Merci à mon pote JC qui m'a fais découvrir Dooz Kawa, je comprend pourquoi youtube le met pas plus en avant ... le savoir est une arme ;) Enfin, une perle au milieu de toutes ces huîtres, et Dieu créa le Kawa ...
L'algo youtube est particulier. Je ne crois pas que c'est dans leurs interets de brider la visibilité de ce genre de contenu. C'est plutot la médiatisation et l'education musicale qui est en jeu. Depuis ce temps tu as du découvrir un peu plus mais dans le doute je te conseil soleil noir, un projet de 4 bon rappeurs dont dooz kawa mais aussi Euphonik tres doué, davodka et swift guad il me semble.
C’est super honteux de dire ça mais moi la dernière fois c’était sur du Claude François sur le titre c’est la même chanson alors que j’aime pas du tout Claude François. Et je sais que ça ferait mieux dire un truc du genre pink martini, là où ils semplent le concerto n1 de tchaikovski en je sais pas quelle note mineure mais c’était pas ça. Je sais j’ai l’air beaucoup plus intelligente quand je me tais.
Un type qui sait parler d'art, d'amour et faire vibrer avec son spleen. J'ai rien à voir avec le rap, je viens du blues et étrangement je trouve que ça se télescope vraiment bien. Il y a une universalité dans tes textes qui laisse pire que songeur, merci pour tout.
Je viens du dub, je vibre du dub, mais kawa m'a ouvert un nouveau champ de réceptivité à l'égard du rap, rappeur ou plutôt poète urbain, mêlant pudeur et profondeur, l'harmonie dans la mélodie et l'écrit, je ne saurais décrire... je ne peux pas décrire ces musiques je ne peux que les vivre ❤️
Heuuu.. les gens ont conscience que cette tuerie existe? Non parce que la il est du devoir de chacun de faire connaitre cette musique a tous les amateurs de rap, c'est urgent ! 😤
Histoire d'eau - Dooz Kawa Lyrics : Yeah C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Que l'eau qui dort Fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais les chimères Comme un talent, les nymphes m'avaient pour élève qui persévère Dans chaque vers en rêvant Je lisais sur leurs lèvres couramment Les signes du langage des cygnes de l'étang C'est ma force sans alarme, moi je vis dans les eaux calmes S'y mirant le narcissisme des étoiles Elles parlent à mes iris, mettent la lumière dans mes oreilles Filles du pancalisme, les chimères devinrent réelles Uniques beautés du ciel dans un monde de fiel Uniques sucrées du ciel sur la voie lactée de miel Et puisqu'elles aiment les rêv'ries solitaires du ruisseau Les constellations s'isolent et reflètent les songes dans les cours d'eau et marécages Les reflets de la lune sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'la lyre sur les couleurs des images On vit les cieux se couvrir, avec le temps des orages Venir, les tristes sires matérialistes qui songent A définir pour occire la liberté du songe A l'av'nir, le rêve devient étrange Cassandre ne prédit plus dans l'eau, oublie tous les destins Et au descendre du bateau Morphée est clandestin C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil du ruisseau Mais de fil en aiguille ôtez-lui ses amours ruisselant Se remplissant de colère, elle deviendra océan jusqu'au ras bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Yo, fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais l'amour comme un talent Les nymphes m'avaient pour élève et les naïades pour amant Car j'embrassais leurs lèvres couramment Dessine avec des mots leurs mains au creux des lettres Et leurs corps contre mon être m'intiment Langage des abimes de l'océan Je vis dans les eaux profondes se troublant Les filles de l'érotisme comme Vénus dans le ciel Unique beauté à celle que j'imagine dans ce monde de fiel L'unique sucrée du ciel surplombe des mers salines et des déserts de sel Et puisqu'elles n'aiment pas être seules comme Messaline Les constellations s'alignent et reflètent mes mirages Comme des gouttes de lumière sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'amour mirent des notes un peu plus sages On vit venir avec le temps des orages Les tristes sires moralistes qui savourent Vont définir pour occire la liberté d'amour A l'av'nir, les cœurs deviennent étranges Blessé dans son talent, Cupidon n'imite plus le Comanche Plus de péchés mignons et d'Aphrodite qui s'allonge C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau [x6] [C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil du ruisseau Mais de fil en aiguille ôtez-lui ses amours ruisselant Se remplissant de colère, elle deviendra océan jusqu'au ras bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort] [x2] Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau Pour tous mes gars On a qu'le rêve et l'amour, il nous reste ça Yo Yo Il nous reste ça Et on le gard'ra
Je viens du dub, je vibre du dub, mais kawa m'a ouvert un nouveau champ de réceptivité à l'égard du rap, rappeur ou plutôt poète urbain, mêlant pudeur et profondeur, l'harmonie dans la mélodie et l'écrit, je ne saurais décrire... je ne peux pas décrire ces musiques je ne peux que les vivre ❤️
Comment ça se fait qu'il y est des personnes qui mettent qu'ils n'aiment pas ! Ce n'est pas possible... Ils n'ont rien compris ce n'est pas possible ... vraiment !
