Doutes, pensées obsédantes, phobies... La névrose obsessionnelle VTFS-61 

Oh mais qu'il est gentil ! Bisous mon pote !

C'est fou tous ces retours qui vont dans ce sens ! MERCI de me le faire savoir !!!

agree !

Pareille ici 🥴

Exactement pareil, limite ça me fait flipper 😢

Merci à vous ! C'est rassurant de savoir que la démarche soit entendue

Bonjour et merci de votre retour d'expérience mais oui, répondre à la demande de l'autre permet beaucoup de choses mais pas de répondre à son propre désir. Ce qui est vraiment dommage :)

Et si on ne parvient plus à mettre la main sur son propre désir.... c est encore plus dommage

Un grand merci ! C'est pas la fin du monde d'avoir une personnalité obsessionnelle ! ;)

Un grand merci à vous !

Au plaisir alors :)

Un grand merci ! J'espère que tu vas bien ! Au plaisir cher collègue !

Avec plaisir !!! Merci de ton retour !

Merci pour ton retour ! j'en prends bonne note :)

Ok du coup je recommencerai ;)

Avec plaisir !

Merci à vous d'avoir pris le temps de me faire ce retour

Ha et bien on a des points communs vous et moi !!!!

Très heureux que le contenu vous parle et vous donne à réfléchir... C'est bien le but !

Oh merci beaucoup ! À bientôt !

Et merci beaucoup de ce retour ! ❤️

Trop sympa merci ! Je viens de réitérer aujourd'hui pour tourner ma vidéo sur le trouble de la personnalité paranoïaque :)

Haahaha ! Avec grand plaisir et merci du retour d'expérience ;)

Essayer de d'équilibrer, de notre mieux je crois, C'est l'extrême, le pathologique, la force du trait, la culpabilité, la souffrance, L'entrave dans nos interactions qui est le plus important à réaliser. Exigence surtout avec soi-même, La permissivité, le laxisme, l'injustice, ça craint, La conscience, la discipline, l'ordre c bien, quand c'est pas exagéré

Merci à vous pour ce beau retour :)

Sur les phobies ça existe déjà 😉 À quoi servent les PHOBIES POURRIES ?!?! - VTFS65 - Psychologie ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-1XKXF71Y61o.html et sur le PTSD c’est clairement pas un sujet que je maîtrise donc en l’état, ça m’étonnerait que j’en parle

Merci de ce retour et oui personnellement je n’aime pas dire à mes patients ce qu’ils ont à faire… je ne suis pas coach 🙂

@@Vatefairesuivre Oui mais Il y a des Psys. qui le sont (Psys Coachs, L'essentiel est Que ce type de thérapie convienne à La Personne, car On en a peut-être des Idées erronées), ou des Psys. TCC (+ d'appréhension pour Moi à ce Niveau-là), quant à moi, J'ai choisi la difficile voie d'un Psychologue Clinicien avec une approche Psychanalytique. Je n'aurai pas pu me lancer dans une Totale Psychanalyse, La Psychologie Clinique, du coup à tendance à me rassurer. Mais Qu'est-ce que C'est Bon et Difficile à la fois. Je crois Que Je n'ai jamais, jusqu'à présent, traversé autant d'angoisses de ma Vie. Puis, Je me retrouve dans d'autres troubles, comme l'autisme et La Paranoïa aussi. Du coup, Votre Vidéo m'éclaire un peu mais ne règle rien 😁😁, Hallelujah !. Puis doit-t-On préciser - pour éviter de se Perdre ou se Retrouver (même) - , qu'On peut se Reconnaître dans Toutes Les Pathologies, et ceci ne voulant pas dire qu'On en est affectées, et qu'On peut en être affecté (par une Pathologie) sans se retrouver dans Ses Caractéristiques.

Alors là je ne vois absolument pas pourquoi les gays devraient plus correspondre à la névrose obsessionnelle... Je ne vois théoriquement pas de sens ni dans la clinique, je n'ai jamais observé ça. Merci de votre retour

@@Vatefairesuivre psychopathologie* Je ne sais pas. Mais qui sait que ce genre de mental influence tel type de désir plutot qu'un autre ? Par exemple, j'ai plus souvent observé cette névrose chez des hommes que des femmes (jamais) personnellement Merci pour votre réponse ;)

Mais Bree est un excellent stéréotype en effet !!! ;)

Non on peut les retrouver chez tout type de structure psychologique, ce n’est pas majoritairement tsa

Merci !

