J’ai adoré cette légende de la chasse galerie , pour moi sa reste un classique de la francophonie et une histoire à raconter à nos enfants et au enfants
Oh ! c'est-ce la 1e fois que je entends cette chanson. Pourquoi je l'ignore... mais quel plaisir de découvrir cette chanson Chasse-galerie! Magnifique!
Très peu d'hommes au Québec ont une voix semblable. J'adore Dubois pour ses textes ... nostalgie ce matin du temps de mon début de Cegep. Bravo Claude !!
amazingdany ......Qu’en savez-vous???Vous êtes sans-doute de ceux qui gobent TOUT ce qui est rapporté par les médias!!!Vous ouvrez DAVANTAGE ces revues FAUSSEMENT IDYLLIQUES que les dictionnaires et ça se voit SEULEMENT à la culture de VOS PROPOS!!!Vous n’avez ASSURÉMENT JAMAIS essayé de gratter ce faux vernis qu’on lui a accolé!!Parce que s’il y a quelqu’un qui possède de la DROITURE et de l’AUTHENTICITÉ dans ce milieu;c’est bien Claude Dubois!!!Je juge DAVANTAGE ceux qui MÉPRISENT ODIEUSEMENT un individu SANS SAVOIR et qui préfèrent suivre SCRUPULEUSEMENT les accusations de ces MERDIAS!!!Claude Dubois a connu la pauvreté et s’il a su s’en sortir c’est GRÂCE à son IMMENSE TALENT et à son LABEUR!!!De tout temps il s’est trouvé des personnes HORRIBLEMENT MESQUINES de la RÉUSSITE d’un individu quelconque et c’est ce que je qualifie de RÉELLE PAUVRETÉ!!!Salutations!!! Viviane Dubé (8 février 2018).
Dans leur spectacle "Décembre", la troupe "Québecissime" offre une excellente prestation de la version de Claude Dubois, mélangée avec celle de La Bottine Souriane, "Martin de la Chasse-Galerie". Prestation très réussie.
J'ai justement eu à associer 5 chansons québécoise à sa région administrative dans un examen aujourd'hui. Aux premiers couplets, j'avais reconnu la chanson et j'ai simplement apprécié la voix de Claude Dubois.
Voici où Honoré Beaugrand situe l'action : «On était à la veille du jour de l’an 1858, en pleine forêt vierge, dans les chantiers des Ross, en haut de la Gatineau.» -- La destination : « À Lavaltrie ! lui répondis-je, es-tu fou ? nous en sommes à plus de cent lieues et d’ailleurs aurais-tu deux mois pour faire le voyage [...] » En voyage : « Nous aperçûmes bientôt une éclaircie, c’était la Gatineau dont la surface glacée et polie étincelait au-dessous de nous comme un immense miroir. Puis, p’tit à p’tit nous aperçûmes des lumières dans les maisons d’habitants ; puis des clochers d’églises qui reluisaient comme des baïonnettes de soldats, quand ils font l’exercice sur le champ de Mars de Montréal. [...] C’est Baptiste, le possédé, qui gouvernait, car il connaissait la route et nous arrivâmes bientôt à la rivière des Outaouais qui nous servit de guide pour descendre jusqu’au lac des Deux-Montagnes. [...] Nous allons raser Montréal et nous allons effrayer les coureux qui sont encore dehors à c’te heure cite. [Passage au-dessus de Montréal, ce qui rejoint votre questionnement]. [...] en un clin d’œil nous avions dépassé Montréal et ses faubourgs, et alors je commençai à compter les clochers : la Longue-Pointe, la Pointe auxTrembles, Repentigny, Saint-Sulpice, et enfin les deux flèches argentées de Lavaltrie [la destination]qui dominaient le vert sommet des grands pins du domaine. » Voilà. Si vous voulez vous régaler un peu plus voici le référence : beq.ebooksgratuits.com/pdf/Beaugrand-legendes.pdf Bonne lecture!
Le 737 Max de Boieng , aucune prière ne les empêcheras de voler. Je redoute que cet aéroplane soit renommé. Quand à moi je le nommerais canard boiteux...
on dirait le debut d'une toune qui continue tout le temps. a la longue, l'air de la chanson devient ennuyeuse. c'est pour ca que cette toune n'a jamais ete populaire. c'est ue chanson bouche-trou.