Très beau témoignage, j’admire la franchise et la sincérité qu’il faut pour savoir tout sortir ainsi… Perso, 30 ans de « dépression », ou plutôt errance médicale, toute la panoplie de traitement y est passée. on vient enfin de mettre le doigt dessus il y a quelques jours : autisme. Je ne sais qu’en penser pour le moment… Votre vidéo sur Asperger a été la 1ere à me permettre d’ouvrir les yeux (je ne sais pas combien de fois je m’y suis dit : pu**** mais c’est ma vie ça !) ainsi je profite de ce post pour vous dire MERCI 🙏 et bonne continuation 👍
Permettez moi de vous faire cette remarque :on ne se lève un pas un beau matin pour se dire qu'on est dépressif, identifier les causes en amont est la moitié de la thérapie accompagner d' une bonne volonté et surtout le soutien de la famille. Bon courage a vous.
Votre témoignage résonne énormément en moi. Je ne remets pas en cause le diagnostic qui a été posé pour votre cas mais voici (en résumé, même si on ne dirait pas !) mon histoire. En 2000, il m'est arrivé la même chose que vous. J'étais étudiante, je venais de Bordeaux et arrivais à Toulouse où je ne connaissais personne. Comme vous, les souvenirs sont flous. 2 ou 3 mois après mon arrivée, j'ai ressenti des symptômes intenses, du jour au lendemain : hypersomnie (18 heures par jour), fonctions cognitives dans les choux (je ne comprenais rien à ce qu'on me disait ou à ce que je lisais, je ne mémorisais rien, zéro attention, je m'endormais au bout de 3 minutes de télé ou d'une page de roman), plus de force, prise de poids de 10 kg en un ou deux mois alors que j'ai toujours été mince, voire maigre... Je n'allais plus en cours, qui étaient pourtant passionnants, je n'osais en parler à personne et j'ai fini par faire une phobie sociale. Arrivent les partiels, je suis assaillie d'appels téléphoniques de l'école et des autres étudiants qui ne comprenaient pas ce qui se passait (en effet, les places étaient prisées : on avait été reçus après un concours difficile et il y avait un numerus clausus très bas), je m'effondre en sanglots et prends RDV avec le 1er généraliste que je trouve dans les pages jaunes. Diagnostic : dépression sévère. Je me souviens avoir réfuté ce diagnostic et avoir expliqué que oui, j'étais un peu déprimée mais que c'était à cause de ce qui m'arrivait, que ce n'était pas une cause mais une conséquence. Le médecin n'en démord pas et je finis par me laisser faire : antidépresseurs et séances de psy. "Car si vous n'acceptez pas le mot dépression, vous ne guérirez jamais et vous n'irez jamais mieux", martelait-il. Mais pas d'améliorations. Pire même, car je ressentais plein d'effets secondaires des antidépresseurs. Et avec la psy, je finissais pas m'inventer des problèmes que je n'avais pas ! Du moins exacerber des détails au point de les rendre plus importants que ce qu'ils n'étaient. Bref, je laisse tout tomber au bout de 2 ou 3 mois. Et je végète comme ça, en tout, depuis le diagnostic, pendant environ 8 mois. Puis retour à Bordeaux, chez mes parents à qui j'ai dû tout expliquer. Et quelques semaines plus tard, tout va mieux. Mon entourage désormais au courant essaie de me convaincre que j'ai bien fait une dépression "parce que j'étais partie loin du cocon familial". Je ne disais rien mais je savais, je sentais que ce n'était pas ça. La vie reprend son cours, je perds en un mois et demi, sans rien faire de spécial, les 10 kg pris pendant ma "dépression". Tout revient à peu près à la normale mais j'ai toujours du mal à me concentrer et à lire longtemps (alors que j'étais une dévoreuse de livres). En 2006, je pars vivre à l'étranger. Fin 2007 : rebelote... mêmes symptômes. "C'est parce que tu es loin de ta région...". J'ai eu des doutes, j'avoue ! Je suis allée chez un médecin qui m'a fait... une prise de sang ! Car oui, le toubib de Toulouse, il m'avait juste tendu une boite de Kleenex avant de me refiler ses cachetons ! Diagnostic : hypothyroïdie de Hashimoto. Je sais maintenant que ce que j'ai eu sur Toulouse, c'était la phase d'attaque de la maladie (dure entre 6 et 8 mois). Que de retour sur Bordeaux, c'était la "lune de miel" (la maladie se met en stand-by pendant 8 à 10 ans). Et qu'ensuite, la maladie est là jusqu'à la fin de la vie. Je ne remets donc pas en cause votre diagnostic. Mais si vos symptômes refont surface dans les mois ou les 2 - 3 ans qui viennent, demandez un bilan thyroïdien, on ne sait jamais. Il est estimé qu'environ 70% des patients sous antidépresseurs ont en fait un trouble thyroïdien. Ce qui expliquerait que tellement de "dépressifs" sous antidépresseurs n'aillent pas mieux. Merci de m'avoir lue. Bonne journée.
On vit dans une société confortable mais c'est le fruit de la performance. Il faut etre performant en tout et cela est contraire à notre nature humaine.
@@Terrybogard851 Entre la performance et la mauvaise santé mentale et la "pauvreté" et un équilibre moi j'ai choisi mais je ne suis pas matérialiste, ça aide
La monetisation de la tristesse $$$$$ Si un mek peut etre triste ou decouragé ou frustré. Et je peux me faire un paquet de fric en lui vendant mon medicament pourquoi pas
Merci infiniment pour votre témoignage. Ayant vécu un Burn Out et une dépression sévère je me retrouve dans votre parcours. Je sais que j’ai une « fragilité », que lorsque la vie me chahute, je tangue plus que d’autres, alors j’ai mis en place des « routines » auxquelles je m’accroche pour ne pas me noyer. C’est important d’en parler !
Si vous êtes plus fragiles que les autres il y a sans doute une raison personnelle à creuser, c'était mon cas, depuis je ne suis plus fragile car j'évite les situations à risque pour moi
@@jullanana59 Bonsoir Juliana, je me permets un regard sur votre témoignage en lien avec celui de Cilou auquel vous répondez. Être plus fragile que d'autres peut être une nature d'être sans aucunes raisons à creuser. Nous sommes unique face aux choses de la vie, dans nos réactions, actions, comportements... Ensuite, vous précisez que vous n'êtes plus fragile car vous évitez les situations à risques. C'est un choix de vie que vous avez mis en place pour ne plus être face aux stimulations qui entraînent un état d'être fragile. À mon sens, cela ne veut absolument pas dire que vous ne l'êtes plus, cela témoigne juste que vous savez adapter un style de vie à la fragilité qui vous habite. Est ce qu'il y a forcément qql chose à creuser ? Je pense à contrario que si on a la capacité de vivre d'une manière qui respecte ses fonctionnements, que ceux ci soient bien vu ou pas par une société normative, alors nous avons réussis à vivre avec qui l'on est. Être plus fragile que les autres n'est pas une tare sauf dans le monde du développement personnel qui ne tient absolument pas compte des ressources personnelles que chacun peut mettre en place. Comme vous qui savez éviter les situations à risque. Bien sur, si sur le long terme cela est frustrant, limitant, peut être que revoir nos systèmes d'adaptations ou nos choix de vie, sont importants.En tous les cas, être fragile, à mon sens n'est pas un défaut, surtout dans nos société totalement déshumanisées et bloquées sur le "just do it" ! Merci pour votre témoignage.
