Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION 

J'ai fait partie de ces filles qu'elle décrit. Enfin quelqu'un qui a une bonne analyse de ce que j'ai pu vivre, ça me détend et je me sens moins seule. Déjà enfant je regrettais de ne pas être un garçon. Je ne sais pas réellement pourquoi, mais c'est un passage qui peut arriver chez beaucoup d'enfant me semble t il. Avec le temps et mon histoire, je suis arrivée petit à petit à la détestation de mon corps, de mes attributs, de ma féminité, parce que je pensais que c'était à cause de ça que j'avais tous les problèmes possibles (notamment avec les hommes), au point que j'ai pensé à changer de sexe un jour. J'ai coupé mes cheveux, mes ongles, etc. Je me suis masculinisée en apparence. Je voulais être un homme. Car ça aurait été génial d'être un homme, ça aurait été plus simple pour tout. Je passais mon temps à les envier, à les imiter, à tenter de les comprendre pour me comporter comme eux. Hélas, c'est difficile de s'en echapper, avec tout ce qu'on nous mets dans le crane au sujet du feminisme, avec l'hyper sexualisation comme elle l'a si bien dit. Ca me touche car c'est justement cela : je détestais être une proie, un objet sexuel, des fesses et des seins sur pattes. Je voulais me libérer de cela. Cependant, je savais déjà au fond de moi meme que ce n'était pas la bonne solution. Alors je ne l'ai jamais fait. Ce n'est qu'une vieille idée qui n'a finalement pas germé en moi. Pour moi, la bonne solution est de s'accepter et de faire la paix avec son sexe et le sexe opposé. J'aime de plus en plus être une femme, même si c'est dur. Plus je m'accepte ainsi et plus je prends confiance en moi, je m'embellis, je deviens féminine. Un bonheur.

Cette femme est passionnante tellement elle est intelligente et sensée.c est la seule vidéo traitant de ce problème que j ai pu regardé en entier... cette personne mérite le respect ...👍👏

Enfin quelqu'un qui parle de ce phénomène sociétal de manière intelligente, sensée, sans jugement de valeur, sans émotivité, sans prise de position pour l'un ou pour l'autre. Grâce à cette entrevue j'ai pu me faire une vision claire. Merci mille fois.

Très très important ce travail de Pauline. Débat nécessaire qui malheureusement est censuré par la gauche et les média. On doit y parler. Merci pour l’interview 👏🏼

C’est une vidéo très intéressante. Pour ma part, j’ai bien réussi à y échapper. N’étant pas hétérosexuel, j’ai été dans la communauté lgbt. Histoire de rencontrer des gens comme moi. C’était une grossière erreur de ma part. Étant un garçon assez frêle et appréciant certaines choses considérées féminines tel que les chevaux, la cuisine, le dessin, la couture ainsi que les dessins animés, on m’a dit que j’étais trans. On me le répétait tellement de fois , on me donnait toujours des "preuves" de ma transidentité , que j’ai finis par y croire. Ensuite, j’ai pas mal tout perdu. Ce que je veux dire par là c’est que mes traits de personnalité s’arrêtaient juste à être trans. Et me plaindre de tout. Car c’est un peu tout ce qu’on faisait. Voir le négatif du monde qui nous entour et trouver la petite bête. Le garçon qui aimait dessiner des poneys, lui , il était disparu. En fait, mes connaissances en dessins ont pas mal disparu car j’étais devenu si dépressif que j’e n’avais plus envie de faire quoi que ce soit. En même temps, pas étonnant avec la victimisation à outrance et voir que le négatif. Toujours tout remettre sur la faute des autres sans jamais se remettre en question. C’est un peu ce que j’ai appris à faire dans cette communauté. Aujourd’hui, je suis enfin sortit de ce cercle vicieux. Mais à quel prix ? Je me suis fait plusieurs ennemis de ceux qui étaient anciennement mes amis. Il ne leur a pas fallut longtemps pour me détester. Cependant , maintenant je suis capable de voir la nuance du monde. Tout n’es pas noir ou blanc comme on me l’a fait croire. Il n’y a pas un côté de vilains et un des gentils.

Cette analyse est tellement pertinente et bienveillante, que c'est un bonheur de l'écouter. La voie est simple et ce mouvement qui a poussé vers le point de non retour des personnes qu'on n'a pas aidé à se poser les bonnes questions porte une responsabilité lourde dans le malheur d'autrui

Beaucoup de terrain couvert en 58 minutes. Bravo! Un point supplémentaire peut-être: l’argent en jeu: multinationales pharmaceutiques, chirurgiens vénaux, cliniques lucratives mais aussi carrières universitaires et bourses de recherche sur le sujet, postes de fonctionnaires, émissions tv qui font de l’audience et rapportent des recettes publicitaires… RU-vid me montre une pub pour une clinique de transition en accompagnement de cette vidéo. Un comble….

Quand j'étais jeune on nous disait "apprends à connaître et accepter ton corps" aujourd'hui le leitmotiv c'est "si tu n'es pas bien dans ton corps alors transforme le" ! C'est comme la sexualité, on parle de la sexualité aux enfants de plus en plus jeunes (avant qu'ils aient un intérêt ou une conscience de la sexualité) afin qu'ils puissent exprimer leurs différences sexuelles de manière naturelle.

