Тёмный

Duo Les Rendez Vous: Le pre - aux clercs. (1909). Dit is een herpersing uit ca 1920. Disque Pathe. 

Henk Gloudemans
Подписаться 6 тыс.
Просмотров 74
50% 1

Are you interrested in Dutch, Flemish,French, English German ore foreighn popular music, from the period from about 1900 till 1960 please subscribe my channel, you can heare many thousands of records all from my own collection ! Sorry for the sometimes poor soundquality ! Greetings from Henk !!!!!

Опубликовано:

 

1 окт 2024

Поделиться:

Ссылка:

Скачать:

Готовим ссылку...

Добавить в:

Мой плейлист
Посмотреть позже
Комментарии : 13   
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
0:38 GIROT : Les rendez-vons de noble compagnie se donnent tous dans ce charmant séjour. Et doucement on y passe la vie à celebrer le champagne et l'amour. 1:16 NICETTE : _Et du pays je serai la maitresse_ ? 1:23 Vous en aurez I'honneur et le plaisir. _Je recevrai la cour et la noblesse ?_ Oui, tout cela chez moi se fait servir. 1:50 *Les rendez-vons de noble compagnie se donnent tous dans ce charmant séjour. Et doucement on y passe la vie à celebrer le champagne et l'amour.* 2:30 Dans ma prairie fraiche et fleurie, dame jolie viendra s'asseoir. Celui qu'elle aime d'amour extreme rientôt de même viendra le soir. Puis le feuillage d'un frais rivage les encourage à soupirer. Et sous I'ombrage, tendre langage, serments d'usage de s'adorer.
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Dankjewel voor de tekst Henri !!!!!! Je bent AMAZING !!!!!
@hrbooksmusic7878
@hrbooksmusic7878 3 месяца назад
Diese Oper kenne ich gar nicht… aber ich freue mich, nun zumindest ein Duett daraus hören zu dürfen! 🌞🌞🌞 Ein toller alter Platten-Schatz! 👍 Vielen Dank fürs Teilen, lieber Henk! 🙏🍀
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Danke das du es so schon vindest Henriette !!!! Und gerne gemacht !!!!
@hrbooksmusic7878
@hrbooksmusic7878 3 месяца назад
@@henkgloudemans8886 Einen schönen Abend wünsche ich Dir, lieber Henk! 🌅🌅🌅
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
@@hrbooksmusic7878 Danke Henriette ebensoviel fur dich !!!!
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
1909 - _Duo : Les Rendez-Vous_ - de l'opéra _Le Pré-Aux-Clercs_ - Ferdinand Hérold (musique) & Eugène de Planard (paroles) - Jeanne Marignan (soprano) & Hippolyte Belhomme (basse) *Jeanne Marignan* (Jane Alida; né 19 août 1873, Nîmes; décédé 1924 Paris) : Chanteuse d'opéra soprano. Elle a étudié le chant au Conservatoire de Paris auprès de Melchissèdec, Mangin et d'autres professeurs. En 1895, elle remporte le Prix du Conservatoire de Paris et fait ses débuts la même année à l'Opéra-Comique de Paris dans le rôle-titre de l'opéra Galathée de Victor Massé. Elle se produit ensuite quelque temps dans les opéras de province français, mais revient en 1899 à l'Opéra-Comique. Là, elle est apparue comme Eurydice dans "Orphée" de Gluck, Donna Elvira dans "Don Giovanni", Alice Ford dans "Falstaff" de Verdi, Manon dans "Manon" de Massenet et Musetta dans "La" de Puccini. Bohème''. Puis elle entreprend des tournées, se produisant à nouveau dans les opéras de province français et en 1908, elle est engagée par le Théâtre Lyrique de Paris. Elle a probablement pris sa retraite de la Stahe en 1910. *Hippolyte Belhomme* (né 1854, Paris; décédé 1923, Nice) : Il étudie le chant au Conservatoire de Paris et fait ses débuts en 1879 à l'Opéra-Comique de Paris dans le rôle de Baskir dans « Lalla Rookh » de David. Dans cet opéra, il apparut le 10 février 1881 dans le rôle de Crespel lors de la première de l'opéra « Hoffmanns