Dans la première vidéo de cette série, Richard Isnard soulignait l’importance de la correction de la carence martiale chez l’insuffisant cardiaque, correction qui s’accompagnait à la fois d’une baisse de l’aggravation de la maladie et des hospitalisations. Dans cette deuxième interview, il se penche sur le suivi à organiser une fois que la carence martiale a été dépistée et corrigée : le contrôle est-il nécessaire ? Dans quelles situations et à quelle fréquence ? Ses réponses en vidéo !
4 апр 2024