Des limites du faux-self à la liberté absolue de l’individu 

Si la morale est à l éthique ce qu est pour l enfant le b.a-ba à la lecture fluide, je me demande à l écoute le votre excellent propos si cette fin de la culpabilité et de la honte ne nécessite pas au préalable une propédeutique à l empathie. Propédeutique qui paradoxalement s appuierait à l échelle collective sur la culpabilite et la honte comme régulateur social. En tant qu animal social la libération de la honte et de la culpabilité ne peuvent être selon moi qu un aboutissement au risque que certains se servent de votre explication comme cheval de troie à l expansion de leur moi psychopathique confondant alors toute liberté avec la license. L éveil est un long chemin qui s apparente parfois à une grâce, et il serait dommage que certains soient convaincus qu en se libérant de leur culpabilité et de leur honte à une vitesse inversement proportionnel à leur niveau d empathie que ce chemin se transforme en une autouroute pour le mental égotique, le tout avec bonne conscience. Qui veut faire l ange fait la bête. Merci d avoir pris le temps de délivrer une parole libératrice mais...