Erzählungen » d'Offenbach. Jusqu'en 1886, il reste à l'Opéra-Comique, puis chante de 1886 à 1889 à l'Opéra de Lyon, lors de la saison 1890-91 à l'Opéra de Marseille. En 1891, il revient à l'Opéra-Comique de Paris, dont il reste membre jusqu'à la fin de sa carrière. En 1894, il y chanta lors de la première française de « Falstaff » de Verdi dans le rôle du Pistolet. En 1895, il participe à la création de « La Navarraise » de Massenet. Ici, le 2 février 1900, il endosse un petit rôle dans la première de « Louise » de Charpentier. De 1902 à 1905, il se produit au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles, où il se forme également en 1907 dans le rôle de Kezal lors de la première française de « Verkaufter Braut » de Smetana. Il apparaît à Bruxelles dans les premières des opéras « Grisélidis » de Massenet (1903) et « Tosca » de Puccini (1904). Au Grand Opéra de Paris il se produit en 1892 et 1911, il chante également à l'Opéra de Nice. En 1910, il apparaît à l'Opéra-Comique de Paris dans les premières des opéras "Le Mariage de Télémaque" de Claude Terrasse et "On ne badine pas avec l'amour" de Gabriel Pierné et "Le Voile du Bonheur". '' de Charles Pons. En 1916, il se retire de la scène. *Le Pré aux clercs* est un opéra-comique en trois actes de Louis-Joseph-Ferdinand Hérold sur un livret d'Eugène de Planard, basé sur la Chronique du temps de Charles IX de Prosper Mérimée (1829). La première représentation eut lieu à Paris le 15 décembre 1832, à l'Opéra-Comique1. Création Contexte En 1832, Paris est frappée par le choléra et les changements incessants de gouvernement à la suite des Trois Glorieuses en 1830. L'Opéra Comique n'est pas en reste et doit déménager de la salle Ventadour à la salle des Nouveautés, plus petite et moins coûteuse. Le directeur d'alors, Émile Laurent, demande alors aux députés une nouvelle salle en interpellant la chambre: "L'opéra-comique est une création toute français, un genre de spectacle qui réunit l’intérêt du drame au charme des compositions lyriques. Tour à tour national, impérial ou royal, l'Opéra Comique a toujours été compris au nombre des grands théâtres devant concourir à la répartition des fonds appliqués par l'État à soutenir les établissements dramatiques. La Chambre, jalouse de conserver à la France cette suprématie dans les arts que les étrangers eux-mêmes se plaisent à reconnaître, ne voudra sans doute pas priver la capitale d'un genre vraiment français. La chute de l'Opéra Comique entraînerait celle du Conservatoire et de l'école de musique à Rome, où nos jeunes compositeurs prennent des leçons de grands maîtres. La plupart des théâtres de province qui ne soutiennent que par le répertoire de l'Opéra Comique seraient bientôt fermés..." Livret Juste après les journées révolutionnaires de juillet 1830, la France, entrée dans la Monarchie de Juillet, est encore en émoi. Suivant sa tradition, et pour éviter les conflits avec le pouvoir, la scène lyrique parisienne ne traite pas le sujet politique de manière frontale mais l'opéra-comique de Hérold propose cette intrigue sur le fond du conflit qui débuta le jour du massacre des Protestants lors de la Saint-Barthélemy (25 août 1572). Le livret d'Eugène de Planard prend pour point de départ, en simplifiant l'intrigue en grandes lignes, le roman de Mérimée Chronique du règne de Charles IX, réquisitoire contre l'intolérance religieuse et les luttes fratricides, qui décrit d'une manière haute en couleur les jours qui précédèrent la Saint-Barthélémy, à la manière « troubadour » alors à la mode : entre comédie et drame, évoluent