@@satyaCLaire8118 Bonsoir, pour moi être particulièrement sensible relève de la personnalité mais la fragilité est induite, la mienne vient de ce que j'ai subi avec mon père pervers narcissique, c'est une question de survie pour moi d'éviter les contexts toxiques, je suis devenue totalement intolérante à la dévalorisation et à l'emprise, deux leviers beaucoup trop employés en France par les employeurs et par tout le monde en général concernant la dévalorisation, ça se vérifie constamment sur les RS. Aux Pays Bas ou j'ai travaillé c'est très différents preuve que c'est culturel, pour moi la société française est particulièrement toxique raison pour laquelle on est les champions de consommation de psychotropes en tout genre. Les gens qui refusent le modèle avant covid veulent vivre comme des néerlandais mais ils sont malheureusement français et une mentalité fruit d'une histoire ça ne se change pas avec des lois. Evidemment les consultations des psychologues ne sont pas prises en charges ici, j'ai perdu beaucoup de temps à cause de ça car sans je n'avais pas le recul nécessaire pour sortir de l'emprise familiale, ni pour comprendre à quel point mes repères étaient tordus alors que c'était la source de ma fragilité.
@@jullanana59 Merci pour votre retour. Je suis en accord avec vous vis à vis du constat que vous faites sur le fonctionnement de la société française. Il y a beaucoup à faire, individuellement et collectivement pour changer ce paradigme, ce fonctionnement si "cher" de supérieur à subordonné ! Et effectivement, nous le retrouvons dans tous les systèmes, familial, professionnel, éducatif, politique, religieux... Bref, le courage est encore de mise. Bonne soirée à vous
Je viens aussi apporter mon témoignage, celui d'une femme qui a vécu 44 ans de maltraitance psychologique, physique et je dirai surtout spirituelle, auprès de son mari qu'elle a réussi à fuir.... Toutes ces années de souffrance ont formaté l'être que je suis devenu et m'ont permis de comprendre que la VIE me portait... Je suis à présent forte de cette expérience, et je souhaite à tous ceux qui peuvent entendre, que la VIE est un joyau dont l'appropriation est une JOIE sans limite.....
Merci pour vos 2 dernières vidéos. Bcp de choses ont résonné en moi. Après 2 mois en me levant chaque matin aussi fatigué que je m'étais couché, mon corps s'est mis à dormir 18h par jour et mon esprit était incapable de rester éveillé plus d'1h d'affilée, même durant et malgré les 2 semaines de congés que j'avais au milieu de ces 2 mois. Ma seule volonté était de retourner taffer, même qu'à mi-temps pour ne plus me sentir inutile. Le déclic a été le diagnostique de la psychiatre et j'ai accepté que mon cerveau est grillé et je ne le retrouverai que dans quelques mois => j'ai lâché l'idée de retourner taffer et je reconstruit ma vie à partir du petit b du b.a.ba : j'ai installé habitica sur mon téléphone et je coche mes tâches faites : se doucher, s'habiller, prendre des pauses (en essayant de les apprécier et de ne pas culpabiliser), prendre le soleil 10 minutes, prendre de véritables repas, débarrasser, faire la vaisselle, se laver les dents... et plus d'une douzaine d'autres toutes aussi basiques que ça... Courage à tous.tes celleux confronté.e.s à cela.
Merci pour ce partage. Ma coach m'a proposé de me faire une liste de tâches, ça avait l'air bizarre de se noter douche, s'habiller, brossage de dents etc, choses qu'on devrait avoir l'habitude de faire machinalement, mais ô combien c'est d'une grande aide et permet de rester focalisé sur l'essentiel.
Merci Vincent pour ton témoignage didactique. (Je suis en plein dedans, en sort doucement. Les faits : le premier confinement fait perdre 35 000 € à mon Spa. En conséquence, je démarre une double activité. Puis les clients cessent d'avoir peur du virus, donc du sauna, du hammam, du bain a remous et du massage bien être. Je travaille 6,5 jours sur 7. Puis le coût de l'électricité me conduit à fermer le Spa et le diagnostic officiel tombe à Noël: Je suis Autiste Asperger. Reapprentissage de qui je suis après 5 décennies d'auto maltraitance. Je m'occupe en aménageant ma tiny house. Tout m'est égal. J'ai eu 5 petites entreprises différentes, pas le goût d'en monter une sixième pour nourrir le monstre état. Mon meilleur antidépresseur sont mes poules dont la plus hardie "cocotte" que j'adore. Avec son bec, elle défait mes lacets de chaussures. Je crois que c'est sa façon de me dire "je t'aime". Devenir marginal dans une société malade, c'est signe de bonne santé (...)
Je te souhaite tout le bonheur du monde a plus de 33 ans je subis une dépression avec 2 enfants autistes de catégorie 4 et 5 , c'est très difficile de les voir ainsi et souvent j'en pleure en me culpabilisant car j'ai l'impression que c'est a cause de mon vécu difficile enfant de la guerre et sans parents sans frère ou soeur mais j'ai toujours eu une impression que Dieu m'aidez et que je n'était pas seul 😞 Cependant je suis un peu perdu en ce moment j'ai pris des médicaments tres fort pendant des années et j'ai stoppé tout d'un coup et j'en souffre mais je fais cela pour ne pas me retrouver mort par ma propre responsabilité mais pour aidé mes enfants a chaque fois que je vois un enfant ou une personne autiste j'ai envie de prendre toutes leur souffrance et subir leur difficulté pour qu'ils puissent être bien er se sentir mieux. Cependant je comprends parfaitement que l'autisme n'est pas en réalité une maladie et que c'est a moi de m'adapter. Je te fait beaucoup de calin et je t'encourage sache qu'il y a des personnes qui vous comprennent et vous aime plus comme vous êtes.
❤ je trouve ce témoignage très intense et très courageux . merci pour ce partage . je reconnais bcp d’étape par lesquelles je suis passé, pour moi ( qui suis habituée depuis toujours à être dans le contrôle absolu) le step le plus dur , à été l’acceptation de dire « je vais mal, j’ai besoin d’aide » cela faisait au moins 2 ans et demi que j’aurais du prendre cet arrêt ! je pense que la société n’aide pas à s’autoriser cela, car nous sommes dans une société de performance. Et accepter le traitement , pour moi, c’était une faiblesse … mais aujourd’hui je suis ravie de l’avait fait , et j’en suis pas encore complètement sortie mais au moins je n’ai plus ces idées noires toute la journée !
Je me dit la même chose. Si moi je coule je pourrais pas m'occuper de ma famille. Alors quand je vois que ça va pas je lâche pris, et je m'occupe que de moi
Merci, pour ton témoignage, c'est exactement ce que j'ai vécu, j'étais devenue une loque, tout le monde me fuyait,la moindre chose a faire était devenu une épreuve. Mais le pire problème de la dépression sévère, c'est que personne te prends et la prends au sérieux,le médecin m'avait heureusement prévenu.