Autant j'ai été agréablement surpris par la justesse du discours de la journaliste Pauline Quillon, autant j'ai aussi apprécié de percevoir que le journaliste qui pose les questions avait fait un travail de recherche au préalable. Bravo à vous.

Enfin qq'un qui parle de ce sujet de manière factuelle et précise, en faisant bien la part des choses et surtout avec respect. Merci.

Cette personne est brillante. Son discours est très mesuré et éclairant. J'ai beaucoup appris sur ce sujet nébuleux en l'écoutant. Merci Baudouin et VA+ pour cette interview.

Ce 21 ème siècle est formidable ......! En ce qui concerne la liberté sexuelle , tout est permis , nous avons même le devoir d'accepter le monde LGBT et ses dérives .......... Par contre pour la liberté d'opinion , c'est le retour à l'inquisition , à Torquemada et au bûcher ......!

c’est vraiment triste que ces jeunes filles ne comprennes pas qu’elles peuvent rejeter la féminité (dans son sens patriarcale : les jupes, les maquillage, la passivité ect.) sans rejeter leur femellité. Elles peuvent être des femmes avec des cheveux court, des vêtements larges et une passion pour le foot où les jeux vidéos, ça fait pas d’elles des hommes et ça veut pas dire qu’elles ne sont pas des femmes.

La fabrique de l'enfant transgenre est un superbe livre qui dénonce !

Bravo. Je suis un mâle hétéro de 48 ans et sans chercher à juger, je n'ai jamais compris ce phénomène qui m'apparaissait "nouveau". De plus en plus d'amis y sont confronté avec leurs progéniture. Dans mon ignorance absolue du phénomène je n'y voyais que programmation sociale, dissonance cognitive et influence contextuelle. Sans jeter aux orties mes prémices de réflexion je suis heureux d'avoir pour une fois un discours non militant sur le sujet qui m'en apprend plus en une heure que tout ce que j'ai pût entendre depuis le début. J'ai l'impression que cette idéologie déconstructiviste est globale et ne concerne pas que la dysphorie de genre mais bien tous les aspects sociaux, le zététisme, le wokisme, la cancel culture me paraissent jouer avec les mêmes mécanismes et œuvrent dans le même but, diviser toutes les communautés du monde quitte à en inventer de nouvelles afin de dominer par dessus les divisions...

Très claire et agréable interview, avec une jeune femme au discours posé et construit et un journaliste qui s'est informé et qui sait amener la personne interrogée vers la suite de son argumentation. Bref ce n'est pas du Bourdin, du Cohen ou du Salamé !!! Bravo et merci à vous deux.

Le propos de Madame Pauline Quillon est très intéressant : la plupart du temps, les jeunes désirant devenir de l'autre sexe l'expliquent par leur non-appartenance à un groupe. La société individualiste à détruit les groupes naturels, et cela crée des catastrophes dont ces jeunes sont victimes.

Des explications clair et limpides sur un sujet qui ne doit pas étre taboo .Elle en sais plus que certaines personne défendant la cause Lgbt...

Pour prendre racine, le progressisme doit répondre à 2 critères principaux: - viser une société industrialisée, trop riche, une société de loisir, bref, une société superficielle (1968). - cette société doit être dépourvue de toute dimension spirituelle (1789). On voit bien désormais que l'Occident est en bout de course. Il serait même souhaitable de précipiter sa chute pour reconstruire sur des bases saines.

Une sociologue très investit dans son travail, beaucoup de professionnalisme et d’impartialité . Très intéressant de a-z!

Cette femme est maintenant condamnée à la persécution, bon courage à elle.

Un reportage et une argumentation remarquables de bout en bout. A partager auprès des parents pour leurs enfants, et surtout auprès de mes collègues enseignants. Félicitations et remerciements.

Perso je suis trans et je suis outré de voir que certaines personnes se disent trans pour sentir un lien d'appartenance ou se trouver une raison à leurs mals êtres etc. La transition ça soulage mais ca règle pas tout les problèmes. Quelqu'un qui a des troubles anxieux restera qq'un avec des troubles anxieux on parle alors de deux choses bien différentes. Beaucoup de personnes aujourd'hui s'inscrivent dans la case trans par " facilité " et pour trouver ''une famille, du soutient '', en faite après ils/ elles détransitionnent pas étonnant. Pour moi être trans oui c'est source de souffrance et je suis souvent pris pour un trol part la communauté lgbt parce que j'ai une vision " arriéré " sur la transéxualité. Tout ce qui se fait aujourd'hui, avec les jeûnes enfants notamment je suis totalement contre. Moi aussi j aimerais donner mon avis, en tant que trans qui souffre et qui ne suis pas militant lgbt. Au debut la communauté lgbt militée pour la visibilité, la reconnaissance des droits des trans etc.. maintenant elle fait perdre ( à mon avis et sans mettre tout le monde dans le même panier) toute credibilité et un regard sur les trans presque pire qu'avant. C est de l androctrinement pour la plus part.. bref ça dégoûte.