Alors non pas du tout je n'ai pas croisé ce type de question en clinique de l'autisme, ils sont bien trop empathiques et soumis à l'angoisse pour rentrer dans la psychopathie. Mais chaque cas est toujours là pour nous remettre en question sur ce que l'on pense savoir... La beauté de ce job ;)

OH QUE OUI ! et pas que !!! L'angoisse est typique de l'être humain pas d'une structure donnée... Seules les formes et manifesrtations de cette angoisse changent

Oui, nous avons tous une personnalité qui nous colle à la peau ;)

Oui je pense que catégoriser et une barrière de la blouse blanche pour se protéger de l'autre, de soi donc, c'est pour vulgariser vos vidéos et c'est bien, il y a des modes de fonctionnements bruyants certes, mais je pense que si on fait des diagnostics c'est foutu meme si on a besoin de repères. J'ai des moments de parano, de stress, depressif, bref j'ai tout....en moi, selon et l'autre me le montre, super video bye@@Vatefairesuivre

Merci beaucoup, je prends bonne note !

OUI ! 😅

Merci beaucoup ! Pour la "sortie de l'autisme" je suis assez réservé... Ils peuvent progresser, gagner en adaptation et diminuer les angoisses notamment en progressant dans les habiletés sociales, mais en sortir...

​@@Vatefairesuivre , le diagnostic est parfois(souvent!) erroné... Et un spectre, c'est tellement large. Je pense que quand il ne s'agit 'que' de défenses autistiques, il y a une sortie possible. De même avec des enfants pris en soins de façon précoce. Mais je suis d'accord avec vous pour les personnes avec autisme de type Kanner

Complètement d’accord, et plus on réduit les critères diagnostique et plus on va continuer à faire des diagnostics erronés

Hahahaha !

Intéressante question. En rapport à mon commentaire précédant (en réponse qlqpart) sur le processus 'si ... Alors' , qui est magique si les relations entre objet (sujet inclus) sont soumis à un fantasme non passé par l'épreuve de réalité, quand cette épreuve est possible et concluante (et répétable), ce même processus est est la pensée scientifique... Alors certes pour les concepts freudiens et leurs dérivés et filiation épistémologique, on n'a pas là des objets au sens physique du terme (ce qui dans l'école empirique fondée sur le primat de la matérialité et de sa vérification sensorielle, disqualifié d'office comme science, ouvrant la porte à un certain 'mépris de classe' conceptuel... 😅) C'est oublier un peu vite, ou surtout mal connaître l'histoire des sciences , par exemple l'apport d'un Leibniz, également philosophe idéaliste, pour qui il n'y avait pas de physique sans métaphysique... loin de discréditer ce point de vue, les troublants questionnements des paradoxes quantiques, sur la/les relation/s exacte/s et/ou réelle/s entre objets et aussi avec le sujet (observateur ou acteur), rendent non passéistes mais très actuels ce genre d'élargissement... Or je trouve là un parallèle frappant avec la perspective de l'alliance psychanalytique... ou les objets pensés/fantasmés sont reliés, testés et expérimentés par le sujet. lui permettant d'objectiver certains comportements, ressorts internes, qui viennent troubler son sens du moi en interne comme dans ses relations... jusqu'à les réparer ou améliorer, parfois (ou déjà ne plus les investir d'un pouvoir ou d'un vouloir magique). Voir aussi l'interview passionnante sur cette chaîne , qui parlait de la révolution épistémologique freudienne... ou le travail de Psychokouak sur le transfert. Encore, tout cela ne pourrait être que jeux de reflets ou généralisation abusive... Mais autant les concepts psychanalytiques fondamentaux vont être inquantifiables, autant l'expérience clinique , dont il est souvent question ici montre sous un jour statistiquement quantifiable la pertinence 'réaliste' (au moins jusqu'à démonstration d'un meilleur - ou suffisamment meilleur 😉 - paradigme, comme en toute science!) de cette approche... Un peu comme s'il fallait comprendre la réplique sur l'amour, en tant que force fondamentale de la fabrique de l'univers, par le docteur Brand d'Interstellar, en remplaçant ce mot d'amour par 'transfert'... (comment ça, je vais trop loin??)