La dépression et l'anxiété étaient le fléau de mon existence, je ne pouvais pas être productif en travaillant pour subvenir à mes besoins et à ceux de ma famille, c'était vraiment une mauvaise expérience pour moi, j'ai reçu des recommandations d'un ami proche pour essayer les psychédéliques et quand j'ai essayé les psychédéliques, j'ai été sauvé. ma vie, j'ai pris des microdoses de psychédéliques la première semaine où j'ai commencé, tout a changé pour le mieux, maintenant je suis très productif et efficace dans la vie, c'est la meilleure décision que j'ai prise pour récupérer
Tu as mis des mots sur ce que j ai vecu. J ai tout quitté, pays, amis, je voulais etre seule ( meme si mon conjoint et ma fille m ont suivi) je n arrivais plus à rien. Perso je n ai pas pris de traitement, je me ss tournee sur le temps, la melancolie, parler, parler, ecrire, deverser tt ce que j avais sur le coeur, mes proches ont pris chers, car j ai raconte tout ce qu ils m avaient fait, tout ce que je leur repprocher etc. Le contact avec la nature a ete essentiel, je vis en forêt, entourree, protegee des arbres denses, j ecoute les oiseaux, je regarde la nature. Tous les jours je regarde les arbres, la beaute simple et reelle. Et je me ss dis soit je meure soit je me donne du temps. Aujourdhui le moindre echec mets 2 semaines a etre ingere, gere pour enfin rebondir. Clairement c est plus dur pour moi de rebondir mais j y arrive. Mais punaise c est dur. Je t envoie plein de belles energies, et je te conseille le contact avec la nature. Bisous et merci pr ton temoignage.
J'ai regardé deux fois de suite ta vidéo. Elle m'a touchée et émue. Je te remercie d'avoir témoigné ainsi. Une chose que nous avons en commun lors de ces épisodes dépressifs est la "perte de mémoire " ou plutôt la non-mémoire de ces périodes alors que j'ai, comme toi, une très bonne mémoire, surtout événementielle pour ma part et des choses inutiles. Si je pouvais tracer une ligne temporelle de ma vie, un peu comme la frise historique, elle serait continue par endroits et en pointillés plus ou moins espacés dans les périodes noires. Déjà 3 voire 4 périodes dépressives... Je te rejoins sur l'idée qu'il est absolument nécessaire de "manager" notre énergie vitale interne et indispensable de penser d'abord à soi pour rester sur un fil continu et faire en sorte d'éviter de plonger de nouveau.
Bonjour Vincent Merci pour votre témoignage Je suis un peu en plein dedans , j ai dû me forcer a m arrêter de travailler car mon dos s était complètement bloqué. J ai déjà fait un ou deux épisodes dépressifs Ce qui m a remonté c est la prise de conscience , l écoute de moi même (journal intime et méditation / relaxation + en parler à une amie quand j étais jeune + sports doux : étirements jogging randonnée, + l expression de mes émotions à travers mon piano puis le chant. Aujourd’hui cela n a pas suffi il je dois notamment quitter mon emploi qui s est avéré toxique puis nocif pour ma santé . C est la médecine du travail et mon généraliste qui m ont aidée , aujourd’hui je dois entamer des soins psychothérapeutiques. J ai eu ma période douloureuse « plus de forces et que dormir », j accepte de tout lâcher. Je reprends contact avec la nature et les ballades et joggings en forêt 🌳 qui me soigne ❤. Merci pour votre chaîne , votre fille sur vos genoux pendant la vidéo est un témoignage mignon et plein de douceur
Je pense que les gens à haut potentiel intellectuel doivent à un moment de la journée faire arrêter leur cerveau en accomplissant des activités plus « terre à terre « comme cuisiner ,jardiner , se promener,rire de rien. Le lâcher prise , ne pas chercher la perfection mais plutôt le niveau acceptable dans une activité. Relativiser les choses dans leurs côtés négatifs ou positifs. Je vous souhaite une bonne santé. Merci pour votre témoignage.❤😊
Mais oui c'est ce que j'ai vécu aussi. La perte de l'élan vital, la famille qui vient en aide, une hospitalisation pour lâcher prise, les médoc et la lente et douloureuse remontée à jamais instable Merci pour ce témoignage, ça fait du bien de mettre des mots sur les maux. Et présenté avec le sérieux d'un pro de la santé. Car l'état depressif est mal perçu par la société.
@@danieleb.4684 l’état même des protons est fait de hauts et de bas , c’est la nature de la matière et même de l’onde . J’espère que ces paroles vous feront relativiser les difficultés lors des moments de bas.
Les étapes que j'ai suivies sont semblables à ce que tu nous racontes. Au début, je disais non aux antidépresseurs, mais après six mois, c'est ce qui m'a permis de pouvoir rencontrer une thérapeute sans passer l'heure à pleurer, mais à prendre conscience de ma situation. Merci de ta présence, ton témoignage, car il est important de partager nos expériences afin de pouvoir éclairer certaines personnes et cela est salutaire !
Merci pour ton témoignage, ça fait du bien lorsqu'on peut s'identifier à qq passages, symptômes, etc. même si je ne peux pas m'empêcher d'avoir un écho de tristesse au fond de moi, que ce soit aussi tabou dans notre société d'en parler. Dans mon parcours de soin, on ne m'a pas permis de faire une pause, de dire stop, et ça laisse qqch de terrible en soi, de la résignation, je me sens doublement pénalisée, comme si j'avais besoin de ça. Je suis étudiante, et c'est toujours la carotte pour avancer, réussir et finir ses études. Mais à quel prix. Si on ne prend pas le temps, qui le fera, certaines choses ne sont pas socialement admises comme tu dis, et c'est terrible. J'ai beau entendre des témoignages, je trouve jamais les mots pour en parler, légitimer ce que je vies au quotidien. Lorsqu'on commence déjà par plus se lever de son lit (ce qui est un exemple criant de cette maladie), c'est difficilement compréhensible pour les autres. De mon expérience, ça fucked up le cerveau. J'ai perdu en vocabulaire pour trouver mes mots, ma concentration, ma créativité, rire, sourire...C'est effarant. Effarant que même moi je n'y crois pas, que c'est ça la maladie (à tort, étape 1). Je pourrais en parler pdt des heures. Sujet sous-estimé sachant le nombre de suicide que ça provoque, tu avais cité quelques chiffres dans ta dernière vidéo. Je vois pas encore la lumière au fond du tunnel, je suis bien entourée médicalement parlant, mais je garde espoir. Une dépression est rarement isolée donc c'est aussi qqch à prévoir, malheureusement, avec des armes qu'on se sera faites dans le ou les épisodes précédents pour mieux la traverser la nouvelle qui viendra potentiellement. Pour moi c'est assez blasant et fatiguant, laisser passer la tempête, mais c'est un axe d'amélioration possible, de mon expérience avec la dépression. J'aime réfléchir, j'intellectualise bcp pour m'en sortir, mais c'est assez crevant ma foi quand même X)
Saturation à tous les niveaux depuis 1,5 ans . Abandon du cabinet / patient Merci pour votre témoignage ! Ma courbe remonte doucement , très lentement . Et je découvre en même temps toutes les lacunes : fatiguée essoufflée , plus de souvenir , émotions vide . Je me concentre sur mon corps . Réussit à utiliser mon corps ( tout était bloqué rouille douleur ) j arrive à marcher maintenant , c est long douloureux moral / physique . Merci pour ce témoignage ! Et mon autre objectif : m occuper de mes enfants , le mieux que je peux 😅
C'est vraiment une super vidéo qui prend aux trippes. T'es un mec solide c'est bien et tant qu'il y aura la petite princesse il y aura toujours une sortie !!!
