Ce sont des extraits issus d'un best of de l'été. Le portrait de Dick Rivers par Antoine de Caunes est entier mais le sketch avec Didier l'embrouille est coupé avant la fin.
C’était quand même belle époque. Ça donnait envie d’allumer sa télé le soir car on savait qu’on allait se marrer et passer un bon moment. Tout ça n’existe pas ou plus désormais, on allume sa télé et au bout de dix minutes on a fait le tour et on a envie de l’éteindre et passer à autre chose. Mais les souvenirs restent intactes.
@@topgeneriques Après ces départs, on avait l'éditorial de Bruno Gaccio, le journal de Moustic, le standard de Jackie, Karl Zero entre autres ; ça fait bizarre de regarder ou plutôt de zapper, ou plutôt d'éviter le Canal de maintenant vers 19h00...
Oui heureusement il y avait tous les autres talents mais Antoine de Caunes était omniprésent, il coanimait l’émission avec Philippe Gildas et puis il y avait cet incontournable rendez-vous du sketch de fin avec José Garcia. La roue tourne, c’était une époque…….
@@topgeneriques La force de cette émission, c'était cette complicité entre De Caunes et Gildas, le père spirituel et le fils insolent. Ils se complétaient à un point que c'est presque impossible de retrouver ça.
j'ai toujours pensé que l'évolution de nulle part ailleurs avec ces agaçants inserts musicaux et plateau démesuré était le début de la fin...ça marchait surtout avec De Caunes /Gildas/les guignols. Garcia a ajouté quelque chose mais karl zéro et cie c'était pas du même niveau
Chacun avait son propre humour et bien différent des autres, il y en avait pour tous les goûts, c'est sans doute une des réussites de cette émission. Quant à l'évolution de NPA là aussi il y en a eu pour tous les goûts si on a connu l'émission dès le départ, j'avoue que ma période préférée est 93/95 et celle de 87 aussi avec les Nuls, on n'avait jamais vu cela à la télé :-)
