Merci bcq pour vos conseils je me les applique tous les jours . Accueillir la difficulté , l accepter et la dépasser ce à quoi on résiste persiste ce à quoi on fait face s efface. Quand il y a l orage , le soleil reviens toujours c est le cycle de la vie .restons dans l amour et la bienveillance très bonne journée à tous .que la paix vous accompagne .merci encore pour nous faire prendre conscience de la vie 🙏🙏🙏🙏💖💖💖💖👍👍
Ca fait plaisir d'entendre un homme parler de cette manière, non abstraite enfin! Je suis d'accord, votre grand-mère était plus dans le réel que tous ces intellectuels froids et sans âme.
Oui tout cela est intéressant, et je pense que ce serait bien de donner des outils simple pour rester Ancrer et équilibrer !!! Observer la douleur , l accueillir , l accepter sans jugement et la laisser passer comme dans la méditation. Une fois la douleur passée un nouveau champ de liberté s ouvre pour passer à l action : celle du Coeur . ❤ Merci . Nous avons besoin d exercices simple pour passer à une Action menée et portée par notre Coeur et notre Humanité. Merci . Gratitude . 🙏
Albert Camus écrivait qu'il fallait considérer Sisyphe comme heureux...en effet, nous n'avons le pouvoir que du regard porté sur un événement pour en faire quelque chose...quelque chose de bon, de constructif pour nous.
Bonjour, Avez-vous donné ou pourriez-vous donner un enseignement sur le sentiment de solitude et de vide existentiel qui, j'ai l'impression, sont exacerbés par tout ce que nous pouvons vivre en ce moment (confinement, peur de la maladie ou des attentats, sentiment d'absurdité du monde...) ? Cordialement
Fabrice, à la page 71 de ton livre tu démarre un chapitre sur Epictète en disant : »Les œuvres qui lui sont attribuées ont été rédigées par des disciples ou par des disciples de disciples. ». Or, on sait que c’est Arrien de Nicomédie, à l’époque de l’empereur Hadrien, qui recueille les enseignements d'Épictète dans les Entretiens et le Manuel. Il a été disciple direct d’Epictète à Rome. Il est par ailleurs très réducteur de limiter Epictète à l’anecdote de sa jambe cassée. .
concrètement: on vous mutile, on vous éborgne, on vous interdit d' ouvrir votre commerce, on vous amende de 135 euros pour des raisons iniques, et il faut dire amen sereinement ?
À 14:40. Je pense que vous n'avez pas compris. Il n'est pas question de se couper de son humanité. Au contraire, il est question de prendre de la hauteur, de cesser de juger qu'une chose est bonne ou mauvaise, seulement l'observer être. S'observer face aux stimuli, observer ses propres conditionnements, croyances et réaliser que nous pouvons choisir la manière dont nous réagissons selon les convictions que nous choisissons d'entretenir. Et voir alors que selon nos ressentis diffèrent. Et que selon nous interagissons de manières plus ou moins constructives en faveur des uns et des autres. Prendre cette hauteur c'est cesser d'être esclaves de nos conditionnements, c'est sortir de la victimisation, c'est cesser de croire que les stimuli déterminent la manière dont nous nous sentons. Le bonheur est un choix. Nous pouvons choisir la manière dont nous réagissons à n'importe quel stimulus en prenant la responsabilité de nos croyances. Je pense que c'est qu'il faille comprendre et c'est une attitude remplie d'humanité au contraire.
Pas évident de rester serein quand on nous conduit au grand galop vers la dictature ? Tout à fait normal et salutaire !!! Notre corps est sous tension , nous en aurons besoin pour agir. Être serein actuellement serait une anormalité grave. On ne combat pas couché. Nous ne devons surtout pas être serein...
Bonjour @catalavezzi, Je partage votre avis à ceci près que, selon ma compréhension de la sérénité telle que présentée par M. Midal, il ne s'agit pas d'inactivité béate. Il s'agit au contraire d'agir selon son coeur, pour, par ex. dénoncer les abus et agressions.
Le stoïcisme est certes aujourd’hui récupéré par les marchands de développement personnel. Mais il est néanmoins dommage de caricaturer la doctrine stoïcienne ...Bien entendu, nous sommes, surtout à notre époque, totalement incapables d’être stoïciens stricto sensu. Et d’ailleurs, même pour Sénèque, le véritable sage était aussi rare que le phénix, comme il le dit dans les Lettres à Lucilius...Mais, en dépit de son caractère qui peut sembler hors de portée au commun des mortels, et notamment à ceux qui mettent particulièrement en valeur notre vulnérabilité, il n’en demeure pas moins que, comme le dit la philosophe Marylin Maeso, dans le dernier numéro de LIRE, « ce qu’on apprend invariablement à son école - celle du stoïcisme- c’est à exiger de nous-mêmes plutôt que du monde et d’autrui. À articuler l’indépendance, qui seule permet de forger son propre diapason au lieu de se mettre à celui des autres, et la sociabilité qui maintient entre tous, au-delà des frontières géographiques et des barbelés partisans, le sens commun qui fait l’humain. Et à donner sens à la formule camusienne qui conclut Le Mythe de Sisyphe: « La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme. » Le Portique - c’est à dire la doctrine stoïcienne - n’est qu’un seuil. On ne philosophe qu’en marchant, pensait Nietzsche. Probablement parce qu’exister, c’est être toujours en chemin. »
De la tradition bouddhiste birmane? "Pousser le ciel avec sa tête". "Pousser le ciel avec sa tête"...la tête repose sur le reste n'est-ce-pas, il ne s'agît pas de lancer des fusées... ...vers le haut donc! Mais comment faire? Je pense que ça part du ventre, du centre du corps, et plus profondément de cette expérience vécue sans violence, un effort qui ne se peut qu'avec l'esprit...l'âme surgit, l'âme est douce l'âme est puissante, elle est cette part de nous qui ne craint pas la mort, qui ne souffre pas de la solitude non plus. L'harmonie universelle (s'y trouver est un bonheur d'humilité, de compassion, d'intelligence....et même de joie si on veux) passe par les chemins de traverses mais pas toujours, d'élans, de limites... Un gouffre? Il n'est pas là par hasard, le vide travaille avec nous. A plusieurs ou seul, mais à plusieurs nous fournissons l'air sous les ailes sous la poussée de la pensée. "L'altérité est l'oxygène de la conscience"
Êtes-vous près, prêts? Les enfants connaissent et nomment déjà les vagues, leurs tourbillons, les nuances qui les différencient. Ils savent et nous le disent différemment de ce que nous savons du savoir et du dire tout en étant inspirés de nos langages. Ces vagues, même pas nettes, ils les savent.