Merci pour ce témoignage 🙏 Ce n'est pas une dépression que je traverse actuellement, mais je me bats contre les conséquences d'un traumatisme... La psychothérapie prend énormément de temps. Votre témoignage m'aide à me rappeler que la chimie du cerveau ne peut que changer progressivement, lentement... Ça me redonne de l'espoir et du courage, merci ❤️
Bonjour et merci à vous Vincent pour votre temoignage dans lequel je me retrouve en parti.N'ayant plus aucun entourage le côté social est le plus compliqué pour moi cependant je m'efforce d'élaborer d'autres stratégies et de ne pas perdre totalement pied.Et puis il y a ma magnifique et adorable princesse de 15ans qui vient de rentrer au lycée bien plus puissante que tous les medocs et psy réunis.,face à elle rien ne demeure invincible.. Aussi quel sourire et joie j'ai ressenti au dernier tiers de votre vidéo lorsque votre petite fille est apparue d'une voix si douce,innocente,aimante comme un ange.Quel plaisir de la voir vous ecouter des yeux même si je me languissais que la vidéo se termine au plus vite pour elle pour qu'elle puisse avoir son papa rien que pour elle.Encore merci pour votre témoignage honnête et positif et ce partage impromptu avec vous,ça m'a fait du bien et j'ai hâte de retrouver ma grande à midi pour lui concocter un bon petit repas.Prenez bien soin de vous et votre famille,plein de bonheur 🌞👍🙏
Merci pour ton témoignage Vincent ça fait du bien d entendre qu'on est pas seul... Comme tu le dis, chaque personne est différente et chaque personne a son histoire.. J'ai touché le fond du fond, après le décès de mon père, donc je sais de quoi tu parles... et grâce à la psychothérapie, 10 ans de psychothérapie, j'ai réussit à remonter la pente mais avec des épisodes de rechute.. ça fait partie de moi, et effectivement le plus dur est l'acceptation d'être en dépression et accepter aussi l'aide de médecins spécialisés + traitement adaptés... ça prend du temps, surtout de trouver le bon traitement, et ça c'est aussi très compliqué...surtout quand tu as 1 corps qui résiste à la douleur, donc aux médicaments.. et qu'en plus il s'habitue vite au traitement.. Ça fait 20 ans que je suis tombée en dépression et ça fait seulement 10 ans que tout c'est stabilisé mais j'ai dû aussi accepter d'avoir 1 traitement à vie et à vivre avec... J'aime beaucoup tes vidéos.. Merci encore pour ton témoignage..
Bonjour, je me reconnais beaucoup dans votre témoignage, j'ai fais un burn out en décembre et je suis toujours en arrêt, j'ai fais pleins d'examens médicaux, pleins de spécialistes et j'ai deux seances de kiné par semaine et une consultation psy. Chez moi ça s'est traduit par des douleurs intenses dans tous le corps, la nuit était le pire je devais prendre du Tramadol et j'ai changé de traitement pour la thyroïde. Le jour où ça s'est passé, mon corps à lâcher et je suis restée allonger 2h après mon boulot. Pendant des mois, le fait d'aller faire les courses étaient perdu comme un marathon de 40km, j'étais essoufflée et épuisée. Aujourd'hui ça va beaucoup mieux mais comme vous dites cette fragilité reste donc on l'accepte et c'est en faisant des petites choses pour avancer petit à petit qu'on sort la tête de l'eau. Courage 💪💪💪 on ressort plus fort après chaque épisode !
Ton témoignage fait beaucoup de bien et me rassure. Je suis en train de passer par là et je ne savais pas que „ne plus avoir envie de voir personne“ était un symptôme. J‘ai toujours pensé qu‘il fallait essayer à tout prix de garder une vie „normale“ pour ne pas sombrer mais je pense que de tout lâcher un moment est un passage obligé et qui va me faire le plus grand bien. 🙏🏼
Merci pour ce témoignage . Je suis en pleine étape 2 et ça m'aide beaucoup. Je suis borderline et bipolaire de type 2 et l'année dernière j'ai connu une grosse dépression. j'en sors petit à petit avec ma psychiatre et ma psychologue. J'apprends chaque jour à me connaître et connaître mes pathologies. Le seul inconnu c'est comment ma relation avec ma femme va évoluer. Je sais que les conjoints sont souvent oubliés ou mal aidés. Ça pourrait être un prochain sujet. Courage à vous et votre belle famille.
J'te suis depuis pas mal de temps sur insta. Tu nous fais sourire souvent, rire parfois... on sent l'hypersensibilité, les migraines ophtalmiques, la fragilité si j'ose dire. Mais là je suis sur le c**! Le réveil, un matin, vidé de tout. Cette horrible sensation "unplugged", dissocié de ce qu'on nomme communément le "burn-out", me fais terriblement flipper ... ça ne prévient pas, ou si, mais on entend pas. Être dans le rouge toute sa vie en se disant "mais si, ça va aller!" ... En tout cas c'est courageux d'en parler et de s'exposer 💯
Bonjour ! Merci beaucoup pour ce témoignage très courageux ! C'est très clair, très construit et sans tabou, bravo ! J'ai connu moi aussi beaucoup d'episodes de dépression profonde et ce qui m'a sorti de cet état borderline c'est trouver la cause de mes problèmes de santé psychologiques qui m'avaient même conduits à des problémes de santé physique. J'ai même dû arreter de travailler plusieurs années tellement j'allais mal. Et je suis entrée en introspection, de manière naturelle mais ça a ete extrêmement difficile à traverser... Et j'ai petit à petit trouvé la principale cause de mon mal être profond. Il y en avait plusieurs mais il y avait surtout un grand traumatisme vecu lors de mon adolescence, à l'origine de mes souffrances grandissantes. J'ai beaucoup cheminé, sur plusieurs années et j'ai compris que mon être tout entier criait au secours et avait besoin d'être entendu, écouté, rassuré, aimé et soigné pour tendre vers la guérison et le mieux-être, afin que je puisse entièrement guerir et me sentir bien. Je suis encore sur ce chemin mais j'ai déjà énormément avancé et je vais beaucoup mieux maintenant depuis plus de 2 ans. C'est une grande victoire ! Et c'est grâce à tout ce chemin parcouru que j'ai pu devenir maman il y a 19 mois ! 😀🎁Pour toutes et ceux qui connaissent des episodes depressifs et burn out ou autres gros problèmes dans leur vie, peut-être qu'il y a une ou plusieurs causes à aller chercher et à trouver et comprendre à l'origine de ces problèmes de santé. Il y a toujours des raisons à toute chose, il n'y a rien qui arrive par hasard dans la vie. Je donne juste mes observations liées à mon vecu, chacun(e) en fera ce qu'il/elle veut. Merci d'avoir tout lu ! Et merci de nous avoir fait partager aussi ce beau moment de l'invité surprise qui vient vour son papa et lui faire des calins ! J'en ai été très emue ! 🙏🥲
Merci. J'aurais mille et une choses à dire pour parler de combien ce témoignage me parle, combien ça m'aide a me sentir moins seule, combien cette vulnérabilité est effrayante etc. Mais surtout merci d'en parler.🙏
@cosmossirius5015 votre vision est un petit peu simpliste. Évidemment la vulnérabilité n'est pas sensée être effrayante en soi. Sauf si c'est ce que j'ai vécu et internalisé dans mon enfance parce que je n'ai pas eu la sécurité émotionnelle me permettant d'accepter cette vulnérabilité. C'est bien beau de dire ça mais très peu sont les gens qui se sentent véritablement en paix avec leur vulnérabilité à cause de blessures plus ou moins graves et plus ou moins vieilles concernant la sécurité émotionnelle. Donc en théorie je suis d'accord avec vous mais dans la vraie vie ça ne fonctionne pas ainsi du tout.