Franchement ? un grand merci Va + pour votre travail. J'ai toujours voté bien à gauche (LFI). Mais j'entends parfois de telles absurdités dogmatiques (LGBT, culpabilisation des Blancs, rente mémorielle, jeu avec des stigmates identitaires en permanence qui menacent à mon sens l'équilibre entre les gens, etc.) que je viens sur votre chaîne pour trouver des contre-arguments ! Comme quoi, il y a du bon des 2 côtés. Merci d'être quand même ouverts et pas dans l'entre soi de gauche du type Le Média. On parle de médias appartenant aux milliardaires, de perte de liberté de la presse... et les mêmes ne parlent pas de leurs biais de sélection qui consistent à n'inviter que des gens pensant pareil ! Ce qui n'est pas votre cas.. Bravo l'équipe :-)

Merci Madame pour votre courage J'ai partagé à des proches vos propos Aidons aussi tous ces jeunes sous influence Et de plus ça s'aggrave

Mille mercis pour cette remise au point sur l'escroquerie de la transition qui se solde souvent par une détransition, une dépression, un suicide... Le problème des personnes qui souhaitent transitionner n'est pas d'être bien ou non dans leur sexe mais d'être bien ou non dans leur tête, tout est mental donc à elles de faire un travail d'acceptation de ce que la nature leur a donné, en sachant qu'on peut tous changer notre apparence naturellement.

Posez vous la question pourquoi cette idéologie prend une place formidable ds la société … qui dirige vraiment ce pays ? Ou plutôt quoi ?

Cette interview est très intéressante. Merci à VA Plus et à l'auteur de cette enquête ô combien nécessaire.

Bonne interview.... mais je doute qu'il soit regardé par les concernés. On nous aura bien mis la tête à l'envers avec "l'écoute de nos caprices", faisant de nous du même coups des paresseux intellectuels. Cette interview ne pourra avoir de l'effet qu'à la condition de retrouver l'amour, la passion, un retour à la sagesse, la nature de soi.

J'en ai souffert de cette dysphorie dans les années 80. Ce qui ma "sauvée " c'est d'avoir eu un père très bienveillant qui n'a pas hésité à me faire comprendre que oui on pouvait être une fille et préférer des activités assignées aux hommes, comme le bricolage ,la mécanique et même la maçonnerie. Je trouvais le milieu féminin assez chiant et limité alors que mes amis m'ont ouvert plus de perspectives. Puis la vie m'a comblée plus tard en étant maman de 3 fils. Bon heureusement, car me bouffer du rose et des princesses Disney à la con , c'était pas trop ma came, Sauf Mulan bien sûr. Ma mère était désespérée d'avoir un garçon manqué mais quand c'est plus fort que tout on y peut rien

Merci pour cette vidéo. Je nage en plein dedans avec une transition ratée en 2005. Je confirme, la chirurgie castratrice ne résout rien... Maintenant, je vis avec un corps qui n'est plus rien.

Pauline Quillon analyse et explique formidablement bien les rouages de cette idéologie dévastatrice, merci beaucoup pour cette entrevue passionnante. De plus cette dame possède une élocution parfaite, ce qui est désormais rare et d'autant plus rafraîchissant.

Bonjour, je suis tatoueur et j'ai beaucoup de gays, lesbiennes trans etc... dans ma clientelle, (ces personnes viennent chez moi car elles savent qu'il y a respect et absence de jugement). De ma 'petite' étude sociologique au fil des ans je vois (la vidéo mentionne la même chose) que le père est soit absent, soit peu représentatif du cercle familial, je constate aussi une mère qui endosse le rôle du père lorsqu'il n'est pas là ou une mère (aucune offense dans les propos qui vont suivre) qui aurait besoin d'aller voir un psy, ou enfin que le petit dernier est entouré de mère et de soeurs, résultat des courses des repères absents (dans le mot repère il y a père) et des gens perdus (surtout les hommes trans) perdus dans leur vie, leur corps etc... Je trouve que les filles s'en sortent mieux, elles acceptent et généralement deviennent lesbiennes (aucune chirurgie). Je vois aussi un monde 'progressiste' à la schwab, soros et consors qui ne fait que miner l'occident de l'intérieur en brisant les repères. A nous de contrer de telles visions du monde et de rajouter des repères

Cette femme est vraiment super agréable à écouter en plus d'être très pertinente. Excellente Interview.

Ce que j'aime dans cette vidéo, c'est que ça ne critique pas les trans en eux même, mais les dérives

Une invité de qualité et un interviewer qui a vraiment travailler le sujet ! Merci c'était très instructif

100% d'accord sur le fait que ces jeunes "disforique" sont souvent sous emprise quasiment sectaire.

49:30 C'est drôle, ce comportement s'approche de celui d'une secte, c'est pour ça que j'ai quitté les groupes LGBT dans lesquels j'étais bien que je sois gay ...

Des fois ça va encore plus loin que de juste affirmer l'identité. Dans le documentaire Trans Train suédois, une jeune fille explique qu'elle avait des doutes, elle est allée dans une clinique pour en discuter, et elle a même pas pu en discuter, alors que c'était ce qu'elle voulait !! Le médecin lui a direct prescrit des hormones ! Elle a eu la bonne réaction, elle a flippé et elle a laissé tomber.

Cet interview est passionnant. Et rempli de vérités, faut le montrer à tout le monde c'est d'utilité publique.

Excellent travail ! J'espère que cette vidéo a aiguillée de futurs parents vers les bonnes décisions à prendre pour leurs enfants.

04:20 en 14-18 le remède c'était les tranchées pour les hommes et l'usine pour les femmes, étrangement quand les gens sont occupés ils arrêtent de penser à ces conneries 👏

Ces cas spécifiques ne doivent pas devenir la norme .