Je viens de tilter mais, je crois que t'apprécie beaucoup le travail d'Alain Bashung Dans un morceaux, une de tes phases dis "La nuit je mens comme Bashung" Et la le titre de ta musique "Histoire d'eau" peut-être en référence à une phrase de sa chanson si dessus justement "J'étais gant de crin, geyser Pour un peu je trempais Histoire d'eau" Et il y en a sans doute d'autres que j'ai du loupé, ou alors c'est juste mon imagination 🤯 Merci pour ton travail Dooz , t'envoie du bois dans la cheminée à dire vrai
C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Que l'eau qui dort Fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais les chimères Comme un talent, les nymphes m'avaient pour élève qui persévère Dans chaque vers en rêvant Je lisais sur leurs lèvres couramment Les signes du langage des cygnes de l'étang C'est ma force sans alarme, moi je vis dans les eaux calmes S'y mirant le narcissisme des étoiles Elles parlent à mes iris, mettent la lumière dans mes oreilles Filles du pancalisme, les chimères devinrent réelles Uniques beautés du ciel dans un monde de fiel Uniques sucrées du ciel sur la voie lactée de miel Et puisqu'elles aiment les rêv'ries solitaires du ruisseau Les constellations s'isolent et reflètent les songes dans les cours d'eau et marécages Les reflets de la lune sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'la lyre sur les couleurs des images On vit les cieux se couvrir, avec le temps des orages Venir, les tristes sires matérialistes qui songent A définir pour occire la liberté du songe A l'av'nir, le rêve devient étrange Cassandre ne prédit plus dans l'eau, oublie tous les destins Et au descendre du bateau Morphée est clandestin C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil du ruisseau Mais de fil en aiguille ôtez-lui ses amours ruisselant Se remplissant de colère, elle deviendra océan jusqu'au ras bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Yo, fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais l'amour comme un talent Les nymphes m'avaient pour élève et les naïades pour amant Car j'embrassais leurs lèvres couramment Dessine avec des mots leurs mains au creux des lettres Et leurs corps contre mon être m'intiment Langage des abimes de l'océan Je vis dans les eaux profondes se troublant Les filles de l'érotisme comme Vénus dans le ciel Unique beauté à celle que j'imagine dans ce monde de fiel L'unique sucrée du ciel surplombe des mers salines et des déserts de sel Et puisqu'elles n'aiment pas être seules comme Messaline Les constellations s'alignent et reflètent mes mirages Comme des gouttes de lumière sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'amour mirent des notes un peu plus sages On vit venir avec le temps des orages Les tristes sires moralistes qui savourent Vont définir pour occire la liberté d'amour A l'av'nir, les cœurs deviennent étranges Blessé dans son talent, Cupidon n'imite plus le Comanche Plus de péchés mignons et d'Aphrodite qui s'allonge C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort
Certain que même un Baudelaire dans ses plus belles œuvres, pâlirait, et ses fleurs se faneraient une à une, à la lecture de cette invitation à mettre les voiles sur les subtiles mers mythologiques, je te jure gros, mais dis moi, de quoi est faite ton encre?
ton ami! c'est vrai, l'inspi vient aussi de là, puis en soit la comparaison n'a pas vraiment de sens, tant Baudelaire est grand, mais quand on écoute des sons comme ça, on a envie d'en faire une belle apologie
ca me fais penser à une partie dans l odyssée quand Ulysse part pour la premiere fois en radeau chercher Pénélope de l ile ou il est retenu par la Nymphe
"C'est juste une histoire d'eau conté par une oie sauvage aux autres oiseaux de passage, "DO-RE-MI, FA" cile," LA SOL SI " au fil du ruisseau ne se noie pas dans ses amours et ses tourments"...
Meskalin Yidish Ha tiens j'écoute Dooz Kawa depuis un ptit moment maintenant mais j'avais jamais fais le rapprochement. J'vois plus un clin d'oeil sur le choix du titre mais rien de plus, si tu prend le refrain, le cours d'eau c'est dooz kawa qui "de fil en aiguille", "devient un précipice agressif". Tout au long des couplets il se dit inspiré par ses "nymphes", mais il remplace ses textes fleur bleue par des paroles plus aiguisées: "avec le temps des orages / Venir, les tristes sires matérialistes qui songent /A définir pour occire la liberté du songe". Finalement histoire d'O n'a plus grand chose à voir avec les lyrics, mais dans l'idée ça se rapproche (amour désabusé toussa toussa).