Témoignage très touchant !j ai moi même vécu la dépression pendant des années j ai fait subir un enfer a mes enfants en criant en permanence tristesse colère j ai mit des années a m en sortir après un suivi intense psychologue et psychiatre aujourd'hui ça va mieux mais nul n est a l abri !la dépression est une maladie je ne suis pas a l abri d une rechute je reste vigilante je ne veux pas revivre et faire revivre cet enfer merci a vous pour votre témoignage 👏
Bonjour, Je vous découvre avec cette vidéo et cela m'a touchée particulièrement. En effet, après un burnout en 2016, on m'a diagnostiqué une dépression qui a été associée principalement à mon burnout... De ce fait, après avoir sorti la tête de l'eau et avoir repris une vie "normale", je n'ai pas continué de psychothérapie n'en sentant pas le besoin. Pour moi c'était derrière moi. Le traitement médicamenteux que j'avais était au minimum et même si il a perduré durant tout ce temps je n'ai pas continuer de voir quelqu'un pour parler... L'année dernière a été particulièrement difficile pour moi de point de vue personnelle comme professionnelle et je me suis sentie dériver. Vers la fin de l'année j'ai décidé directement d'aller voir mon médecin et de lui demander un suivi psychique. Il s'est avéré qu'en effet j'étais à nouveau dans un épisode dépressif sévère... et c'est durant ces derniers mois que j'ai compris qu'en fait j'avais fait l'erreur d'arrêter mon soutient psychologique j'aurais dû continuer malgré que je me sentais mieux ! Maintenant j'essaie d'accepter tout ca ... de ne pas pouvoir tout contrôler... et j'essaie de me sortir la tête de l'eau. Je n'ai pas voulu arrêter de travailler car j'ai tendance à m'isoler toute seule le reste du temps et il me faut quand même avoir une vie un peu près cadrée donc de devoir me réveiller le matin et aller travailler même quelques heures (je suis à 40% là) et bien cela m'aide à avoir des objectifs. J'avoue qu'en effet c'est quand même assez difficile car mes collègues me posent souvent des questions sur l'avenir pour moi et c'est pénible/fatiguant de se projeter et de leur répondre, mais personnellement j'ai besoin de ça. Enfin bref j'apporte ce petit témoignage pour montrer qu'il y a quand même certaines étapes qui sont pareilles pour tout le monde.. Le suivi psychique et médicamenteux et surtout la réorganisation de son quotidien afin d'aider à garder le plus d'énergie possible ne serait-ce que pour en avoir pour se soigner.. parce que oui aller voir un psy(chiatre ou chologue) cela pompe beaucoup d'énergie et quand on en a plus du tout c'est impossible d'avancer vers la voie de la "guérison". Je sais maintenant que je devrai faire attention toute ma vie que la dépression n'est pas juste une baisse de morale mais une maladie et que je ne dois pas avoir honte d'être malade et d'avoir besoin d'aide. Merci pour se témoignage car je me suis retrouvée dans certains de vos propos et d'avoir un témoignage d'une autre personne aide aussi à relativiser soi-même et à se donner du courage pour continuer.... Merci
Bon témoignage. Pour moi, un peu plus compliqué. Mauvais traitements, médecins incompétents, handicap détecté très tardivement et pris au départ pour des hallucinations alors qu'ils s'agissait d'accouphénes pour troubles auditifs. Bref... Après 20 ans, maintenant à 30, j'ai finalement trouvé une psychiatre qui a accepté de me traiter avec un médicament contre les traumatismes (10 ans de violences à l'enfance) et le stress au lieu de tous les autres contre la bipolarité... Côté vie, c'est un peu mort pour moi. La société ne m'a rien apporté et je n'ai jamais réellement appris à vivre en "harmonie" avec autrui. Je suis donc fonctionnel, peu emotionnel - en même temps, je n'en ai pas besoin - et je sers d'une certaine manière la société en faisant mon travail correctement et en essayant d'apporter des conseils judicieux. Je remonte la pente mais je n'y crois plus dans la vie - il viendra ce qu'il viendra - et comme cela, je ne me fais pas de faux espoirs et ne me rends pas vulnérable. L'insouciance d'autrui me tape plus sur le système qu'autre chose, ainsi que l'indifférence et le manque de culture... Certains ont tout eu dans leur vie, sauf le savoir. Le savoir, la connaissance, la logique et la compréhension sont probablement les seules choses durables qui se construisent dans la vie. Cela n'enlève rien à mon empathie, même si je me distancie avec grand plaisir de toute autre personne et toute autre influence.
Merci pour ce courageux et touchant témoignage, ça contribue vraiment à prendre la santé mentale plus sérieusement au sein de nos sociétés et aussi pour chacun d'écouter son corps et son être pour se prendre en charge rapidement, je suis heureuse pour vous d'avoir franchi cette épreuve et j'espère ça vous rendra encore plus fort pour savourer la vie avec les gens que vous aimez surtout cette petite adorable princesse, il suffit de la regarder pour aller de l'avant et never give up ❤
Beau courage de témoigner ...ce petit choux est votre meilleur soutien.. Vous comprenez que que Avez une sensibilité a la dépression comme beaucoup....alors n'en faites pas trop juste ce qu'il faut...et que votre puce soit votre meilleur médicament merci E
Merci beaucoup pour ce partage. Juste une question, étant passée par là, je m'interroge 1) sur le phénomène d'évitement des états morbides; comment éviter qu'ils ne ressurgissent subitement après avoir été planqués sous le tapis? 2) être là pour ceux qu'on aime; super motivation. Jusqu'à ce qu'ils grandissent et prennent leur envol. Il reste donc un sacré paquet à travailler. Déso pour ce feedback. Merci avant tout pour toute votre authenticité; c'est un super cadeau!
Bonjour merci pour votre experience. J'ai eu une période très courte de dépression où j'étais mal suite à la perte de mon 1er enfant. J'ai pu la surmonter sans rien prendre grâce à la méditation que je pratiquais précédemment. Il faut savoir que la dépression n'est pas liée à une faiblesse de caractère ni à un manque de volonté mais à des neurotransmetteurs qui commandent le cerveau. Personne n'est à l'abri d'une depression. Certains arrivent à remonter, d'autres stagnent mais il faut être très persévérant pour s'en sortir, éviter un environnement négatif et avoir une activité qui occupe beaucoup l'esprit pour libérer ses pensées surtout car tout est dans la tête.