des personnages de cavaliers batailleurs et prétentieux (de fameux Cadets de Gascogne), des personnages secondaires truculents et une action pleine de rebondissements. Chasse royale, mariage secret, bal au Louvre, duel au Pré-aux-Clercs : un XVIe siècle reconstitué « à la manière d'un XIXe romantique », mais de façon assez scrupuleuse malgré quelques anachronismes (voir Chronique du règne de Charles IX). Avec le succès de Walter Scott, c'est en effet la mode des intrigues historiques et des romans de "style troubadour". Dans le roman, deux frères béarnais, le baron Bertrand de Mergy, protestant, et George de Mergy, converti au catholicisme, se retrouvent pris dans les guerres de religion, chacun dans un camp. Dans l'opéra-comique, le frère aîné disparaît : Marguerite de Valois, reine de Navarre, protège les amours de Bertrand de Mergy, épris d’Isabelle de Montal, qu'il connaît depuis son enfance mais que le roi a promis à son favori, le marquis de Comminges. Alors que la chasse royale passe par là, la Reine fait halte avec sa suite dans l'auberge du Pré-aux-Clercs de Girot. Nicette, la filleule de la reine qu'elle vient visiter, est en effet fiancée à Girot. Or le baron Bertrand de Mergy s'y est aussi arrêté, en route pour Paris depuis son Béarn natal. Isabelle de Montal retrouve donc son ami d'enfance qu'elle n'a pu oublier. Le jeune Béarnais huguenot, amoureux d'une noble catholique, ne peut faire oublier sa religion tombée en disgrâce. Ils se marient cependant en secret avec l'aide et la protection de la Reine. Pour son aimée, Bertrand se bat en duel contre son rival, Comminges, et le tue. Le jeune baron de Mergy et sa nouvelle épousée Isabelle peuvent donc s’enfuir dans leur Béarn natal avec la bénédiction de la Reine Marguerite (ce qui se décale de l'intrigue de Mérimée, dont la fin reste ambiguë). Parallèlement, se déroulent les amours de Nicette, filleule de Marguerite de Navarre, et de Girot qui tient une auberge à Paris, au Pré-aux-Clercs. Personnages Marguerite de Valois, reine de Navarre Isabelle de Montal, sa suivante Girot, amant de Nicette, aubergiste Nicette Magal, filleule de la reine de Navarre Baron Bertrand de Mergy, cadet béarnais, amant d'Isabelle Comte de Comminges, favori du Roi à qui est promise Isabelle Cantarelli Un Brigadier, l'exempt du guet, deux Archers Réception D'apparence légère et plaisante tant par l'intrigue, galante, et mêlant efficacité dramatique et pointes comiques ou truculentes, que par sa musique, gaie et vive, à l'orchestration dense et raffinée, cet opéra-comique délicieux gagne immédiatement un grand succès, malgré les réserves critiques, et se joue 1608 fois jusqu'en 1949 à l'Opéra Comique. Cet immense succès, presque contemporain des Huguenots de Meyerbeer, montre que l’œuvre entre parfaitement en résonance avec les préoccupations du temps et de nouvelles ambitions d'un genre prétendument léger... Il est repris à l'Opéra-Comique pour la saison 2014-2015
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
Louis-Joseph *Ferdinand Hérold* est un compositeur français, né le 28 janvier 1791 à Paris et mort le 19 janvier 1833 à Neuilly-sur-Seine D’origine alsacienne, Ferdinand Hérold est fils unique de François-Joseph Hérold (1755-1802), pianiste et compositeur, et de Jeanne-Gabrielle Pascal. Il est le petit-fils d’un organiste, Nicolas Hérold. Il est donc élevé dans une atmosphère musicale. D’autant plus qu’entré au pensionnat Hix à l’âge de six ans, il suit parallèlement des cours de théorie musicale avec François-Joseph Fétis, le futur éditeur de La Revue musicale. À l’âge de sept