Enfin ! Un de mes enfants pensait à 10 ans seulement être dans la situation décrite. Un exemple chez la sœur ainée d'une copine lui avait, je pense, donné l'envie "d'exister" de cette manière, cela couplé avec les enseignements culpabilisants en milieu scolaire sur les présupposées homophobie et transphobie… J'ai accueilli les paroles de mon enfant avec bienveillance (et bientraitance) tout en pointant quelques incohérences dans le discours et en disant de façon très détachée que de telles occurrences ne sont pas si communes qu'on veut bien le dire. Quelques temps plus tard mon enfant est arrivé à la conclusion que son genre était bien le sien et qu'il n'y avait pas "d'erreur". Ayant détecté chez plusieurs individus ce qu'ils ne connaissaient pas eux-mêmes ou que leur propre famille ignorait, si mon enfant avait été dans ce cas, je pense que je l'aurait su bien avant lui. Quoi qu'il en soit, je n'aime pas mon enfant pour son genre mais pour qui il est, donc cela n'a jamais revêtu la moindre importance à mes yeux. J'ai vu un père découvrir l'homosexualité de son fils de 17 ans… Je connaissais son orientation depuis les 12 ou 13 ans de l'enfant mais je n'avais rien dit. Le père à rejeté son enfant violemment. Je lui ai fait part de mon étonnement quant à son changement de sentiments vis à vis de l'enfant qui était identique à ce qu'il était quelques minutes plus tôt. Je lui ai dit qu'il était un imbécile. Il a réfléchi et devant mon attitude neutre face à la sexualité de son fils, il a décidé de revenir à de meilleurs sentiments. Les gens peuvent être bêtes, d'un côté comme de l'autre. Tout ce qui compte, réellement, c'est l'amour.

Et ouais on a bouleverser l'Occident pour des gens qui auraient du être envoyer dn psychiatrie.... Bravo

Une invitée de grande qualité, qui parle posément et étaie ses arguments de façon claire et dépassionnée, ce qui n'est pas fréquent sur un sujet aussi polarisant. Merci VA pour votre excellent travail.

Le pire d'en tout ça c'est l'absence de toutes les lois sur la protection de l'enfance, ou on se demande si elles existent encore.

Pourquoi ce type de comportements ne se passe JAMAIS dans des familles ou les parents sont des gens équilibrés ??? Pourquoi...???

des questions très pointues et assez bien posées chez VA. QU'on accepte ou pas cette discussion, ici elle est constructive et instructive...

Il s'agit souvent d'un simple problème psychologique malheureusement trop de gens ignorants et malveillants qui détruisent tout quand je regarde cette société ça me rend triste et en colère toutes ces mouvances sont dangereuses

Très bon sujet qui a d'ailleurs été traité avec expertise et finesse. Mon seul bémol est que personne n'a mentionné à qui profitait ce phénomène. A savoir les laboratoires pharmaceutiquess qui vont trouver des clients recurrents pour s'en mettre pleins les poches.

Je vois le temps de vidéo je me suis dit "1h a parler d'un truc où dans un vrais monde on devrais même pas en parler tellement c'est absurde "

Merci VA ! Très très bon reportage d’intérêt publique, à diffuser chez les jeunes !

Je rajouterai également que les jeunes femmes qui souhaitent transitionner en homme ont souvent subi des abus sexuels, je pense que cela doit jouer sur le rejet de leur propre corps

Quand elle explique que beaucoup de jeunes filles changent de sexe pour se sentir appartenir au groupe, c'est la définition même d'une secte!

A faire entendre à tous nos jeunes. Merci à Va plus et à cette intervenante, qui aborde un sujet difficile avec une très grande douceur.

si seulement vous mettiez autant d'énergie à instiguer et à dénoncer les abus sexuels et la pédophilie au sein de l'église catholique, vous seriez plus crédible aux yeux de tout de monde

