Fun Fact : c’est Donald Reignoux ( entre autres la voix de spider man Harold dans Dragons Kristoff dans la Reine des Neiges Reese dans Malcolm et pleins d’autres personnages ) qui double Charlie Bucket dans cette version française ( dans le deuxième doublage )
J'ai cliqué, j'ai regardé, j'ai aimé, j'ai abonné, j'ai trop envie de voir la suite! XD Et en effet le film pert tous son message par la mauvaise action de charlie! (PS ton générique m'a limite fait monté les larmes alors que je connais rien à l'histoire derrière gg xD)
sinon quelque points de précision : on sait déjà par l'image que Charlie est pauvre ( cf la scène du confiseur ) avant même que les dialogues de la familles ne le précisent ( et on sait qu'au cinéma l'important viens de l'image ), il ne s'agit donc pas d'éléments d'explications du films mais de précisions voir d'anecdotes. Pareil pour la scène où le grand père parle de la fermeture de l'usine, Charlie rêvait déjà de l'usine avant celle-ci comme un mirage derrière les grilles du portail jusqu'à qu'une voie off qui n'est finalement que celle d'un vieillard chelou ne le remette sur les rails de la réalité.
en fait on va juste pas être d'accord déjà parce que je crois que tu n'as pas compris le message qui sous tend réellement le film : l'aliénation capitaliste. ( tu sais une adaptation ça raconte pas toujours la même chose que l’œuvre d'origine ). Ce qui explique selon moi beaucoup de chose qui paraissent être des défauts ainsi Charlie est imparfait et n'évolue parce que le film veux nous montrer qu'il n'est finalement pas si différents des autres. D'ailleurs, la partie de la chasse au ticket d'or souligne bien cet aspect du personnage, elle présente un monde complétement fou qui semble n'avoir juste plus aucune notion de la valeur des choses. La scène de classe sur le pourcentage le démontre bien puisqu'on parle carrément de centaines de chocolat consommé par tête en moyenne alors je doute que les enfants de cette classe soit tous des gosses de riches au mieux de la classe moyenne et pour la plupart certainement des classes populaires et me rangeant personnellement dans cette case je ne compte pas ma consommation par centaines ( nous sommes pourtant pas en 1971 ). Et dans ce monde qui a perdu toute idée réelle de la valeur des choses arrivent les ticket d'or ( le plus grand coup de com de l'époque ) et là il n'y a plus qu'un désir: les gens veulent des tickets d'or, parlent des tickets d'or, pensent aux tickets d'or, rêvent des ticket d'or,etc, etc ( la seule qui échappe à cette fièvre d[u ticket] l'or c'est une machine puisque c'est la seule qui ne peux littéralement pas être folle ) et justement le bon Charlie n'y est pas insensible. Charlie n'est pas un enfant parfait pas tout à fait un modèle et c'est justement parce qu'au final il est normal qu'il est lui aussi gagné par la folie générale. Mais de plus, cela créé un décalage entre ce que le protagoniste imagine de sa potentielle réussite et de ce qu'elle est réellement : un coup de chance ! Une pièce dans un caniveau ! Le film hurle à la gueule du spectateur que la fortune de Charlie ne viens que d'un coup du sort. C'est ça que dis le film la frustration et la création du désir chez Charlie l'amène à penser qu'il mérite par ses propre qualités le ticket d'or alors qu'il n'en est rien ( ce que sa daronne lui avait dit ). Charlie n'est qu'un chiffre parmi les chiffres, un Charlie sur des milliards d'enfants qui n'auront pas le ticket d'or, un Charlie sur des millions de Charlie voir sur des millions de moins de chanceux que Charlie. Ainsi, la scène finale ne montrent pour moi pas tant la récompense de Charlie que la corruption de Charlie qui est à l’œuvre. En effet il n'est pas aussi méritant de gagner la chocolaterie qu'il penserait. Bien qu'un peu plus que les autres concurrents parce que désolé que espièglerie de Charlie est pour moi bien peu de chose au vu de ce que représente les défauts des autres enfants. Mais en soit on n'est d"accord Charlie ne mérite pas ses friandises et quand il rentre les quémander il rentre dans le bureau de mr Wonka fait d'une partie de tout montrant que ce dernier n'est jamais tout à fait entier. Mettant Charlie et son grand-père face à leur fautes, ce dernier réagit violemment comme un enfant qui n'aurait pas obtenu la friandise qu'il réclamait comme si les adultes ne valaient pas mieux que les enfants ( et les enfants pas mieux que les adultes ). Mais pris de remord Charlie accomplis sa bonne action du jour et rend le caramel à mr Wonka et le voila soudainement récompensé par ce simple geste. Ce que montre donc la scène final c'est que Charlie n'est pas réellement récompensé pour ses vertus mais parce qu'il a été au bon endroit, à pris la bonne tablette de chocolat, et a commis la bonne faute. En clair il a juste eu et surtout eu de la chance. C'est ça pour moi que le film démontre, parce qu'on ne peut pas prévoir quelles bonnes actions l'on doit accomplir et à quels bons moments l'idée du mérite n'est en définitive qu'illusoire. Et le retour, de Mr Slugworth qui se présente finalement comme associé de Wonka montre non seulement le vrai visage de ce dernier ( ou plutôt son visage complet ), celui d'un magnat de la confiserie sans scrupules et sans état d’âmes, mais en plus le héros du film était corrompu depuis le début au point qu'il avait cru échappé au piège qui s'était déjà refermé sur celui-ci. En conclusion, je dirais que bien plus que l'adaptation de Burton, Charlie et la chocolaterie ressemble plus à un conte cynique qu'un simple conte fantaisiste.
10:58 Dire que Charlie aurait dut être, mais que l'éditeur a refusé! Marrant que tu parle de racisme, puisque dans la première version du roman, les Oompp Loompas étais des pygmées d'Afrique montrée comme des esclave heureux de travailler gratuitement pour Wonka et se nourrissant que de fèves de cacao (Colonialiste à mort) . D'ailleurs marrant que Willy Wonka sois campé dans le prequel à venir pars Timothy Chalamet, donc le dernier grand rôle en date est critiquer pour aspect sauveur blanche! 13:06 et 13:54 Serais-je là des allusion à la théorie comme quoi, les perso de l'œuvres de Roald Dahl représenté les sept péchés capitaux?