ans, il joue du piano et commence déjà à composer. Son père s’opposait à ce qu’il fasse carrière dans la musique mais la mort de ce dernier, en 1802, lui permet de regarder ce projet avec plus de réalisme. Il entre au Conservatoire de Paris en 1806, où il a des professeurs de tout premier plan : son propre parrain Louis Adam (père du compositeur Adolphe Adam) en piano, Charles Simon Catel en harmonie, Rodolphe Kreutzer en violon et Étienne Nicolas Méhul en composition. En 1810, il gagne le premier prix de piano, avec un morceau qu’il avait lui-même composé, ce qui ne s’était jamais vu. Il part pour Rome avec François Rude et David d'Angers en 1813 après avoir remporté le Prix de Rome l’année précédente. Au printemps, il y compose sa première symphonie. Premières œuvres, premiers triomphes, premiers échecs En 1815, il part s’installer à Naples pour raisons de santé. Il y compose plusieurs morceaux, dont sa seconde symphonie et trois quatuors pour instruments à cordes. Son premier opéra, _La gioventù di Enrico Quinto (La Jeunesse d’Henri V)_ est représenté au Teatro del Fondo, sous le pseudonyme de Landriani. Alors que les compositeurs français étaient généralement mal reçus, il gagne le succès du public mais pas celui des compositeurs napolitains. Joachim Murat l’engage même pour enseigner le piano à ses filles, si bien qu’après son exécution, il doit quitter l’Italie. Il passe alors par l’Autriche, où Metternich l’emploie quelques mois, par Munich et la Suisse et regagne Paris. C’est alors qu’il acquiert la célébrité grâce à un opéra écrit en collaboration avec François-Adrien Boieldieu, _Charles de France_ (1816). Il connaît encore le succès cette même année avec un second opéra, _Les Rosières,_ dédié à son ami et professeur Méhul. Si La Clochette (1817) est encore une réussite, ce n’est pas le cas des opéras suivants _Le Premier venu_ et _Les Troqueurs_ (1819), déjà mis en musique en 1753 par Antoine Dauvergne. De mauvais choix de livrets compromettent encore _L’Amour platonique_ et _L’Auteur mort et vivant._ Hérold, découragé, décide alors d’abandonner l’opéra. En 1821, il devient assistant au théâtre italien et voyage en Italie pour recruter des chanteurs. Il y retrouve la santé et l’inspiration. Il revient alors sur scène avec un nouvel opéra _Le Muletier_ (1823) sur un livret de Paul de Kock et Lasthénie, puis profite de l’engouement pour l’Espagne après la victoire française du Trocadéro pour présenter _Vendôme en Espagne,_ en collaboration avec Daniel-François-Esprit Auber (1823). En 1824, l’Opéra-Comique lui commande _Le Roi René._ Il continue cependant à travailler pour le théâtre italien où il devient « maître de chœur » en 1826. La maturité Il écrit toujours énormément et alterne échecs _(Le Lapin blanc, L’Illusion)_ et succès _(Marie, Emmeline)._ Il est néanmoins embauché à l’Académie royale de musique et fait chevalier de la Légion d’honneur en 1828. Il épouse le 15 novembre 1827 à Neuilly-sur-Seine Adélaïde Elise Rollet (1806-1861) qui lui donne un fils l'année suivante, Ferdinand, futur préfet de la Seine. 