Merci pour ton temiugnage et le courage que tu as eu , pour en parler avec autant de recul . Cest assez extraordinaire.l’idee du podcast est vraiment super egalement … bref comme a chaque fois : je me dis merci d’avoir accès a une chaîne comme la tienne . Nette, sans tabou, qui porte un oeil sain et rigoureux sur les sujets, sans imposer rien du tout. Sauf l’une de nos plus belles libertés : s’informer, apprendre, s’interroger, rechercher :)
Merci infiniment pour ce témoignage qui pourra aider pas mal de personnes j'en suis passé par là et je sais ce que c'est, c'est un combat de tous les instants et qu'il faudra continuer même après guérison dans le but ultime de préserver sa santé mentale. Bon courage à nous tous
En mai de l'année dernière, après une pression à long terme au boulot, mon immunité a chuté, mon corps a laché. Malade pendant 3 semaines. J'ai refusé les médicaments et j'ai choisi de me mettre en arrêt 3 mois (avec accord du médecin). Après 11 ans de travail administratif médical, j'ai dit stop. Je suis en cours de changement de carrière. C'est long et épuisant mais je ne lache rien.
Merci pour ce témoignage. Je me reconnais tellement ! Je me rends compte par contre que j'ai eu la chance que mon traitement médicamenteux soit le bon du premier coup. Et je connais cette crainte de rechuter, ça m'a permis de demander à m'arrêter de travailler avant de sombrer l'an dernier 🙃
Merci pour ce témoignage et cette réflexion très intéressante et aidante. J'ai fait un Burn out (entendre par là : surcharge de travail, surcharge emotionnelle, conséquences sur ma santé physique, psychique, cognitive, sociale...) qui m'a menée à une depression et donc au fait de ne plus réussir à fonctionner normalement dans mon quotidien. J'étais infirmière, et je suis à ce jour dans l'accompagnement de personnes qui ont vécu ou qui vivent l'épuisement. Dans la premiere étape, vous mentionnez le fait d'accepter d'être vulnérable, et je note aussi que vous semblez avoir eu un bon soutien de la part de vos proches et aussi de professionnels. Je pense que c'est une des etapes essentielles : ne pas être seul, se sentir soutenu, savoir que certaines personnes sont là si besoin. 😊
Merci pour ce témoignage. Ta voix et ta diction me relaxent énormément, et me donnent la force, de mettre de l'ordre dans ces pensées toxiques qui m'occupent l'esprit -- le choix de n'avoir aucune musique de fond me permet en plus d'écouter les oiseaux, bonus non négligeable 😮
Bonjour, tout d'abord j'admire donc bravo pour l'exercice analytiques de cette expérience. J'ignore où vous en êtes. J'ai aussi une longue expérience de résilience et médicalisé. Ce qui as fini par me sauver je ne veux pas vous le caché, c'est d'avoir retrouvé une spiritualité (notamment une foi chrétienne). Cela m'as pris énormément de temps. Une prière m'as sauvé. Je sais que mon discours peur être mal interprété. Ceci dit je m'en voudrai de ne pas le dire. Tout comme la méditation et le sport aujourd'hui me sont Vital. Avec la seul aide médicale ou la seul résilience personnelle jamais je n'en serais véritablement sorti. PS: je suis disponible pour en parler de façon discrète si vous le souhaitez. Je déplore que le spirituel soit dénigré dans les systèmes de soins occidentaux. PS: cela a tout sauf à voir avec une médecine holistique ou des rites superficielle ( cela est une démarche de l'âme et du coeur oserais je dire). Et il ne s'agit pas non plus de dénigrer l'aide humaine que nous pouvons recevoir. Merci. En espérant que vous vous portez au mieux. Jean-Baptiste.
Merci beaucoup pour votre témoignage. Je vous découvre là à l'instant en rentrant de mon dernier RV avec ma neuropsy et je suis assez émue de vous entendre. J'aime particulièrement une de vos dernières phrases "des personnes qui aiment réfléchir", vous en dites long...😊
Bonjour Mr. Merci pour votre témoignage, c'est toujours bien d entendre certainee histoires pour se rendre compte que tout le monde est vraiment différent. Personne ne vit la même chose pour une même situation,!!!!
Impressionnant votre témoignage. C’est émouvant et à la fois, je comprend mieux pourquoi j’ai des réactions comme vous. Oui c’est long, et moi la différence est au contraire bouge , bla bla-bla-bla. Ce qui culpabilise. Comment faire comprendre aux autres notre manque de force, ou être incapable de sortir …. Vous avez eu une chance énorme du soutien de vos proches. C’est pour moi un élément essentiel, je suis déçue par mon compagnon qui n’a pas su m’aider assez longtemps. J’ai perdu mon fils de 22 ans en décembre dernier. Et suis sensée être remise ?! En réalité, on vous laisse peu de temps au droit à l’effondrement. J’ai envie de dire, et comment tu ferais toi pour ne pas t’effondrer ?! Mais je me suis refusée à rentrer dans ce débat. J’ai laissé les vrais soutiens être là et qui respecte mon rythme. Avec toute mon amitié
Je vous découvre ce soir, pour la 1ère fois, au travers de votre témoignage personnel. J'ai eu beaucoup d'intérêt à vous écouter. Je partage également votre avis sur le sujet de la dépression et des étapes à franchir pour avancer vers une meilleure connaissance de soi, meilleure hygiène de vie et de continuer les soins et le travail personnel pour éviter une future rechute. 🙏🏻 Merci infiniment pour votre partage et votre parcours!
J’avais jamais entendu de témoignage aussi précis et clair sur ce qu’est la dépression c’est vraiment top 👌 (Ça me regarde pas mais avoir son papa qui parle ouvertement de sa santé mentale je trouve ça super)
Bonjour j’ai vécu le même épisode que toi après mon covid. Un rythme effréné qui a mis un stop à mon corps et à mon mental. Je suis également kinésithérapeute. Deux ans de traitements pour trouver le bon et remise en question des priorités ! J’étais guéri mais j’ai fait des abus ces derniers mois qui m’ont petit à petit fait replonger doucement mais je cherche des solutions avant de reprendre un traitement, mon problème principal étant l’anxiété généralisée avec trouble obsessionnel idéatif qui m’entraîne vers la dépression. Je ferai un retour sous mon post voir si je m’en sors sans médicament cette fois-ci ou si la reprise du traitement est nécessaire. Super intervention en tout cas c’est bien de montrer que des hommes sportifs, avec une charge professionnel importante ne sont pas infaillibles…
Merci. Très intéressant. Je suis en plein dedans (dépression) et me suis retrouvé dans votre témoignage sur plusieurs aspects. On va dire que je suis dans la phase 2. Cette vidéo m'a été proposée par hasard par l'algorithme youtube, et j'ai décidé de la regarder. Perso, cette vidéo va m'aider, un tout petit peu ou beaucoup, je ne sais pas encore, mais c'est toujours bon à prendre. Merci pour votre témoignage.
Merci 🙏 J’ai malheureusement plusieurs personnes de mon entourage qui ont connu un épisode dépressif. Je tenais à souligner votre courage, et celui de vos futurs invités. Il en faut pour traverser de telles épreuves, mais aussi pour témoigner. C’est selon moi d’une aide précieuse pour les sujets concernés ou ceux qui pourraient l’être un jour, mais aussi pour l’ouverture des esprits, encore étroits pour bon nombre d’entre nous…
je suis dépressif depuis longtemps et je vien de le découvrir depuis 2 mois .. cette vidéo est exceptionnel, il résume vraiment la dépression .. merci pour cette vidéo tu a bien dit les chose
❤merci beaucoup pour tous ces conseils, il n’y a de plus compréhensif que les personnes qui ont vécu les mêmes souffrances que nous. Encore merci pour ce témoignage précieux.
