dank für die Mühe es zu teilen!
Cependant, dans la seconde moitié du XIXe siècle, le centre géographique de la musique d'orgue se déplace de l'Allemagne vers la France, en grande partie grâce au travail du facteur d'orgues Aristide Cavaillé-Coll. Ami de certains des plus grands scientifiques français, il a été le pionnier d'une série d'innovations techniques, construisant finalement près de 5 000 organes. Les instruments de Cavaillé-Coll ont inspiré plusieurs générations d'organistes français, à commencer par le Belge César Franck (1822-1890). Franck fut organiste dans plusieurs églises avec les premiers orgues Cavaillé-Coll, servit de délégué artistique, et en 1858 il fut nommé organiste dans la nouvelle basilique de Santa Clotilde à Paris, où il inaugura l'un des meilleurs instruments Cavaillé-Coll. Les improvisations de Franck après les services religieux étaient une grande attraction du public, et il en mit certaines dans les Six Pièces qu'il termina entre 1859 et 1862. Celles-ci exploitèrent pleinement la puissance et les couleurs des orgues Cavaillé-Coll et contribuèrent largement à établir l'école française distinctive. de la musique d'orgue symphonique. Le troisième des Six Pièces est le Prélude, Fugue et Variation, Op. 18, dédié à Camille Saint-Saëns, organiste de grand talent. Les dédicaces de Franck n'impliquent pas de portraits, mais l'équilibre et la clarté du Prélude, de la Fugue et de la Variation suggèrent l'orientation classique de Saint-Saëns. Le fluide Prélude en si mineur a une douce mélancolie, s'ouvrant presque comme le prélude du "Liebster Jesu" de Bach avec trois répétitions d'une phrase déséquilibrée de cinq mesures. La fugue a son propre petit prélude et des textures propres, la polyphonie n'est pas du tout difficile à suivre. Pour compléter l'œuvre en trois parties, la Variation est essentiellement une répétition du Prélude avec un accompagnement plus actif, s'estompant à la lumière du si majeur.
on ne s'en lasse pas , de ce Prélude et Variation de C. Franck, au point de l'écouter avec d'autres interprètes, comme dans cette belle cathédrale de Riga par une belle consoeur organiste, sur un grand instrument de cathédrale . Aucune intention d'établir des comparaisons , juste écouter ce chant si serein de Franck, c'est sublime... ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-tT0_9C2N00w.html&lc=Ugx3k0riedxct-X6IiR4AaABAg
@@AnneIsabelledeParcevaux merci, et très bonne année à vous et à vos proche, pleine de musique assurément tant apaisante qu'excitante. L'orgue s'y prête bien...🎼 🎵🎹🎹🎹
Of course it's a very good interpretation of Franck's Prelude Fugue and variation FWV 30 but I really prefer hearing this work arranged for piano by Harold Bauer (1873-1951).
Beautifully played but sadly the recording was poorly balanced so there was no clarity detail or separation. The overall sound was waffly. Because of that it sounded liks a lot of grumbly notes. Organs in large spaces are hard to record. Having worked for EMI Records in the 1970s I remember how the recordings varied for their Great Cathedral Organ Series - few producers could get the magnitude along with the detail in difficult acoustic situations.
Many thanks for your message. 🙏 I am honored to have such a sound expert in those who watch my videos. I’d like to improve my sound recording, which I am not very happy with. I am not at all an expert. I use two small recorders, one near the organ, the other further away in the nave. Any advice ?
May I make one remark with respect. I think you play this piece is too straight, I main I do not hear the necassary fluctuations in the movement. It is too right on...