1828 voit la création, à la demande du maitre de ballet Jean-Pierre Aumer, d'une musique de ballet pour une œuvre préexistante depuis 1789 et dont les danses se faisaient sur des airs populaires français : _La Fille mal gardée,_ restée au répertoire jusqu'à nos jours. En plein essor du ballet romantique _(La Sylphide, La Fille du Danube, Giselle, La Péri...),_ dont les thèmes étaient généralement dramatiques, l'originalité de cette œuvre réside dans son sujet comique qui avait été décidé par Jean Dauberval. Musicalement, Hérold réussit à conférer une homogénéité expressive à cet ouvrage : pourtant, en plus de sa propre partition, il a recours à diverses pages de Jean-Paul-Egide Martini (plus connu pour sa mélodie _Plaisir d'amour),_ d'autres empruntées à Gioacchino Rossini et Gaetano Donizetti et adroitement insérées. Il est amusant de relever qu'en pleine expansion de la technique des pointes, c'est une danse de caractère qui retint le plus l'attention sur ce ballet, La Sabotière, dansée comme son nom l'indique, en sabots de bois. Aujourd'hui encore, de l'Opéra de Paris à Covent Garden, la tradition perdure. Le 3 mai 1831 a lieu la première de l'un de ses opéras les plus célèbres, Zampa, qui est un triomphe en France et en Allemagne où il est encore joué de nos jours. Après avoir collaboré à _La Marquise de Brinvilliers_ (avec entre autres Boieldieu et Auber) et écrit La Médecine sans médecin, il donne en 1832 ce qui est sans doute aujourd’hui son œuvre la plus connue, Le Pré aux clercs, qui atteindra la 1000e représentation en 1871. Mais en janvier 1833, un mois après la première, Hérold meurt de la tuberculose. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (13e division). Un opéra inachevé, Ludovic, est terminé par Jacques Fromental Halévy. Une partie de la rue d’Argout, où se situe sa maison natale, dans le Ier arrondissement de Paris, est rebaptisée en son honneur en 1881. Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur (1828) Famille François-Joseph Hérold (1755-1802), musicien, marié en 1790 à Jeanne Gabrielle Pascal (1771-1860) Louis Joseph Ferdinand Hérold, marié en 1827 à Adélaïde Rollet Ferdinand Hérold (1828-1882), sénateur en 1876, préfet de la Seine en 1879-1882, marié en 1864 à Laure Jeanne Juliette Louvain de Pescheloche André Jules Ferdinand Hérold (1865-1940), écrivain Léonie Fernande Gabrielle Hérold (1867- ) Joseph Étienne Georges Hérold (1869-1879) Claire Eugénie Martianne Hérold (1870-1871) Louis Maurice Alphonse Hérold (1872-1962), artiste statuaire, maire d'Ablon-sur-Seine (1908-1919) Adèle Hérold (1830-1906), mariée en 1854 à Jean-Jules Clamageran (1827-1883) Eugène Hérold (1832- )
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
Œuvre Ferdinand Hérold laisse environ 160 partitions. Opéras La gioventù di Enrico quinto (1815), livret italien de Landriani adapté de la comédie d'Alexandre Duval - reçoit un accueil triomphal ; Charles de France ou Amour et Gloire (1816), en collaboration avec Boieldieu, livret de Théodore d'Artois et Emmanuel Théaulon ; Corinne au Capitole (1816) ; Les Rosières (1817), livret de Théaulon - 44 représentations ; La Clochette ou le Diable page (1817), livret de Théaulon - dépasse la 100e représentation ; Le Premier Venu ou Six lieues de chemin (1818) - ne se maintient pas à l'affiche ; Les Troqueurs (1819), d'après l'opéra de Dauvergne ; L'Amour platonique (1819), livret d'Auguste Rousseau - retiré après la générale ; L'Auteur mort et vivant (1820) ; Le Muletier (1823), livret de Paul de Kock d'après le conte de Jean de La Fontaine ; Lasthénie (1823) - 26 représentations ; Vendôme en Espagne (1823), en collaboration avec Auber ; Le Roi René ou La Provence au quinzième siècle (1824) - inspiré de mélodies provençales (échec) ; Le Lapin blanc (1825), livret de Mélesville et Carmouche ; Almédon ou le Monde renversé (1826), retitré Marie, livret d'Eugène de Planard - plus de 400 représentations à l'Opéra-Comique ; L'Illusion (1829) - une centaine de représentations ; Emmeline (1829) ; L'Auberge d'Auray (1830), en collaboration avec Michele Carafa ; Zampa ou la