Un cœur semble battre dans le murmure de la machine à coudre utilisé en fond d'ambiance (a) Dans l'angle mort de la vision humaine tu nous fait dé/couvrir l'entre [corps/machine], esquissé dans ce battement de chair et de son. Aussi, dis-tu "[...] tisser cet entre [corps/machine] dans nos quotidiens, réduit la distance ou les distances du corps avec son milieu", un écho à l'appel de Damasio à rendre furtives nos existences. "L' Art doit contribuer à offrir et proposer des espaces à vivre autrement". Félicitations pour ce travail de recherche utile et passionnant !
®-TROUVER #TEXTEetIMAGE 5 #LesFabriquesdesHIstoires avec un MASTER ®MIX extrait du mur Instagram de #CaroleBrandon avec une mise en page signée par #GaetanLeCoarer www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100642260&fa=author&Person_ID=27073&PublisherGCOICode=27000
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“J'ai prévu quelques remarques touchant au problème de l'exposition, des expositions sur les réseaux et au problème que pose l'exposition d'oeuvres d'art sur internet Je partirai d'une expérience qui est celle qu'en 1972-73 propose l'artiste conceptuel Robert Barry avec une oeuvre intitulée Invitation Piece qui consiste en l'envoi mensuel d'une succession de cartons d'invitation. Le premier est libellé ainsi : ‘Paul Maenz vous invite à une exposition de Robert Barry à la galerie Art & Projects à Amsterdam durant le mois de novembre 1972.‘ Le deuxième comporte la mention suivante : ‘Art & Projects vous invite à une exposition de Robert Barry à la Jack Wendler de Londres durant le mois de décembre 1972.‘ Le troisième est rédigé ainsi : ‘Jack Wendler vous invite à une exposition de Robert Barry à la galerie Léo Castelli de New York durant le mois de janvier 1973.‘ Le suivant : ‘Léo Castelli vous invite à une exposition de Robert Barry à la galerie Yvon Lambert de Paris durant le mois de février 1973.‘ Et ainsi de suite, de New York à Paris, de Paris à Bruxelles, de Bruxelles à Milan, de Milan à Turin et de Turin à la galerie Paul Maenz de Cologne, qui était le point de départ du circuit. L'itinéraire retenu correspond à la fois au temps d'une saison artistique et au voyage accompli par l'artiste-voyageur. Il n'y a évidemment rien à voir dans ces expositions mais ce n'est pas non plus le but. Au contraire, il s'agit alors de montrer que le monde de l'art se limite en général à la distribution sur un échiquier mondial d'un certain nombre d'oeuvres, d'artistes, d'expositions. Toutes choses qui n'ont finalement que peu d'importance comparé au dispositif lui-même qui évolue en circuit fermé : le système de l'art. L'exposition d'oeuvres issues du réseau évoque assez facilement le même genre de problématique. En effet, toute personne ayant accès à Internet pourra se passer de venir voir l'exposition Artifices puisque les oeuvres auxquelles il a accès de chez lui, sont identiques à celles qu'il verra sur le lieu d'exposition; qui plus est, l'intimité et la maîtrise du temps en moins. Comme l'a fait remarquer Jean-Louis Boissier, l'exposition dans le cas de ces oeuvres sur réseau tient dans l'adresse qui figure au catalogue. Adresse qui pourrait d'ailleurs simplement être renvoyée à telle date, sur carton d'invitation comme dans le cas de Robert Barry ou encore mieux, par courrier électronique. Ainsi la fréquentation d'une exposition virtuelle sur un réseau "potentiellement mondial" met en évidence, tout à la fois le caractère global de l'art contemporain, tout en rappelant en quoi celui-ci fonctionne dans une logique de micro-communauté mondiale.“ Jérôme Glicenstein | Artifices 4 | du 6 novembre au 5 décembre 1996 | Salle de la Légion d'Honneur, Saint-Denis | Le laboratoire théorique: Incidence des modèles technologiques sur l'art contemporain www.ciren.org/artifice/artifices_4/Actes/acte2.html
“Je me heurtais de plus en plus au constat que pour telle ou telle visée, le livre n’était plus efficace (pour moi). De fait, si l’on considère qu’une forme (de représentation, de questionnement ou une forme visant à la mise en œuvre d’un autrement) se construit - se cherche - dans une relation de nécessité avec le moment, la réalité qu’elle se donne pour objet (qu’elle travaille), le contexte, les conditions historiques dans lesquels elle s’inscrit, alors il ne faut plus chercher ‘ce que je peux dire avec le texte ou le livre‘, mais quelle est la forme, le format, l’outil, le(s) médium(s) à trouver ‘pour travailler ça‘. En pensant en termes de formes nécessaires et non plus en termes de formes données et naturelles, à un moment donné la question de la sortie du livre (même temporaire, le temps d’un ou plusieurs projet(s)) se posait nécessairement“. Jean-Charles Massera, www.t-pas-net.com/libr-critique/entretien-massera-guide-de-lutilisateur-entretien-de-jean-charles-massera-avec-fabrice-thumerel/
6 лет назад
La question de l'exposition devient - pour paraphraser une œuvre de Pierre Bouchet / Agent d'art - un VOYAGE en X-Positions, stratifié - i-RÉELISÉ - de manière éphémère sur des lieux & sites ®-ORGANISÉS en eSPACES interconnectés. “L'information utilisée comme matériau artistique“ y apparaît et disparaît sur ceux-ci comme un fluide, un flux numérique tantôt souterrain, quelquefois visible. Cet “in/visible“ s'attache à nous encercler comme une meute de chiens de chasse. Nous affole. Afin de nous empêcher d'en cibler les dangers potentiels. Le rôle de l'artiste - a l'instar de Carole Brandon avec son œuvre “La Princesse & son MAC“ s'apparente alors à l'Alien dans le film “Super 8“ (-! de J. J. Abrams sorti en 2011 !-) : toujours pouvoir se décomposer afin de se ®-COMPOSER ailleurs et échapper ainsi à l'encerclement...
O-H !+) La #tradition du #portrait à l’heure de la #reconnaissancefaciale /// #UniversiteJeanMonnetSaintEtienne, 2017 /// #CaroleBrandon ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-MUG58IcrJjI.html