@@pochaze671 Merci pour votre réponse. Je me permet juste de répondre pour éclaircir/échanger sur certains aspect, ne vous sentez ni attaqué ni obligé de répondre si vous n'en avez pas envie : mes intentions sont pures :) "Alors certes pour les concepts freudiens et leurs dérivés et filiation épistémologique, on n'a pas là des objets au sens physique du terme" d'où ma question (peut-être naïve) : si on a pas d'objet physique comment être sûr que nous ne sommes pas dans l'erreur en utilisant ces outils ? "ouvrant la porte à un certain 'mépris de classe' conceptuel" je ne suis pas sûr que vous vouliez écrire cela, ou qu'in fine vous saisissiez bien le concept de "mépris de classe" car je ne vois pas le rapport. Critiquer une pratique n'associe nullement la dite pratique à une classe quelconque (ou j'ai mal compris ce que vous disiez) "Encore, tout cela ne pourrait être que jeux de reflets ou généralisation abusive... Mais autant les concepts psychanalytiques fondamentaux vont être inquantifiables, autant l'expérience clinique , dont il est souvent question ici montre sous un jour statistiquement quantifiable la pertinence 'réaliste'" Sauf que ma question reste entière : comment savoir si ce sont bien les effets de la psychanalyse qui en sont à l'origine d'une part, comment savoir d'autre part si cela aurait marché sans ces outils, et enfin comment peut-on affirmer qu'un outils marche sans le démontrer autrement qu'avec un effet statistique qui souffre par design de nombreux biais (du fait déjà qu'on ait pas de double aveugle, ce qui rend le praticien qui fait aussi ses statistiques à la fois juge et parti). Pourquoi d'autre pays s'en sorte sans ces outils ? Comment savoir si ce sont les dit outils qui "améliore" la personne et pas d'autres effets contextuels comme l'écoute ? Et pire encore : comment savoir si ces outils ne vont pas forcer un résultat chez une personne qui parait satisfaisant mais qui ne correspond pas à cette dernière ? (il y a ces excellents épisodes de dragon bleu notamment qui montre comment des psychanalyste sont aller créer de toute pièces des pathologies ou des ressentis chez leur patient pour ensuite les "soigner"). C'est toutes ces questions qui rendent selon moi la pratique pas très safe : on ne peut pas affirmer que cela marche vraiment :( "Un peu comme s'il fallait comprendre la réplique sur l'amour" sauf que l'amour n'as aucune prétention (ni scientifique ni de soin) et que ce n'est pas payant ;)

@@GoogleAccount-tc3zd Hello, avec votre ta t pourquoi me sentirais je attaquer ? Pas trop la disponibilité pour prendre chaque de près, mais j'entends. On peut douter de tout tout le temps, mais à un certain point, il faut faire un essai non? Je comprends bien les appréhensions en tout genre, notamment sur les questions psychologiques, et particulièrement sur cette thérapeutique particulière (surtout quand on prend en compte quelques tristes actions de Freud sur ces rapports de séances, etc). J'ai pourtant lu, expérimenté et écouté beaucoup de chaînes de ce type rendant compte, dans un esprit bien plus humble, sincère et moderne que la percée originelle, de résultats de soins 'suffisamment bons' de la psychanalyse, qui me semblent étonnamment convergents. Ce qui n'infirme pas des doutes et préventions d'études que je ne connais pas (mais je vous crois!). Cela les met juste en perspective mutuelle (toute étude est une sélection de faits mais surtout de critères d'expérimentation, qui malgré toutes les prétentions possibles à l'objectivité, restent des productions subjectives et partielles, avec un pari probabiliste à la base, qui tête de cerner la réalité mais ne se confond pas avec elle). Donc il faut bien un jour choisir une démarche, face à des crises ou troubles personnels. Les avancées multidisciplines récentes semblent quand même attester d'une réalité sous-jacente pas si mal posée. Suffisamment à mon sens, pour que le fait de savoir si c'est le 'transfert' ou le fait de dialoguer soit en pratique autre chose qu'un échange de termes... Bien sûr que le dialogue est le fondement de toute avancée Individuelle et relationnelle chez l'humain (voir aussi la logotherapie de Viktor Frankl et la troisième école de Vienne, dans des circonstances autrement plus dramatiques), quels que soient le lieu et l'époque. Avec certain type de cadre et rituel, celui de la psychanalyse dérivant en occident du cabinet, de la pratique et de l'image du médecin. Cela a déjà pas mal évolué depuis. Je ne sais ce que vous indiquez par d'autres pratiques ailleurs, mais j'imagine qu'un prêtre ou qu'un shaman suffisamment bienveillant et intuitif tâche de remplir la même fonction, et qu'il est difficile de quantifier les résultats. Mais le but étant de réduire le sentiment d'angoisse, de solitude ou d'aliénation d'un individu dans sa société, à l'évidence la figure du therapiste doit s'ancrer dans les références et l'histoire du cette société, j'imagine. En revanche les nombres potentiel et réel de gens aidés dans l'occident développé par la corporation des psys, au cas par cas, a probablement une échelle jamais vu dans l'histoire humaine. Avec l'avantage de ne pas être influencé par les biais de connaissance des proches amicaux ou familiers, etc. Et moins de gens sortant du psy s'en plaignent et ont à s'en plaindre que l'inverse, sans parler d'une certaine humilité quant à leurs certitudes etc, que ceux qui nient tout questionnement psychologique et remise en cause personnel, comme vous l'avez peut être aussi constaté ? Je trouve que cela doit signifier quelque chose sur le fait que cette pratique, et d'une façon ou d'une autre les concepts qui la soutendent, ont une forme de pertinence non négligeable, malgré l'aspect inquantifiable (et encore cet aspect semble changer, avec les avancées des neurosciences, comme pouvait le faire espérer un certain optimisme qui fait couramment plus avancer les sciences et les moeurs, que le scepticisme seul, ou névrotique ou obsessionnel. Mais c'est là un débat plus épistémologique, du pari pascalien au dieu non arbitraire d'Einstein, qui m'interroge beaucoup mais pour lequel je serai bien en peine de tenir un débat. En tout cas je ne peux à nouveau renvoyer à la vidéo sur le transfert de la chaîne psychokouak (orthographe incertaine). Salutations !