Brillante cette femme, un plaisir à écouter. 😊

Ne tombez pas pour ce discours qui se veut informé et empathique, mais qui est totalement biaisé quand on est informés et/ou formés à la lecture d'articles et de statistiques. La psychiatrie, c'est scientifiquement et historiquement compliqué : non, cette femme n'est pas informée sur le transsexualisme. Elle croit seulement l'être. ◘ Petit exemple, parlons de 7:00 : les anciennes études n'avaient pas de diagnostic viable sur lequel se baser pour parler de transsexualisme, car le DSM-V est sorti en 2013. Avant le DSM-V, dans le DSM-IV, le désir ou l'impression persistante d'être de l'autre sexe n'était pas nécessaire/obligatoire pour le diagnostic de dysphorie de genre chez les enfants !! Donc on incluait des enfants qui ne se conformaient pas aux rôles de genres (vêtements, coupes de cheveux, groupes sociaux, comportement), par exemple des garçons qui jouait à la poupée avec des filles : AUCUN rapport avec la transidentité dont on parle actuellement. Ainsi, les études anciennes sont à interpréter avec rigueur : si tu prends une population d'enfants non transgenres pour ton étude, forcément à la fin t'auras toujours des enfants non transgenres. Donc, sur quelle étude se base-t-elle pour parler de "psychothérapie intensive ayant mené la majorité des enfants transsexuels à ne plus vouloir changer de sexe" ? Elle ne cite pas ses sources mais elle parle de clinique de genre canadienne. L'hypothèse la plus probable est donc que sa source est "Gender Identity Disorder and Psychosexual Problems in Children and Adolescents", un livre publié en 1995 par Dr Zucker, médecin qui était au sein d'une clinique de genre à Toronto. C'est le seul ancien livre adressant la détransition "au long court", car cela n'était quasi-pas étudié auparavant. Ce livre parlait de "80% de détransition" et était une réelle CATASTROPHE méthodologique. 42% des enfants inclus dans son étude n'avaient pas les critères pour le diagnostic de dysphorie de genre, et ce même avec les critères diagnostic très larges (et erronés) du DMS-IV ! La clinique canadienne a ensuite été fermée car elle pratiquait des thérapies de conversion anti-gay et anti-trans. [Autre hypothèse : l'étude " Desisting and persisting gender dysphoria after childhood: a qualitative follow-up study ", publiée en 2011 par Dr Steesma. Critères du DSM-IV donc forcément biaisée, mais en plus 40% des enfants ont été perdus de vue, et pourtant l'étude les a inclut dans le case "détransition", ce qui est aussi une catastrophe méthodologique.] Bref, du foutage de gueule médical que personne ne devrait prendre en compte. Nous n'avons à ce jour AUCUNE preuve scientifique que la psychothérapie intensive est un traitement adapté à la dysphorie de genre infantile ou adolescente. En avoir la suspicion et y croire, pourquoi pas, mais il faut bien dire que c'est une théorie : affirmer que c'est historiquement prouvé, c'est un pur mensonge.

Il y a une partie de ce qu’elle dit qui m’a fait réagir. Effectivement, ce sont souvent les filles qui sont sujettes à la transidentité et qu’elles rejettent leur féminité. Durant mon enfance, je rejetais le fait que je sois une fille. Je n’ai pas été lobotomisé par le phénomène de la transidentité parce que je savais au fond de moi que changer de sexe est impossible. Mais, j’ai souffert durant mon enfance d’avoir recours aux gens qui me disent qu’une ne fait pas ça et doivent faire ceci. Par exemple, les jouets, je préférais jouer auxLego que aux Barbies. J’ai plusieurs fois réclamer ces jouets, j’ai pu avoir ces jouets des années plus tard. J’ai trouvé écœurant que les adultes se concentrent sur le sexe de l’enfant que sur ses goûts. Ça ne veut pas forcément dire qu’un garçon qui joue à la poupée sera Gay plus tard. Mette des robes a été un défi pour moi, il y a eu une époque où tout allait bien mais ensuite, les gens me faisaient des remarques déplacées comme un sifflement ou pour me « taquiner », toucher le bout de ma robe et faire semblant de la soulever….. L’adolescence a été la pire période de ma vie, j’avais déjà un corps de femme à 12 ans mais j’étais encore une enfant dans ma tête. Au collège, les garçons me disaient comme quoi j’étais bonne, on me touchait les fesses etc… J’ai commencé à avoir de la haine envers les hommes, j’étais plus méfiante envers mon père. Je voyais partout, les pubs, jeux vidéo où les femmes sont hypersexualisées…..puis dans la sexualité, la femme est un objet de désir des hommes. Il y a aussi à entendre les conversations des hommes entre eux quand ils parlent des femmes. « Elle est bonne », « Si elle aime le sexe, c’est une s*lope » etc…. Rien qu’en voyant tous ces horribles choses……j’ai perdu foi en l’humanité. Je voyais très bien qu’il n’y avait aucun respect…. Je suis arrivée au lycée, j’ai pu avoir des amis (4 ans sans amis au collège). Il y avait 2 garçons dans mon groupe d’amis, ça a changé de ce que je pensais, ils avaient du respect pour les filles. L’année suivante, j’ai fait connaissance d’un gars qui est actuellement mon ami, il a été d’une extrême gentillesse avec moi…j’avais comme une impression qu’il soignait les blessures de mon passé. J’étais plus calme concernant les dérives sociétaires homme/femme. La haine est partie. L’année suivante, changement de lycée, j’ai encore connaissance avec un autre gars, lui, cette fois, a de l’amertume envers les féministes. Il tenait des discours à l’encontre des féministes, j’avais pensé que c’est un misogyne qui déteste les femmes. Au fil du temps, il a fini par me convaincre de l’absurdité du mouvement féministe. Elles se battent contre les hommes pas pour avoir les mêmes droits…..génial. Pendant ces années, j’avais une pression pas possible que je dois faire-ci, faire-ça en tant que fille. Jamais, j’aurais jamais pensé que les garçons en subissent des pressions, pas les mêmes que les filles en tout cas. C’est de là que j’ai réalisé que le respect entre les deux sexes ne se faisaient plus et on a la fâcheuse tendance à vouloir être du sexe opposé par moment. « On veut toujours avoir ce que les autres ont et on ne se contente pas de ce qu’on a » PS : Respectez-vous, apprenez à vous accepter, entourez-vous de personnes qui ont le même respect que vous et ayez un esprit analytique. Vous nagerez dans le bonheur et dans la paix.

