Merci d’avoir invité disiz dans un cadre aussi lumineux, qui fait parfaitement miroir à la pureté de ce qu’il est devenu grâce à son courage dans la vie qui lui a permis de faire ce magnifique album. En plus la discussion et agréable et bien mené, merci d’avoir conduit disiz a dire de nombreuses choses très précieuse ❤
J’aime beaucoup cet artiste, son évolution constante, il prend des risques et c’est important dans la vie. Mon album préférée reste « pacifique » mais c’est vrai que son nouvel album c’est une nouvelle énergie que j’aime tout autant c’est un artiste complet à texte qui pousse à la réflexion 😮💨🫶🏽
J'ai beaucoup aimé, je sais pas comment mais Disiz il arrive à transmettre des émotions très fortes avec sa musique et même en interview on le voit, il est comme ça sans filtre. En tout cas belle interview👌🏽
Un grand merci d'avoir mené une interview si intéressante, des questions qui servent et font avancer. Un non-désengagement de l'intervieweur qui saisit bien la période et les besoins, et prend pas les auditeurs pour des débiles, ça oxygène! Je vais essayer de pas commenter pour rien, du coup, par respect. Je commencerais en disant un merci Disiz, aussi grand que ce qu'il m'a donné sans le savoir toutes les années où il m'a accompagnée avec ses sons dans ce que je vivais. En me montrant que la vie était métisse, non binaire, cyclique, que l'on n'avait pas à choisir entre l'avocat des anges et l'associé du diable, entre la partie franco- et la partie -sénégalaise, entre le recailleux qui fait du rap et n'en a rien à foutre et le mec sensible qui chante le chagrin amoureux et les désirs inavoués avec amertume, sublime...Tous nos masques sont un peu nous-mêmes et jamais totalement, en somme. Ceci étant dit, une pierre à l'édifice (j'étale pas les réfs sauf à la fin, si besoin) : le polyamour, parlons peu, parlons bien. C'est dévoyé au possible, mais je voudrais voir au-delà de la version à la mode à 20 piges de KEN-Them-All , très Tinder-capitalo-consommatEUR- compatible... Les 30naires féministes-alliés déconstruits que nous essayons d'être, je crois, même si Disiz le dit plus humblement, méritent de savoir que c'est aussi et d'abord une éthique de relations alternative au modèle patriarcal vviolent qui nous a été imposé. Si on creuse, ça implique certes de se défaire de la possession et le poison des jalousies et autres vices et petites trahisons entre amants/amoureux qui détruisent la confiance en l'autre mais en soi surtout, indispensable à l'amour... Si on fouille encore, c'est plus subversif que ça, bien plus profond aussi. [Attention ça part plus loin après] Si je résume à gros traits: se défaire de la possession, du modèle de couple essentiellement patriarcal, vendu et imposé comme seul désirable, possible et assumable, garantie de notre reproduction et perpétuation de l'espèce, c'est se défaire de la logique d'appropriation-accumulation par dépossession qui guide le système capitaliste... jusque dans ton pieu et dans les désirs qu'on crée chez toi, la norme qui te dit qu'ils peuvent/doivent être consommés, [di]-gérés, assumés ou non, voire même lorsqu'ils peuvent être imposés ou non à l'autre (la "séduction à la FR" = la culture du viol)! C'est capter aussi, que ce n'est pas dans/avec UNE relation exclusive que tu vas pouvoir nécessairement t'épanouir. Pas d'engagement? Pas de risques? Je crois que si. Je ne prétends pas qu'il soit plus ou moins fou que celui de prétendre tout vivre au travers et aux côtés d'une seule personne à la place de "guide spiritualo-émotionnel", dont dépend, plus ou moins selon la nuance de fusion adoptée, ta vie, ton oeuvre. Il me semble toutefois plus sain. Et il consiste à s'ouvrir à ce que la vie donne à vivre, partout, tout le temps, entièrement, honnêtement, sainement, dans le respect de soi et de l'autre, dans l'écoute, la bienveillance, et l'empathie. Un horizon, une boussole. Un idéal, certes! On ne vit pas sans, tu disais, Disiz, non? Cf les écrits et élaborations des féministes communautaires et décoloniales, not. latino-américaines: comme Rita Segato, Ochy Curiel, comme les économistes du réseau DAWN, comme les copines de Ni Una Menos.... Autres ref, qui dépassent le sujet mais l'incluent, réunies par exemple en Fr : France Amérique Latine www.franceameriquelatine.org/category/nos-campagnes/droits-des-femmes/ Pensée féministe décoloniale www.franceameriquelatine.org/pensee-feministe-decoloniale-editions-anacaona/ ou encore ici Editions Anacaona www.anacaona.fr/autrices-pensee-feministe-decoloniale-amerique-abya-yala/ Saludxs Misandro89 Lauriane Boo (Lyon)
Disiz l'homme qui se cherchera toute sa vie...juste en écoutant les différents extrait dans cette interview soyez sur que je n'écouterai plus du DISIZ J'PETE LES PLOMBS 14. Bonne soirée à tous
Super interview! Les questions sont vraiment pertinentes concernant le projet, ce qui implique une compréhension encore plus fine du projet. Bravo a l’équipe et merci à Disiz
Les bonheurs sont multiples et ce qui me touche par exemple en humour sera propre à chacun pareille pour le bonheur, alors que la tristesse est je pense beaucoup plus universelle et fait appel à l'empathie et c'est peut être pour ça que les sujets tristes sont plus accessibles / transmissibles
meilleur album de rap français, le dernier jetpro de Disiz. ah bon ? ce qui est drôle c'est que 1 minute après le mec douteque ça soit un album rap...quel catastrophe lol...
Ils n'ont rien à voir. Disiz aime son identité. Ses origines, ses racines. Il a évolué positivement. Kanye souffre mentalement et fuis la communauté Noire.