Fiancée de marbre (1831) - l'œuvre la plus connue d'Herold ; La Marquise de Brinvilliers (1831), drame lyrique collectif avec Auber, Batton, Berton, Blangini, Boieldieu, Carafa, Cherubini et Paër) ; La Médecine sans médecin (1832), opéra en un acte, livret de Scribe ; *Le Pré aux Clercs* (1832) - son ultime chef-d'œuvre ; Ludovic (1833) - complété après sa mort par Halévy. Sources : Vincent Giroud, « Hérold et Zampa reviennent à l'Opéra-Comique », Opéra Magazine no 26, février 2008. Ballets Précédant Adolphe Adam, Hérold est considéré comme l'un des pères du grand ballet romantique, avec Jean Schneitzhoëffer (compositeur de La Sylphide française de 1832). Astolphe et Joconde ou les Coureurs d'aventures (1827) ; La Somnambule ou l'Arrivée d'un nouveau seigneur (1827) ; La Fille mal gardée (1828) ; Lydie (1828) ; La Belle au bois dormant (1829) ; La Noce de village (1830). Autres Ariane (1811), cantate concourant pour l'obtention du Prix de Rome ; La Duchesse de La Vallière ou Mlle de Lavallière (1812), cantate qui lui vaut le Prix de Rome ; Symphonie no 1 en do majeur (1813) ; Trois quatuors pour instruments à cordes (1814) no 1 en ré majeur no 2 en ut majeur no 3 en sol mineur Symphonie no 2 en ré majeur (1815). 4 concertos pour piano et orchestre ː Concerto pour piano et orchestre n° 1, en mi majeur (1810) Concerto pour piano et orchestre n° 2, en mi bémol majeur (1811) Concerto pour piano et orchestre n° 3, en la majeur (1813) Concerto pour piano et orchestre n° 4, en mi mineur (1813) Hérold a également composé 6 sonates et 57 compositions diverses pour piano. Sonate n° 1 en ut majeur, opus 1 (1810) Sonate pour piano, opus 3 n° 1 Sonate pour piano, opus 3 n° 2 Sonate pour piano, opus 3 n° 3 Sonate « L’Amante disperato », opus 5 n° 2 Sonate en la bémol majeur opus 9, (1817) Discographie Musique instrumentale Quatre sonates pour harpe avec accompagnement d’alto par Rachel Talitman (harpe) et Pierre-Henry Xuereb (alto) - CD Harpandco 505014 (enregistré en 2008) Trois quatuors pour instruments à cordes par le quatuor Annesci - CD REM 311214 (enregistré en 1993) Caprice pour piano et orchestre à cordes par Robert Veyron-Lacroix (piano) et l'orchestre de chambre J.-F. Paillard, Jean-François Paillard (dir.) in Musique française sous la Restauration (+ Jadin, Bochsa et Nadermann) - LP Erato RC350 (enregistré en juin 1978) - inédit en CD Concertos pour piano et orchestre no 2 en mi bémol majeur, no 3 en la majeur & no 4 en mi mineur par Jean-Frédéric Neuburger, piano, et le Sinfonia Varsovia dirigé par Hervé Niquet - CD Mirare MIR127 (enregistré en 2010) Symphonies nos 1 et 2, ouvertures de Zampa et *Le Pré-aux-Clercs,* orchestre de la Suisse italienne, Wolf-Dieter Hauschild (dir.) - CD Dynamic CDS 282 (enregistré en 1998) Ballets La Somnambule, orchestre Victoria, Richard Bonynge (dir.) - CD Melba Recordings MR301087 (enregistré en 2004) La Fille mal gardée : Orchestra of the Royal Opera House Covent Garden, John Lanchbery (dir.). 2 CD Decca 480 849-2 (enregistré en 1980) - intégrale + Charles Lecocq, Mam'zelle Angot (ballet) par Richard Bonynge Royal Liverpool Philharmonic Orchestra, Barry Wordsworth (dir.). 