Je penses que certaines personnes se trompe en effet de chemin Mais il faut accepter que pour certaines personnes la transition est importante et bénéfique et bien évidemment tout devrait être plus contrôler

Je vous invite à consulter l'étude de David Reimer sur des jumeaux dont l'un à été élevé comme une fille sous prétexte d'une expérience scientifique qui a tourné au drame spoilers (les deux se sont suicidés) Pour moi la dysphorie de genre existe réellement depuis toujours mais c'est clairement devenu une mode de notre époque

Nous sommes ce que nous faisons. Sauf qu'aujourd'hui nous ne faisons plus rien, l'industrie et la technologies nous ont rendu totalement obsolètes et oisifs. Voila pourquoi beaucoup se cherchent aujourd'hui (parfois très loin) une identité.

Je découvre votre chaîne. Votre invité est captivante par ça parole ça douceur ça neutralité, une magnifique personne . Je m’abonne.

Ces personnes deviennent finalement des cicatrices vivantes et malheureuses pour bcp d entre elles ! C est triste...

C’est pas la première fois que je tombe sur cette chaîne j’aime bcp le format et présentateur haha ☺️

Enfin une personne rationel, ce n'est ni de la propagande ni de l'agressivité

Les chromosomes XX pour les femmes et XY pour les hommes ne changent jamais. Ils sont codés à un niveau microscopique dans nos cellules. Et comme adultes, nous avons 30 TRILLIONS de cellules

Excellente interview! Effectivement, c'est une mouvance sectaire.

Que cela fait du bien, autant d'intelligence à propos d'un sujet qui alimentent tellement d'âneries ! Merci, madame !

Pour ceux qui parlent anglais, le documentaire de Matt Walsh ''What is a woman'' explore ce sujet en détail. Un régal.

Vous avez de droles facons de penser. Je suis assez d'accord sur les enfants quil faut attendre. Cependant, jai commence ma transition a 28 ans opérée à 32 ans. Je vais treeeees bien. Je suis active dans ma vie professionnelle. Je suis active dans les developpement sociale locale. Ca manque d'ouverture, de recherche poussée. C'est tres dirigé. Dommage

Je sujet me rappelle une vidéo déprimante au possible. C'était un tiktok d'une fille étasunienne qui allait transitionner avec ses amis mais elle personnelement ne voulais pas trasitionner elle en avait peur mais en même temps elle était aussi terrifié à l'idée d'aller contre la volonté de son groupe d'ami. La vidéo dure 30-40 secondes mais la détresse dans la voix de cette enfant m'a fendu le cœur

Trés pertinente interview Merci beaucoup Cordialement Rosalba Trentin

Très bonne interview qui récapitule bien les sources et les conséquences de cette idéologie. Etant une jeune fille dans la vingtaine, je constate par ma propre expérience que personne ne dit aux jeunes filles comment devenir une femme, aux jeunes garçons un homme. Je cherche encore comment devenir une femme, en regardant celles du passé ironiquement. L'école (à juste titre peut-être) voit les élèves comme indéfinissables, il faut accepter les différences, tout le monde est spécial, etc. Puis ils sont relâchés dans la nature, sans savoir qui ils sont. Pareil à l'université, on ne nous dit rien parce qu'on est des "adultes" (alors qu'on n'est rarement considéré comme des adultes en devenir en Terminale mais bon). Tout passe par l'imitation, on imite un modèle ou un contre-modèle, avant c'était l'inverse des parents, maintenant c'est l'inverse même de son sexe. Ce qu'on imagine être l'Autre est tellement dilué que des garçons pensent qu'être une fille, c'est porter des jupes, qu'on soit gentil avec eux, aimer la littérature et autres superficialités ou perversités. L'idéologie trans veut faire croire que l'exception donne le ton de la règle, alors qu'il n'y a rien de mal à suivre la règle avec quelques exceptions. Mais encore faut-il donner des exemples aux jeunes qui ne soient pas des chanteuses dénudées, des Andrew Tate, des activistes insupportables, des instagrammeuses menteuses ou des twittos débilitants.

J’ai connu une femme qui est née femme mais ne se sentait pas femme du tout. C’était bien avant le délire woke-Les-genoux. De fait elle était tellement mal dans sa peau… Mais c’était une exception statistique. Comparable aux albinos : c’est TRÈS, TRÈS rare !! Ces gens méritent tout notre respect et notre accueil. Là où je ne respecte plus et n’accueille plus du tout, c’est quand tout cela devient politique et le phénomène socio/politique s’hysterise comme on le voit aujourd’hui. Et lorsqu’on commence à toucher à l’inconscient des enfants, là j’ai envie de devenir violent. Il n’y a pas à initier le début d’une question dans l’esprit d’un enfant !!! Un enfant est malléable. Un enfant absorbe tout. Si on commence à initier le moindre sous-entendu, il n’a aucune défense. Ça s’applique à l’estime de soi, l’amour parental, les croyances diverses et… l’identité sexuelle. Ce qui arrive en ce moment est absolument gravissime.