Attention, Pavé indigest, vous allez loucher ;)) Merci Monsieur pour votre simplicité et témoignage d'humain entier ;) je fais une psychothérapie depuis 15 ans et oui ça existe et, parfois toute une vie... l'acceptation est primordiale pour passer à l'étape suivante c'est vrai. Je trouve que la société de conso et de compèt et d'apparence ne dit pas son nom. je crois ceci dit en passant que le système des castes socio-professionnelles (officielles en Inde) existent belles et bien, et partout dans le monde. Cela crée des fausses identités auxquelles on s'attache et qui s'éloignent du vrai sacré, de la simplicité, du partage et de la différence, de la vraie quête du bonheur intérieur quoi.. voilà petite pensée du soir bonsoir mais je m'égare un chuïa. je crois que le système éducatif tout entier n'est que la matrice à préparer notre appartenance au système déshumanisé. Et dire que jadis, on pouvait avoir faim au moins une journée par semaine partout dans le monde car la pêche, la chasse ou la cueillette avait été mauvaise ce jour là... et qu'aujourd'hui, ici bas, le jeûne est à la mode pour la santé ou la silhouette estivale :) j'aime consommer, mais par dessus tout, c'est nager dans l'océan, me promener , respirer les foins, regarder, écouter les animaux, discuter, échanger avec curiosité, rire, l'affection, la tendresse, les plaisirs charnels quand ils s'offrent, s'émouvoir devant l'art, s'isoler aussi, faire du feu, garder les 5 éléments auprès de soi le plus souvent possible. (heuuu le 5 ème c quoi déja? euh chépu, merci goog c'est l'éther (l'univers , le grand tout ou manitou) par intuition je le savais bien, hihi. ) Tout ça pour dire? et bien je c pu mais grossomodo que j'avais ma psy qui part en retraite et me garde encore sous aile (merci et un jour on se quittera) n'arrête pas de refuser de la patientèle et que ça craint! Elle me dit qu'il y a pénurie de psychiatre et qu'il faut au moins10 ans depuis la levée du numerus closus pour répondre à beaucoup de demandes désespérées. On manifeste et c'est un bon début mais je crois que ce sont pour les mauvaises raisons, soit par culture française du révolutionnaire cocardien, c'est le kiff la fête en rouge et blanc (je vais me faire des amis ici je sens, pardon) soit intérêt faussement guérisseur, des pansements sur des jambes de bois, non ce n'est pas ma vision. C'est plus profond, quand apprenons-nous dans l'enfance à aimer son prochain (sans aucun religion) et à apprendre pourquoi on ne l'aime pas, l'effet projection est très intéressant dans ces cas là, non? Il y a plein de choses à apprendre sur soi et donc sur l'humain... apprendre à aimer son corps , par une sensibilisation au calme, au silence, et tout son contraire par la tonicité, la spontanéité, l'exubérance, la créativité... trop de tabous, de mutisme, de diversion envers les vrais problèmes d'éducation à l épanouissement de la force vitale avant d'attaquer l'intellect et de l'aiguiser comme un couteau il faut une belle harmonie intérieure avant. J'ai cherché le contrôle sur tout, ma jalousie a "tué" ce que j'aimais, mon impulsivité et certaines compulsivités m'ont mis dans des galères (ptet inconsciemment recherchées ayant vécu la précarité tout petit...) Combien travaillent comme des boeufs à l'ancienne formule no pain no gain , je sai sde quoi je parle ça m'arrive encore d être boeuf ;)) mais un certain gourhou dit: il ne faut pas travailler dur, il faut faire simplement ce qu'il faut" nuance de taille mon cher watson, et là, la conscience commence à débarquer avec ses belles petits ailes l'air un peu vaniteuses mais qui va te mettre gentille caresse d'Obelix ;) c'est vrai on n'est pas que des roumains , des romains ou des gaulois on est tout ça à la fois... je cale sur ce morceau de phrasées lissées. Merci pour ce témoignage, je contribue aussi chaque jour en me réfrénant un peu car il y a des personnes dangereuse à qui il ne faut rien dire mais dans l'ensemble aussi mais avec moins d'élégance que vous, je m'octroie le devoir un peu mégalomane de propager ce levé de tabou débile de croire qu'on est divin ou plutot que divin, on est singe aussi, on doit monter et redescendre du trône. la fragilité n'est pas une tare, c'est l'as du coeur et il aime son carreau compagnon. Je sui spour manifester, révolutionner tout le système alliénant de l'éducation et d'en faire le tri et des priorités plus élaborées et modernes perfectibles bien sûr. Vla la gueule de ta terre, mais qu'est-ce qu'on fait de notre chère mère? wtf! Les parents sont largés par leur emprise actuelle de pouvoir finir leur fin de mois ou à l'inverse de claquer 10 000 pour soulager un stress chronique... On doit ralentir, le drame c'est qu'on ne retient rien, je vois bien chez moi, j'ai pris des tartines dans la face, ça passe, et puis l'inconscient bien confortablement installé remet le dîner, merci karma, c'est la kermesse! Jusqu'à ce que le corps vous dise "toc-toc? y a quelqu'un qui peut s'occuper de mes émotions et mon système nerveux avant qu'il claque ?" et là, on se le dit vraiment de tout corps, on l'écoute et on l'écoutera mieux et vite la prochaine fois et m^me d'autres trucs découverts comme signes avant-coureurs ... Merci encore, il faut libérer et rendre les lettres de noblesse qu'est la faiblesse l'envers d'une force endormie qui attend son messie.
J'aime beaucoup ta manière de faire. Mais l'imancéman grande envie de partager ma dernière métode pour me sortire de cette enfaire mental est la. Quand je vais bien, je note mes idées à faire quand la dépréssion se manifeste. Et non sans pène, je fait betement ce que j'ai de noté. Les objectifs hyper simples et facille à faire m'aide beaucoup.
Je pense que je flirte dangereusement avec la dépression depuis fort longtemps, je n'ai jamais craqué mais je marche au bord du précipice, ça me pourri la vie d'une certaine manière même si je continue à avancer. Après une séance d'ostéopathie ou d'acupuncture je suis en général fatiguée mais aussi beaucoup mieux dans ma tête et plus légère mais je n'ai pas essayé d'autres thérapies. Votre témoignage peut aider, merci pour votre bienveillance.
L'acceptation me semble l'étape la* plus difficile. Je ne sais pas où me situer, mais ton témoignage m'inspire de la réflexion et beaucoup de positivité.
C’est bien de le relever oui ! Il y a une infinie différence entre aucun entourage et ne serait-ce qu’une personne qui témoigne de l’attention. Ça sauve la vie.
