Très beau reportage qui tombe à pic pour le mois des fiertés. C’est super de s’intéresser à cette communauté dans d’autres pays que le notre où il est plus difficile d'exister.
On peut appeler ça haine mais ça peut, ou pourrait, aussi être un désespoir de "belonging". Évidemment que les autres ne comptent pas et ne compteront jamais, c'est bien les autres tout notre désespoir. Demandez pas à un humain d'évoluer mentalement, la colère sera sa réponse. On se sent bien dans un troupeau, le nôtre. Chacun "tombe" dans un troupeau à la naissance presque, et c'est toujours infecte de devoir partager ses points de vue avec ceux qui ne s'identifieront jamais avec.
❤ Nous ne sommes peut être pas capable de changer définitivement, mais nous sommes capable de mouvement, et donc d'expérimenter plus ou moins de nouvel vie, bien sûr c'est mon point de vu et peut-être que je veux y croire. Par ce que ça me fait du bien.