Dilemme Tsaatan : Entre Éducation Moderne et Héritage Ancestral | SLICE PEUPLES | DOC COMPLET

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Il ne reste plus que 200 Tsaatan vivant dans le nord de la Mongolie. Ces nomades éleveurs de rennes, qui continuent de pratiquer le chamanisme, sont organisés en de petits et solides clans familiaux. Toutefois, le "Peuple des Rennes" est désormais confronté à un dilemme complexe. Les autorités mongoles insistent pour que les enfants Tsaatan fréquentent l'école dès l'âge de 6 ans, ce qui perturbe profondément leur mode de vie en les obligeant à se séparer pendant les cinq mois hivernaux.
Pour ces familles, c'est une décision déchirante. Cette situation les pousse également à réévaluer leur mode de vie. Face à ce choix difficile, doivent-elles abandonner leurs traditions séculaires pour offrir un avenir différent à leurs enfants, ou bien s'opposer à la loi ? Les Tsaatan font indubitablement face à l'un des plus grands défis de leur existence.
Documentaire : Mongolie, un hiver Tsaatan
Réalisation : Pierre Da Silva, Hervé Bouchaud
Production : Sable Rouge
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Опубликовано:

15 сен 2024

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Комментарии : 27

@dominiqueb5841 10 месяцев назад

Je suis très touchée par ce reportage. Voilà un peuple tellement attachant, resistant. Les enfants sont adorables. J'ai été très sensible à la réponse du papa quant au non vouloir de son jeune fils d'aller à l'école : " c'est son choix ". Quel respect vis à vis de l'enfant ! Bravo pour ce documentaire.

@Speedhotboy5328 2 месяца назад

Non, les enfants sont inconscient et laisser le choix à un enfant qui est encore adolescent c’est pas une bonne idée… il faut que l’enfant en question atteint d’abord à un limite d’âge.

@beatricehorem9859 9 месяцев назад

Bonjour. Une merveille de reportage, qui au-delà de la découverte ethnologique et des incroyables paysages, pose la question de l'éducation. J'y avais toujours songé en termes de droit. Mais dans ce cas, lorsqu'elle devient une contrainte qui menace un mode de vie plusieurs fois millénaire, je me pose pour la première fois la question. Pour un enfant qui, devenu adulte, voudra abandonner ses traditions ancestrales, combien souffrent d'une séparation déchirante pendant 10 ans pour de toute façon retourner à la vie de ses parents ? Je comprends le point de vue de la grand-mère. Cependant, je respecte infiniment cette idée du père, qui considère Sugurra comme un individu à part entière et accepte son choix de ne pas aller à l'école. Nous n'accordons certes pas le même crédit aux nôtres, et je ne parle pas de l'unique domaine scolaire. Illusion d'occidentale peut-être, ces Tsaatan semblent heureux. Alors au nom de quoi devrait-on décider que notre mode de vie, plus confortable, est le meilleur ? Sommes-nous tellement plus heureux, isolés dans nos tours, à respirer de l'air polluer, avec un smartphone pour ami ? Je vis dans un tout petit village de campagne depuis plus de 30 ans, en pleine nature, à 35 km de la première ville. Je me chauffe au bois, j'ai un potager, je crochète la plupart de mes hauts. Et oui, je suis plus heureuse ainsi que je ne l'ai jamais été. Après l'attirance des lumières de la ville, mes enfants sont revenus à une vie plus simple également. À ma petite mesure, je comprends le bonheur de ces gens. Je l'envie.

@SLICE_Peuples 9 месяцев назад

Merci, n'hésitez pas à vous abonner !

@beatricehorem9859 9 месяцев назад

@@SLICE_Peuples C'est déjà fait, vous imaginez bien. 😉