@@GoogleAccount-tc3zd pour le mépris de classe, c'était une image à ne pas prendre au pied de la lettre (mais visiblement un peu cavalière), mais à élargir... en l'occurrence à un certain complexe de supériorité psychologiquement questionnable (je choisis de croire non à la concurrence des points de vue, mais à leur complémentarité au cours du débat... Par exemple, le paradigme newtonien d'un temps et d'un espace contenant et absolu fonctionne absolument... aux limites d'énergie, vitesse, etc, connus et expérimentés consciemment par l'homme en son temps et un certain temps après lui... On l'a depuis dépassé, m'as tut en en rendant compte précisément en introduisant les nouveaux niveaux d'énergie etc, qu'un paradigme moins intuitif mais fonctionnel a pu inclure, ave vérification a posteriori d'un certains nombres de faits... paradigme lui même en période critique, désormais, qui débouchera sur un paradigme relativement meilleur, probablement tut aussi peu intuitif à son tour, comme Einstein le pensait, et l'appelait, en bon novateur révolutionnaire et relativement optimiste.)

@@pochaze671 "On peut douter de tout tout le temps, mais à un certain point, il faut faire un essai non? Je comprends bien les appréhensions en tout genre, notamment sur les questions psychologiques, et particulièrement sur cette thérapeutique particulière (surtout quand on prend en compte quelques tristes actions de Freud sur ces rapports de séances, etc). " Je ne dis pas le contraire, je demande juste comment être sûr des résultats de ces tests ? C'est tout le soucis selon moi de ne pas avoir de protocole solide :/ "J'ai pourtant lu, expérimenté et écouté beaucoup de chaînes de ce type rendant compte, dans un esprit bien plus humble, sincère et moderne que la percée originelle, de résultats de soins 'suffisamment bons' de la psychanalyse, qui me semblent étonnamment convergents." Je ne nie pas les résultats, j'interroge sur le fait de savoir si ces résultats sont le fruit de cette méthode ou lié à d'autres facteurs contextuels ;) Après lecture de vos deux commentaires je ne peux m'empêcher de préciser un point ou deux dont je pense vous n'avez pas su exprimé correctement votre pensée ou mal saisit les concepts : Le scepticisme et l’épistémologie interroge le cadre, la forme même d'une pratique/affirmation. Il ne dit rien sur le fond du sujet et ne prétend pas le faire. Il sert d'outil critique afin de questionner un sujet sans débattre de ses fondements. C'est donc un outils pratique qu'il ne faut ni sous estimer, ni à l'inverse mettre en piédestal comme étant une fin en soit. Enfin il n'a pas vocation à faire avancer la science mais à lui empêcher de sombrer en pseudo science, c'est plus un gardien qu'un guide ;) Concernant l'image du mépris de classe j'avoue que je n'avait pas saisit le sens de votre propos. J'irais voir la vidéo dont vous parlé pour continuer à me forger un avis. Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire et répondre. Bonne continuation :)

Faut toujours faire attention à l'effet Barnum ! ;)

Les points communs sont clairement ceux de la névrose ! Après il existe bel et bien des divergences.

JAMAIS DE LA VIE !!!!! XD

Oh, mais surtout que là c’est un des sujets que je maîtrise le mieux donc c’était l’occasion 😉

@@Vatefairesuivre Tres beau paradoxe ! J'ai trouvé cette impro excellente !

D'autres sont donc à venir ;)

@@Vatefairesuivre parfait j’ai hâte de découvrir la suite

Ha ha ha... Ça va que je t'aime mon saligo ! On se voit bientôt il parait ;)

PS: "La merde, c'est un peu tous les jours" et l'idée que les obsessionnels se prennent la tête alors qu'on ne leur a rien demandé... J'y repense depuis hier. 😳

relativiser sur l'importance des choses et de nos choix, je pense que c'est un premier bon pas ;)

Et oui ! Un petit peu chaque jour c'est toujours mieux qu'une grosse merde de temps à autres

Merci mon pote !

MERDE ! J’ai oublié !!! Et vous le second degré ? Ça progresse ? 😉

Je dirais la même avec votre maturité ;)