2 CD EMI « Classics for pleasure » 7243-5-86178-2-5 (enregistré en 1983) - extraits + André Messager : Les Deux Pigeons par John Lanchbery et Isoline par Jean-Pierre Jacquillat Musique vocale Ariane, cantate de 1811 pour le Prix de Rome, Karine Deshayes (mezzo-soprano) & l'Ensemble Opera Fuoco, David Stern (dir.) - CD Zig Zig Territoire en partenariat avec le Palazzetto Bru Zane (ZZT337, enregistré en 2013) - en complément : arias et cantates de Cherubini (Médée & Circé), Boisselot (Velléda), Catel (Sémiramis) Opéras, opéras-comiques *Le Pré-aux-Clercs :* 1°) Berthe Monmart, Denise Boursin, Claudine Collart, Joseph Peyron, Camille Maurane, Gaston Rey, Lucien Lovano, Pierre Germain, chœurs et orchestre de la Radio-Lyrique, Robert Benedetti (dir.) - 2 CD Gaieté Lyrique 2020121 (enregistré en 1959) - intégrale + Le Muletier, André Mallabrera, Joseph Peyron, Gérard Friedmann, Lina Dachary, Claudine Collart, Orchestre lyrique de l’ORTF, Jean-Pierre Marty (enregistré en 1968) 2°) Renée Doria, Michèle Le Bris, Françoise Louvay, Michel Sénéchal, Adrien Legros, Pierre Giannotti, Jésus Etcheverry (dir.) - CD Philips Classics 456 603-2 (enregistré en 1963) - extraits + Ouverture de Zampa, Orchestre symphonique de Detroit, Paul Paray (dir.) - enregistré en 1960. Munger, 3°) Spyres... Chœurs et Orchestre Gulbenkian, Paul McCreesh (dir.) - Livre CD Opéra, édition Bru Zane (enregistré en 2015) - intégrale Précision : un coffret de 2 CD regroupant l'intégrale Benedetti et la sélection Etcheverry est paru à l'été 2015 chez Malibran, complété par des extraits de Zampa et l'ouverture dirigée par Paul Paray. Bibliographie Benoît Jouvin, _Hérold, sa vie et ses œuvres,_ Heugel, Paris, 1868 (consultable sur Google Books [archive]) Arthur Pougin, _Herold, coll. Les Musiciens célèbres,_ H. Laurens, Paris, 1906 André-Ferdinand Hérold, « _Souvenirs inédits de Ferdinand Hérold. Un musicien français à Vienne en 1815_ » in Revue musicale 6e année, S.I.M., 1910, p. 100-111 et 156-170. Hervé Audéon, « _Louis-Joseph-Ferdinand Hérold_ » dans Joël-Marie Fauquet (dir.), _Dictionnaire de la musique en France au xixe siècle,_ Fayard, 2003 (ISBN 2-213-59316-7) Hervé Audéon, _Lettres d'Italie suivies du journal et autres écrits_ (1804-1833) [archive], coll. _La Musique en France au xixe siècle,_ Musik-Édition Lucie Galland, Weinberg, 2008. Alexandre Dratwicki, _Hérold en Italie,_ coll. Perpetuum Mobile, Symétrie, 2009 (ISBN 978-2914373449) France-Yvonne Bril, « _Ferdinand Hérold_ (1791-1833) » dans Hervé Audéon, Michel C. Kiener, Nicolas Sarre (dir.), _Études sur l'opéra français du xixe siècle,_ Musik-Édition Lucie Galland, Weinberg, 2012.
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Dank voor het opnamejaar Henri !!! Aan het paper label te zien is dit een herpersing uit ca 1920 !!! Patheplaten van voor 1913 hadden een etched label !!!! En dank voor alle verdere info en de interessante biografieen van Jeanne Marignan en Hippolyte Belhomme !!!!! En ook voor het interessante en uitgebreide verhaal over de oprea ,,Le pre aux clercs" en alle verdere info !!!!! Dankbare groeten van Henk !!!!
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
En dank voor het prachtige uitgebreide verhaal over Ferdinand Herold !!!!
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
WAAAAAAWWWWWW !!!!! Wat een bezig baasje !!!!! Dank voor de lijsten met zijn werk !!!!! Een fijne vrijdagmiddag !!!! Ik ben dit weekend weg Henri maar mijn uploads gaan gewoon door !!!!
Далее
joseph schmidt live  div. liederen  met unieke foto's
12:38
小路飞嫁祸姐姐搞破坏 #路飞#海贼王
00:45
lezing Bernard Terlingen 3 april 2016 deel 1
28:29
Просмотров 1,7 тыс.
Groep agenten wil Joden niet meer beschermen!
5:23
Просмотров 47 тыс.
Snip en Snap verkeersdelict deel 1
10:11
Просмотров 48 тыс.
2e lockdown dag 1 - Solveigs Lied
6:52
Просмотров 7 тыс.
PATHEPHONE  PHONOGRAPHE GRAMOPHONE
2:34
Просмотров 222
Mijn Vriendinnetje
2:56
Просмотров 1,7 тыс.
Willy Derby - Twee Ogen Zo Blauw (1935)
2:54
Просмотров 8 тыс.
小路飞嫁祸姐姐搞破坏 #路飞#海贼王
00:45