Junkie , ingérable ,désarmant , mais tellement talentueux , érudit , intelligent , ce mec malgré tous ses travers est tellement hypersensible , touchant , avec un sourire enfantin qui irradie , hors normes avec des chansons et des textes qui vous transpercent , Daniel Darc est une pépite avec un talent que beaucoup découvrirons au fil du temps ...
Hypra doué . On se parlait yiddish chaque fois que nous nous voyions Baroukh dayan aemet minn altitkshele Briderli ikh hob dikh echt lib❤❤❤❤ Dinn shvesterli
Bien en forme clean bien vivant on voudrait tant le voir ainsi si doux timide enfantin séduisant vulnérable ce sourire incroyable qu avait notre rebelle poete
12e minute : "ils riaient des choses qui ne me faisaient pas rire, et moi, je pleurais de choses qui ne les faisaient pas pleurer" Cette phrase qui semble anodine me semble énorme aujourd'hui. Mes respects à Daniel Darc. Bye bye...
Daniel fait parti de cette dernière génération d'artistes dignes de cette appellation, décalés issue de la vraie création française telle que Thiefaine , Manset , Miossec, Baschung , Murat et quelques autres que malheureusement le politiquement correct a étouffé . Ce qui vient derrière ne laisse rien présager de bon. Pour ne plus s'enquiquiner il restera les classiques sur le cloud, et au train ou les choses évoluent les jeunes masses moutonnières se gargariseront de musique préchiée comme le rap pareil à la bouffe merdique des Mcdo............:-)...........:-(.............
Une voix que l on retrouve dans le tres bon film "gone girl" avec ben affleck et une actrice dont j ai oublié le nom qui joue divinement bien. Tres jolie voix en effet
1977/78, I was occasionally getting the sporadic number of Best, which was, as i remember, slightly cheaper than R&F. Apart from that, as the typical 14-yr-old of the day, i found R&F ''toooo hippie still....but with good texts''. Nevertheless, as soon as Yves Adrien wrote that piece about London Növö Afterpunk/early Industrial scene (and elsewhere, as far as Sheffield...), a 4-page article featuring everyone from TG and CV to HL ( and the Normal too...!), on the September 78 R&F number with Patti Smith on the cover, sporting a Siberian hunting-hood, ... that was it. On those pages, for the next 5 or 6 years, i kinda devoured all the French scene (and if you do your Math on my R&F reading time span, you'll guess why i stopped buying it). On those pages, also, i had the (almost forbidden) pleasure of being on the know about all the mysterious little new French bands that Manoeuvre incessantly wrote about - it was there i also discovered that MAJOR group from Rennes, there where i 1st heard, just by reading, Sapho's challenging voice and style ( and then won her first album on a radio quiz, here in PT - i still have it, 40 yrs+ on...). Taxi Girl was one amidst the ''mysterious'' lot; as usual, distribution was nowhere to be seen here on Westernmost European shores, so i kinda lost hope of finding anything on vinyl. Then, ''Cherchez le garçon'' hit the airwaves and stayed on Top 1 for weeks on end. Personally, i find the 77/84 French ''scene'' a very consistent response to the British ''monopoly'' of Rock music in general (not necessarily including Indochine...). Maybe Daniel was a beat poet, born of Punk, which just makes him even more special. I miss his music and songs. But you've still got Dernière Volonté.
Suis-je inutile et hors d'usage? Ou peut-être un peu trop amer Sans perle, simple coquillage Jeté sur le bord de la mer Déjà en moi je sens l'automne Qui doucement ronge mon corps L'affreuse angoisse m'emprisonne Combien de temps jusqu'à la mort? Loool!!! tellement première L
les textes c'est quoi! c'est niveau premier L en mode amoureux transi. c'est chaud la manière dont on idolâtre ce junky qui n'avait de talent que pour son narcissisme.
Bien vrai, selon moi. Peu d'envergure, talent relatif, énergie sombre, lente, lourde. Mais bon... Le showbiz le percevait comme un personnage maudit à la Rimbaud. On idolâtre et n'importe quel petit artistaillon devient une icône. On adore les icônes...