J'ai 75 ans et depuis toujours j'écoute depuis ma plus petite enfance et je suis toujours émerveiller d'écouter ce très grand poète, il est tellement merveilleux, jamais je me lasserais jamais de l'écouter et quand le jour de mon enterrement je l'écouterais encore, car il sera présent pour mon départ pour ce jardin extraordinaire...Et espère le retrouver
Dès que j'entend ls chansons, je retombe lors que ma mémé qui m'a fait découvrir ce gd monsieur de la chanson française. C'est 1 poète français qui ecrivait ses chansons ainsi que leurs musiques. Merci m. Trenet d'avoir bercé ma jeunesse et illuminé ma vie. Un auteur/chanteur/poète français qui me fait oublier ma maladie mentale, je suis schizophrène, et qui me fait voir la vie en rose ou tt du moins la rend + belle. Encore milles mercis m. Trenet. Vs avez redonné des couleurs françaises à notre beau pays qu'est la France.
Extraordinaire Charles Trenet. C'était un merveilleux poète/chanteur comme on en voit peu. Je l'ecoutais en boucle chez ma mémé. Dommage qu'il n'y ait pas bcp de poète comme lui. Ls jeunes de ma génération n'écoutent que des musiques et même ls paroles ne veulent plus rien dire. Moi, j'écoute des chanteurs à textes. R. I. P. Cher gd charles. Je ne t'oublierai jms.,
La musique des années cinquante et soixante a toujours été très bonne, et cette chanson de 1959 ne fait pas exception. Il y avait d’excellents chanteurs et groupes dans ces années-là.
175 - Le jardin extraordinaire REFRAINS 1. C'est un jar-din ex-tra-or-di-nai-re Il y a des ca-nards qui par-lent an-glais J'leur donn' du pain ils re-muent leur der-rière En m'di-sant: "Thank you, ve-ry much Mon-sieur Tre-net" On y voit aus-si des sta-tu-es Qui se tienn'nt tran-quill's tout le jour dit-on Mais moi je sais que dès la nuit ve-nu-e Ell's s'en vont dan-ser sur le ga-zon Pa-pa c'est un jar-din ex-tra-or-di-nai-re Il y a des oi-seaux qui tienn'nt un buf-fet Ils vend'nt du grain, des p'tits mor-ceaux d'gru-yère Comm' cli-ents, ils ont Mon-sieur l'Maire et l'Sous-Pré-fet. Il fal-lait bien trou-ver dans cett' grand' vill' maus-sa-de Où les tou-rist's s'en-nuient au fond de leurs au-to-cars Il fal-lait bien trou-ver un lieu pour la prom'-na-de J'a-voue qu'ce sam'-di-là, j'suis en-tré par ha-sard 2. Dans, dans, dans ce jar-din ex-tra-or-di-naire Loin des noirs buil-dings des pas-sag's clou-tés Y a-vait un bal qu'don-naient des pri-me-vères Dans un coin d'ver-dure, deux pe-tit's gre-nouill's chan-taient Une chan-son pour sa-lu-er la Lu-ne Dès qu'cell'-ci pa-rut tout' ros' d'é-mo-tion Ell's en-ton-nèr'nt je crois la val-se bru-ne Un' vieill' chouett' me dit: quell' dis-tinc-tion. Ma-man dans ce jar-din ex-tra-or-di-nai-re J'vis sou-dain pas-ser la plus bell' des filles Ell' vint près d'moi et là m'dit sans ma-nièr's Vous m'plai-sez beau-coup, j'aim' les homm's dont les yeux brillent. Il fal-lait bien trou-ver dans cett'grand' vill' per-ver-se Un' gen-tille a-mou-rett' un pe-tit flirt de vingt ans Qui me fasse ou-bli-er qu'l'a-mour est un com-mer-ce Dans les bars d'la ci-té; oui, mais oui, mais pas dans 3. Dans, dans, dans mon jar-din ex-tra-or-di-nai-re Un ang' du Bi-zarre, un É-ten-dez-vous sur la ver-te bruy-ère J'vous joue-rai du luth pen-dant qu'vous s'rez ré-u-nis". Cet a-gent é-tait un grand po-è-te Mais nous pré-fé-rions Ar-té-mise et moi La dou-ceur d'un' cou-chet-te Qu'ell' m'fit dé-cou-vrir au fond du bois Pour ceux qui veul'nt sa-voir où c'jar-din se trou-ve Il est, vous l'voy-ez, au c?ur d'ma chan-son J'y vol' par-fois quand un cha-grin m'é-prouve Il suf-fit pour ça d'un peu d'i-ma-gi-na-tion Il suf-fit pour ça d'un peu d'i-ma-gi-na-tion. Parlé Bal de nuit, les oiseaux, les fleurs émerveillées Artémise, ô Douceur, extase de l'Amour, Je vous r'trouverai ce soir, à la veillée, Belle et pareille au premier jour, Et je vous aimerai, sous la clarté lunaire Du jardin extraordinaire... Il suf-fit pour ça d'un peu d'i-ma-gi-na-tion.
Merci beaucoup pour le refrain. Il était pour l'époque un texte assez compliqué à écrire et bien penser pour le créé. Sinon une très belle musique Française très bien interprété.