Depuis Sèmè City, le Président Emmanuel Macron échange avec des étudiants. 

Fière 🇧🇯🇧🇯🇧🇯🇧🇯🇧🇯🇧🇯🇧🇯 Vive #Sèmè City 💠 une référence dans l'innovation dans la sous région et en Afrique.

MERCI à tous c'était très intéressant. BRAVO 🙏

Je suis en train de de vous voir tous vive le bénéficiaire de ses parcours

Merci à tous. Bravo pour ce grand pas franchi,

Bravo Mme Claude BONA les jeunes Africains des Béninois et Béninoise, l'Afrique avance tout doucement avec courage et grâce, God bless you the African continent 🇧🇯

Madame Claude Bona et Madame la Journaliste, à vous tous mes respects.

Nous soutenons, encourageons l'initiative de Sème City (Cité internationale de l'innovation et du savoir). Je dirais comme Madame la Directrice Claude Bernard que cela ne soit une signature de plus.

J'ai eu le plaisir de vous souhaitez plus de bonheur

Merci Paola pour ta recommandation, nous avons envie de nous faire formé à EPITECH mais les coûts sont vraiment élevé

Merci pour les informations

Bravo. très intéressant. Bon départ, il faut croire, améliorer, persévérer, accélérer afin que cette structure soit une véritable référence en Afrique et dans le Monde. Rigueur, discipline, effort. Félicitations..

Longue vie à Macron pour cette nouvelle dynamique de projets collaboratifs en Afrique!!!🥰👍

Bravo bravo bravo bravo bravo bravo bravo

Bonjour Monsieur le président de république française

Vive L'Afrique. .

Bravo à ce jeune Monsieur de 26 ans (le premier)

L, unions faites la force

Beau boulot

Merci

Vive la France

Je le recommande vivement pour moi aussi

Please is there culinary school in seme city

Vive béné

Am very happy to watch this things but you should have a little attention by asking about their school fees which are very expensive.j’ai vraiment aimer l’idée de ces entreprises mais le niveau de vie est faible pour une majorité de la population 2.500.000. Voilà pour une 1ere année et ceux sur 3 ans franchement inh 😬 Vive la coopération

😇

😘😘😘😘😇

Vive la France .Vive Mon Macron. Depuis Kerala Inde

Lafranceasasource

Bravo mais

Que cet Accord ne soit pas seulement des signatures sur papier.

Au commencement, il y avait… le chiffre annoncé par le syndicat SUD-Etudiant sur un de ses tracts en 2006. Le syndicat parlait alors de « 40 000 étudiant-e-s condamné-e-s à la prostitution ». A l’époque, ce chiffre invraisemblable n’a que très peu été repris dans les médias. Le buzz est véritablement né lorsque, fin 2007, deux livres sur la prostitution étudiante sortent coup sur coup, chez la même maison d’édition, Max Milo. Il s’agit du travail de mémoire de Master 2 de sociologie d’Eva Clouet, étudiante à la fac du Mirail de Toulouse, et du témoignage de Laura D., une étudiante qui a eu recours à la prostitution pour payer ses études. C’est là que les médias reprennent le sujet. En boucle, ou presque. Les deux auteurs enchaînent interviews et plateaux télé. Reportages et enquêtes se multiplient [y compris sur Rue89, qui a également interviewé Laura D., ndlr].

Les Africains ont-ils besoin d'exposer leurs projets aux financeurs?

NE VOUS FAITE PAS TROMPER PAR LES FRANCAIS Faire des études supérieures est un véritable casse-tête financier. Les heures passées à étudier ne le sont pas à travailler. Il faut pourtant assurer, entre autres, le paiement des loyers, de la nourriture et des frais de scolarité parfois exorbitants. Problème, les aides sociales et les « petits boulots » dont les horaires ne sont pas toujours compatibles avec les études ne suffisent pas quelquefois à payer les factures. Pour financer leurs études, certains jeunes n'ont alors pas d'autre choix que de se prostituer. Loin d'être une pratique marginale, la prostitution étudiante concernerait en France environ 50 000 jeunes selon le syndicat Sud Étudiant.

pour cela , il est fort ...............

Au commencement, il y avait… le chiffre annoncé par le syndicat SUD-Etudiant sur un de ses tracts en 2006. Le syndicat parlait alors de « 40 000 étudiant-e-s condamné-e-s à la prostitution ». A l’époque, ce chiffre invraisemblable n’a que très peu été repris dans les médias. Le buzz est véritablement né lorsque, fin 2007, deux livres sur la prostitution étudiante sortent coup sur coup, chez la même maison d’édition, Max Milo. Il s’agit du travail de mémoire de Master 2 de sociologie d’Eva Clouet, étudiante à la fac du Mirail de Toulouse, et du témoignage de Laura D., une étudiante qui a eu recours à la prostitution pour payer ses études. C’est là que les médias reprennent le sujet. En boucle, ou presque. Les deux auteurs enchaînent interviews et plateaux télé. Reportages et enquêtes se multiplient [y compris sur Rue89, qui a également interviewé Laura D., ndlr].

NE VOUS FAITE PAS TROMPER PAR LES FRANCAIS Faire des études supérieures est un véritable casse-tête financier. Les heures passées à étudier ne le sont pas à travailler. Il faut pourtant assurer, entre autres, le paiement des loyers, de la nourriture et des frais de scolarité parfois exorbitants. Problème, les aides sociales et les « petits boulots » dont les horaires ne sont pas toujours compatibles avec les études ne suffisent pas quelquefois à payer les factures. Pour financer leurs études, certains jeunes n'ont alors pas d'autre choix que de se prostituer. Loin d'être une pratique marginale, la prostitution étudiante concernerait en France environ 50 000 jeunes selon le syndicat Sud Étudiant.