Très bien ce monsieur j'ai adoré et je vais le suivre car je connais cette maladie et c'est très dur et cela fait 30 ans que j'ai celav 😢 merci monsieur
Merci bcp pour cette vidéo, ainsi que pour ttes les autres, tes témoignages font énormément écho à mon vécu, et m'aident beaucoup. Je viens de découvrir ma neuro-atypie.. tout prend sens comme un puzzle qui se remet en place. Je suis passée par cette sorte de dépression, un épuisement extrême avec troubles fonctionnels neurologiques, et shutdowns démultipliés.. je n'arrivais pas à me soigner ne me connaissant pas... puis j'ai eu la chance incroyable d'être prise en charge par une psychologue aguerrie et humaine, connaissant les neuro-atypies. Dans mon cas, les traitements médicamenteux n'auraient servis à rien, c'est la connaissance de soi, l'écoute de soi, l'alignement et comme tu le dis: le respect de soi, de son cerveau !! , ce sont ces prises de conscience, qui m'ont permis seulement d'aller mieux, de me reconstruire à tout les niveaux, mental, physique... Merci encore. Je souhaite du courage et la santé à toutes les personnes qui endurent cela en ce moment, on peut s'en sortir, même des troubles neurologiques fonctionnels, moi, personnellement, mes fonctions perdues se "ré - instaurent" petit à petit, si Dieu veut!
Merci beaucoup pour votre témoignage 🙏 Ça aide à comprendre qu'il est important de se donner le temps nécessaire pour guérir 🙏❤️ Que tout aille pour le mieux pour tous le monde 🙏
merci pour ce témoignage; en fait, cela était comme si on avait effacé le disque dur; et la désorientation n'était pas due à une maladie, le lâcher prise et l'acceptation ont été précieux pour vous
Bon courage pour la suite.👍 C'est une maladie atroce. Mais la dépression de soigne, les risques de récidive se surveillent. c'est encore une maladie sigmatisante qu'il est important de faire connaître.
Bonsoir Je vous remercie pour ce partage.j'ai suivi beaucoup de vidéos pour comprendre au depart ma soeur,puis mon enfant, le plus dur c'est lorsqu'ils sont dans le deni!et la il faut être très vigilant pour trouver la manière de leur faire prendre les médicaments sans qu'ils s'en rendent compte,car je n'accepte pas au jour d'aujourd'hui l'hospitalisation où ils dont confrontés à des cas plus graves......je fais plusieurs tentatives en leur expliquant que lorsque je disparaitrai il reste une seule chose à faire:pensez à prendre vos médicaments !! à 70ans ce n'est pas évident.avec le dosage que j'ai expérimenté : ça marche car il ne faut pas les doser pour les rendre amorphes!!!!l'essentiel est d'eviter les crises, ou les hallucinations......
Merci à vous pour ce témoignages , mon fils est en grande souffrance suite à un traumatisme et est un combat de tout les jours , sa me redonne de l espoir pour que mon fils guérisse , Merci à vous 🙏🙏🙏
Beaucoup beaucoup de points communs avec mon expérience. Moi aussi je considère qu'il a fallu "un an pour en sortir" même si ma vie entière a changé. ll y a un avant et un après mais je trouve ça plutôt positif car, moi aussi, je considère "ma dépression" comme l'épisode le plus important mais qui _a posteriori_ évoque d'autres épisodes moindres passés. Ma nouvelle vie c'est d'identifier les points d'écueils qui pourraient faire basculer pour ne plus tomber. Trébucher oui (c'est la vie), tomber non...
Bonjour vivement l'après lol je suis englué que depuis quelques mois comme vous dites j'ai trebuché mais ce n'est que genoux à terre.Peut être connaissez vous ce proverbe japonais : telle est la vie tomber sept fois et se relever huit ou du même titre le livre de mr Philippe Labro sur sa dépression..Merci pour votre positif commentaire qui m'a fait penser à ça,bonne plaidoirie et une belle continuation à vous cordialement 🌞👍🙏🦋
Merci pour ce précieux témoignage, c'est vrai que même si en temps normal tu as l'habitude de tout te rappeller (moi aussi😒) c'est embêtant d'ailleurs bah après une dépression le cerveau change... il y a effectivement une partie de l'histoire qui va disparaître... 🤷♀️Mais ça, ce n'est que mon avis, comme si on muait (une nouvelle peau pour les serpents par exemple )
Entrain d essayer de sortir de cet episode. Merci pour cette video d'une grande qualité, votre analyse est transparente,limpide et tres pertinente. J aurai apprecier aussi en savoir plus sur les dosages medicamenteux, et la difference d aide psychotherapie vs medicaments. Pour ma part mon psychiatre m'ecoute poliment et applique en fonction des caractéristiques donnés un nouveau traitement ou un dosage superieur. Merci encore, bon courage a vous.
Merci pour votre témoignage très touchant et éclairant sur des facettes des effets de la dépression et des traitements proposés 🙏🏻 Et de rappeler qu'il faut laisser le temps même si c'est dur à accepter... Trop choupette votre guest 🤩
Utile et touchant témoignage sur un épisode forcément douloureux. Merci pour ce courage car il en faut. Cela me permet de comprendre mieux. De me sentir rejointe aussi. Je retiens cette "veille psy" qui est aussi la mienne après plusieurs épisodes dépressifs.
Merci beaucoup pour votre témoignage. Je le trouve très juste. Vous avez fait preuve de beaucoup de courage notamment dans votre processus d'acceptation et de lâcher prise pour diminuer progressivement votre charge mentale. Je souhaite de tout mon cœur que vous ne connaîtrez plus d'épisodes dépressifs.
Merci pour la sincérité dont vous faites preuve ; d'autant que cette valeur est , malheureusement , en perte de vitesse dans notre société qui ne se contente bien trop souvent que de la façade .
Merci beaucoup de ce témoignage sensible et éclairant. Peut être me permettrais-je d'ajouter que si la dépression reste un potentiel constant, un travail quotidien, on y gagne (en tout cas j'y ai gagné, peut être est ce différent chez d'autres) une intensité dans les émotions, une forme de gratitude quotidienne et un lâcher prise bénéfique. La depression m'a mis sur un chemin très particulier mais qui, au final, est assez positif.
Merci beaucoup, je vis une rechute depuis 1 an et demi et c'est très difficile et épuisant.mais effectivement, je me retrouve sur plusieurs points de votre témoignage.il faut prendre le temps et lâcher prise pour pouvoir avancer et aller mieux mais ce n'est pas facile tout ça.encore merci
Merci beaucoup pour ce partage ! Je suis en plein dedans... Je suis au moment où je sens les connexions dans le cerveau un peu plus actives...un peu plus de concentration...de mémoire. (Je fais des excercises comme des mots croisés ou fléchés pour stimuler ces connexions) Ça fait 10 mois que je suis diagnostiquée en dépression sévère.... A tout cela c'est ajouté un diagnostic TSA en novembre 2022. Je reconnais beaucoup d'étapes dans votre témoignage. Merci beaucoup !
Bonjour, J'ai pris 10kg en un an avec les irss a savoir paroxetine principalement puis fluoxetine.... Malgré ça je me dis que j'avais besoin de ce traitement pour sortir la tête de l'eau. Je n'ai pas de proches qui s'occupent de moi, et heureusement mon medecin était là. Récemment j'ai eu une rechute qui s'est manifestée par un trouble anxieux généralisé t au reveil le matin.... J'ai pu y faire face cette fois sans médicaments, toutefois je prends du griffonia et du gaba. Ca fonctionne bien sur moi mais c'est de la prévention Et surtout j'ai appris à lever le pied, à me reposer quand je suis fatiguée et à dire non à mon Boss. La santé mentale passe avant toute chose 😉 Trop choupi votre poupée,🤗
