À la suite de nouveaux problèmes de santé, je ne pourrais pas répondre à vos commentaires, je vous prie de m'en excuser. J'en profite pour vous souhaiter de très bonnes fêtes de fin d'année, prenez soin de vous et de vos proches, cela est plus important que le jardinage. À très bientôt, Amitié. JP
super juste pour les fétes ; tkt , comme dit le dicton : noel au lit , promis l'an prochain sera joli ! (NAN g inventé mdr) ; surtout prends bien soin de toi et au plaisir , tchuss JP 😊🖐
Bonjour Jean-Pierre, merci beaucoup pour cette série de vidéos avec Didier, comme a Dider aussi. Sa nous renforce beaucoup dans l'idée des utilisé les matières organiques dans les potager.
Tout d'abord, un grand merci à Didier pour sa réponse dans la video précédente, j'ai la "chance" d'avoir un jardin très composite au niveau de la structure du sol, donc je parlais précédemment d'un sol calcaire pauvre "anciennement" typique des prairies de la basse Meuse mais j'ai aussi une partie de terrain composée de terres de remblais (argile + caillasse) très compacté . Toutefois, ce sol au final me donne beaucoup plus de satisfaction que mon terrain pauvre calcaire car à l'instar de Didier, comme au départ il y avait un mélange de plantes ornementales et de fruitiers, je n'y ai mis que du broyat tout venant , le brf nettement insuffisant en quantité étant réservé à une partie de mes légumes ou alors à mes fraisiers . Ce broyat est étonnement vite digéré par ce sol argileux surtout si je le compare à mon sol calcaire . J'avais déjà essayé de mélanger les sols mais j'ai vite abandonné car c'est un travail colossal surtout de par la configuration de mon jardin qui présente des différences de niveaux ! Eléments favorables à cette décomposition favorable : endroit gardant très longtemps une certaine fraîcheur et pour le broyat "maison" , sa structure favorable à la décomposition rapide car vu les tas énormes de branches que j'avais après nettoyage du terrain, j'avais acquis un broyeur thermique dont une des particularités est de découper dans le sens de la fibre du bois, argument publicitaire utilisé par la firme auprès des entrepreneurs de jardin , dont ils pourraient trouver intérêt à vitesse de décomposition rapide du broyat . Je ne citerai pas la marque. En parlant de paresse, et vu mon âge aussi, je choisis bien souvent à escient de ne plus broyer mes branches (j'ai également des frênes et un érable taillés en têtards pour la production de branches et favoriser par intuition la biodiversité aux alentours)v que je dépose ainsi aux pieds de mes haies et notamment de mes framboisiers, si au départ on a mis du broyat , cela fait le job et en plus, j'ai l'impression de respecter un rythme plus lent et plus naturel d'évolution du vivant !
Sur les remblais, un des problèmes peut être l'absence de vers anéciques : ceux qui font des galeries verticales et qu'on ne voit pas en général (ils sont planqués en profondeur le jour et ne "sortent" que la nuit - ce sont pourtant eux qui font le job, pas les "épigés", qu'on voit - ce sont les vers de surface, des composts, etc...). Les anéciques se reconnaissent par la formation de gros "turricules" à la sortie de leurs galeries. Sur des remblais, il faut parfois les introduire car ils se déplacent peu horizontalement : en moyenne, 1 m par an ! Did67
Bonjour et merci pour votre partage d'informations essentielles pour moi. J'ai une question concernant l'utilisation de foin, n'y a t'il pas trop de graines qui germent par la suite? Merci beaucoup pour votre réponse JL le jardinier
Bonjour Clif, j'ai moi-même utilisé la technique du foin suite aux vidéos de Didier. Je peux confirmer qu'il n'y a pas ou très peu de lever de graines. Il faut bien évidemment que le sol reste toujours couvert. je te souhaite une excellente fin d'année 2022 et plein de bonnes choses pour 2023. 😊👏🎉🧑🌾
Hello, j’ai connu le broyat grâce à J.P. Lorsque je l’ai épandu c’était surtout pour éviter le désherbage et avoir un beau potager. Oui je sais je suis maniaque et j’aime ce qui est assez carré mais si cela est aussi bénéfique pour le potager alors je suis conquise. Seul bémol ça coûte du flouss et c’est pas facile à épandre une grande quantité car ça tue le dos. À bientôt les amis.
Je suis d’accord pour les histoires de faire pipi le plus loin 😂🤣 Surtout que parfois il faut regarder à l’échelle de la décennie ou plus… Avoir pleins de fruit ou des gros fruits une année cela veut rien dire… Je vois mon voisin, « tes butternuts vont être petite, tu en as trop sur tes plants » en effet j’en eu 10/12 par plant mais des petites cela nous aller bien
Bonjour, merci beaucoup, j'esperimente le broya de lierre. Ils debordent chez moi depuis un mur de mon voisin, j'ai juste à couper en petit morceau et tombe sur le sol. J'ai en memoire que la cendre de lierre etait utilisée pour faire la lessive, mais aucune idée si la decomposition du lierre sur le sol apporte des molecules particuliere? Merci.
Bonjour Daniel, à mon sens, même si le lierre à certains produits actifs, lors de sa décomposition, il me semble qu'il perd rapidement ces tanins. Je te remercie pour ce commentaire et je te souhaite une excellente fin d'année 2022 et plein de bonnes choses pour 2023. 😊👏🎉🧑🌾
@@LePotagerdeLunas bonjour jean pierre, je vais voir si je trouve des explications sur la compositions du lierre feuilles et tige verte dans un premier temps, pour la partie plus vieille (bois), comme indiqué surement du Tanin, je le laisse sur le Mur, je taille que la partie verte. Merci et bon rétablissement.
Oui, tu peux maggy, car les tanins disparaissent assez vite, avalés par le sol. Je te remercie pour ton commentaire et je te souhaite une très bonne journée 😊😊😊
Le charbon de bois, c’est tout du carbone. Le rapport C/N explose. Pas bon du tout! Faim d’azote. Il va mettre des décennies pour se décomposer. Autrefois, on brûlait la pointe des pieux avant de des enfoncer dans le sol pour les protéger de la décomposition.
Re bonsoir Marc-Antoine, je ne pourrais répondre à ta question. Mais il est fort probable que cela existe pour récupérer l'eau de pluie et éviter l'évaporation. Excellente fin de soirée 😊😊😊👩🌾
Bonjour Joël, Selon les études et publications de Yves Herody, il est important de surveiller le risque d'accumulation d'humus stables générée année après année. L'accumulation d'humus stables peut entraîner des conséquences négatives telles que la perte de fertilité des sols, une baisse de la biodiversité et une augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Il est donc crucial de mettre en œuvre des mesures pour réduire l'accumulation d'humus stables et pour prévenir ces répercussions négatives. Une étude intrigante qui effectivement peut donner à réfléchir sur le sujet. Pour ma part, je n'ai pas suffisamment de connaissances scientifiques pour me prononcer. Je te remercie pour ce commentaire et je te souhaite une excellente fin d'année 2022 et plein de bonnes choses pour 2023. 😊👏🎉🧑🌾