Tout mon amour aux personnes transgenres. Je suis maman et chrétienne protestante. Ça me fait tellement mal de voir des jeunes que leur famille rejette et mettent à la porte, de voir des personnes insultées agressées 🥹 Même si je pense que Dieu ne fait pas d'erreur avec sa création, ce qui est sûr c'est que chaque personne a beaucoup de valeur à ses yeux, même ceux qui vivent mal leur genre biologique. Un homme avec des goûts ou traits de caractère dits "féminins" une femme avec des goûts et traits de caractère dits "masculins" ne sont pas anormaux et pas obligés de changer de genre, surtout à l'adolescence quand on est mal a l'aise avec son corps, sa féminité, sa masculinité. D'ailleurs l'augmentation des cas de dysphorie de genre a l'adolescence concerne en grande majorité des filles. Il m'est d'ailleurs arrivé à l'adolescence de ne pas accepter ma féminité et de me dire que j'aurai préféré être un garçon au vu de la difficulté d'être une femme dans le monde en général et des cas de violence sur les femmes que j'ai vu autour de moi. Mais jamais jusqu'à vouloir changer de genre, mais je peux comprendre qu'il y a une réelle souffrance chez certaines personnes. En tous cas Dieu aime tout le monde, Jésus ne rejette personne, il déteste la haine et la violence, Lui qui a été rejeté humilié craché dessus torturé crucifié sur une croix pour le message d'amour de paix de justice qu'il a annoncé pour tous, y compris les personnes transgenres, homosexuelles etc. Parents aimez vos enfants comme ils sont ne les rejetez pas. Je ne pourrai jamais cesser d'aimer et rejeter mes enfants pour ça. À ceux qui ont la haine et violence comme réaction : n'oubliez pas que vous avez des êtres humains en face pas des monstres. Des personnes qui souffrent, parfois en dépression jusqu'au suicide à cause de gens méchants comme vous. Et surtout par pitié arrêtez d'utiliser et salir Dieu comme excuse à votre haine! On peut ne pas comprendre la transidentité et ne pas être d'accord avec une légalisation administrative et médicalisation du changement de genre pour les jeunes, on peut même militer politiquement ou légalement contre ces changements dans la loi et les risques sur la santé des traitements hormonaux. Mais pas contre les individus. La haine et la violence c'est inacceptable. Un peu d'empathie et de respect bon sang. Ça ne veut pas dire être d'accord, juste être un humain digne de ce nom. Tout mon amour à ceux qui souffrent en général, confiez votre peine à Jésus il vous donnera la paix l'amour et la joie. "Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai" (parole de Jésus-Bible Matthieu 11:28) Tout mon amour et celui de Dieu 💙🙏🏼

Que Dieu vous protège Madame !

bonjour un conseil : si votre enfant a le doute d'identité n'essayer pas de l'envoyer un psy car c'estlui qui encourage vos enfants a changer son sex si vous remarquer dans les videos qui parle de se genre videos . les psychiatre sont les premier element qui font changer l'idiologie de vos enfants essaye de lui parler essaye de lui montrer se genre de video des videos des gens qui ont changer leurs sex mais ils regrettent y a plein . sauvez l'avenir de nos enfants !

Elle parle avec recul et intelligence, j'aime ça

cette femme à une très bonne interprétation de ce phénomène.

La vie pour chacun n'est pas toujours facile. S'accepter en fait partie.

Poursuivez votre œuvre et votre travail admirables !

Merci pour cette interview ! Il est très difficil de trouver des émission sur le sujet qui soit objectif et qui n'ait pas de visée idéologique... il y certes des documents écrits disponibles en ligne en cherchant bien, mais trop compliqué à comprendre lorsqu'on a fait aucune études médicales, psychologique ou sociologique. Je trouve ça dommage qu'un sujet aussi important fasse l'objet d'une si grande sencure. Le discour le plus courant ne va que dans un sens favorable aux transitions, ce qui ne permet pas aux citoyens lambda de se documenter de la façon la plus objective possible afin de se construire son propre avis. Il faut y passer beaucoup de temps, comme je le fais, mais évidement ce sujet ne passionne pas forcément les gens et ce serait donc bien que les reportages disponibles pour le grand publique ne soit pas pollué d'idéologie et relate plutôt des données médicales obejctives avec des argument pour et contre afin d'entendre un réel débat sur le sujet...

Très bon reportage, bien documenté, cette femme pose des mots là où il y a des maux de notre société. Merci beaucoup pour cette objectivité et cette nuance.

C'est bien ça, en réalité la question de la transe identité concerne qu'une stricte minorité de personne, mais les associations et militants veulent l'élargirent à tous sans doute pour se justifier (tout le monde le fait maintenant donc on a raison). Et bien entendu, ce sont encore les enfants qui en souffrent et finissent paumés. Interview très intéressante, quelques points dont j'ai du mal à suivre, mais analyse qui fait apprendre des choses.

Interview très intéressante Je remarque qu'actuellement nous sommes conduits majoritairement à aller sur des sites réactionnaires ( droite, patriote ou souverainiste) pour avoir accès à de vraies enquêtes détaillés et bien documentées

Ayant énormément d'amis trans, je trouve cette vidéo très problématique. Je l'ai regardée jusqu'au bout et j'ai écouté attentivement les arguments donnés par Pauline Quillon et si je peux saluer son investissement dans ses recherches, je trouve que son discours est infantilisant et très réducteur. Tout d'abord, non la transidentité, ce n'est pas un acte médical ! C'est avant tout une identité (c'est écrit dans le nom), donc oui le prise d'hormones et les opérations chirurgicales sont possibles mais elles ne sont pas obligatoires dans le parcours trans. Chacun et chacune décide de ce qui est bien pour soi-même et parfois ces personnes ont recours à la médecine et parfois pas. Ensuite, elle parle de la souffrance des personnes trans qui serait instrumentalisée pour obtenir des hormones et des chirurgies auprès des médecins. C'est absolument faux. Actuellement, c'est tout l'inverse : les personnes trans doivent prouver qu'elles sont en "bonne santé mentale", qu'elles sont suivies par un thérapeute et en plus de ça sur-performer la féminité ou la masculinité dans leur apparence physique pour qu'on daigne leur donner accès à des soins. Il est donc très exagéré de dire qu'il est facile d'y avoir accès. Enfin, elle remet la faute sur les parents qui devraient imposer à leur enfant des choix de vie "pour leur bien-être" sans écouter leur opinion, leur vécu. Je trouve déjà cela très questionnable car comment un enfant peut-il développer une autonomie de pensée et s'épanouir dans la vie s'il n'apprend pas à penser par lui-même et que ses expériences de vie sont niées ? Bref, il y a milles choses à redire de cet interview et je pense que nous aurions tous à y gagner à laisser les personnes concernées, personnes trans et personnes ayant détransitionnées, nous en parler plutôt que prendre la parole en pour eux. Il est urgent de laisser les personnes concernées parler pour elles-mêmes.

Super, ça résume et répond à beaucoup de sentiments ou pensées personelles. Toujours agréable d'entendre qu'on est pas tout seul à rester vaguement sain d'esprit dans ce monde qui part à la dérive.

Quand j'étais petite j'essayais de faire pipi comme les garçons. J'aimais avoir les cheveux courts et tous mes jouets étaient des jouets de garçons. J'ai jamais joué à la poupée et j'ai jamais eu de barbie de toute ma vie. Mon truc c'était la super nintendo, la playstation, je sortais et je jouais au foot avec mes cousins. Tous mes amis étaient des garçons (aujourd'hui encore tous mes amis sont des hommes). Je me sentais plus à l'aise avec eux qu'avec les filles. Et entre l'âge de 11 ans et jusqu'à l'âge de 14 ans j'ai eu envie de cacher mes attributs féminins. J'achetais de grandes chemises que je mettais avec des t-shirts comme les garçons. Je portais de grosses chaussures Caterpillar et j'adorais les casquettes. Je voulais pas qu'on voit mes nouveaux seins.. A ce moment là je détestais mon corps et j'arrivais pas à accepter les changements par lesquels je passais. Si j'avais vécu mon enfance et le début de mon adolescence en ces temps, je pense que je me serais dit que j'étais "trans" ou "non binaire" à cause de toute l'influence qui existe et toutes les vidéos et les influenceurs sur les réseaux. Mais j'ai vécu dans un temps où tout ça n'existait pas et j'en suis soulagée! Parce que tout ce que j'ai vécu n'était qu'une phase! A partir de l'âge de 17-18 ans j'ai fait la paix avec mon corps, je me suis sentie plus femme que jamais et aujourd'hui je n'ai aucun doute sur mon "genre". Je suis une femme point.. et j'adore mes attributs. Je pense que cette phase de doutes est normale et que tout le monde passe par là mais ça veut pas dire forcément qu'on est trans.

Complet et très instructif, merci pour ce reportage

27:00 le corps médical ne prend pas de recul. Le corps médical c'est devenu un marché... ils y voient une demande, de l'argent à se faire ,donc ils proposent l'offre. punto. La loi du marché est amorale.

Quand tu vois qu'on en a au plus haut de l'état !!!! Depuis qu'ils sont au pouvoir, on entend parler que de ça !!!

Un dialogue remarquablement intelligent et lucide (c'est devenu si rare de nos jours puisque l'idéologie a colonisé tous les secteurs de la pensée!) Un immense merci pour cette lumière 🙏🌟

Intervenante éclairée, réaliste et inspirante Merci pour ces précisions chirurgicales très bien explicitées !

La prostate est un organe exclusivement masculin. Si vous en avez une, vous êtes un homme quelle que soit la chirurgie que vous subissez pour modifier l'extérieur du corps.

Merci V. A. et à Pauline, pour ce partage, qu'elle intelligence et beaucoup de recherche et enquête sur le sujet,.... Quelle plaisir d'écouter quelqu'un avec une telle élocution et clairvoyance sur ce sujet, MERCI.

Je découvre la chaîne. Merci pour cette excellente émission, posée, bienveillante, qui a le courage de s'attaquer à cette énorme escroquerie qu'est la théorie du genre (qui il y a encore 10 ans "n'existait pas") et surtout à sa pire composante, la transition sexuelle, énorme marché. Je souffre, à chaque fois que j'y pense, pour toutes les personnes manipulées, détruites, mutilées qui, pensant trouver de l'aide, se laissent attraper par cet énorme mensonge.

Merci pour cette excellente interview. Juste pour clarifier une chose. L'endocrinologie n'est la prescription d'hormones. Il s'agit d'une discipline médicale qui étudie le système endocrinien dans son fonctionnement normal et pathologique et apporte des solutions aux anomalies. C'est elle qui étudie et traite le diabète, le cushing, les problèmes thyroïdiens etc.

Nous vivons dans une triple dystopie : 1/3 du « Meilleur des Mondes » 1/3 de 1984 1/3 d’ »Orange Mécanique » Trois chefs d’œuvre pour décrire notre monde merdique