Excellent récit historique, poétique, phylosophique, romantique et passionant, du ROYAUME DU CANADA, relaté par une clarté et une vitalité qui emportent l' heureux auditeur dans la barque des acteurs sur toute la durée de cette MERVEILLEUSE Aventure! GRATIAS , Grand CONTEUR, incomparable!
Ces images ont une valeur inestimables me permettant d'apprécier les constructions d'avant-guerre à Gaspé, l'histoire de Val-d'Espoir et de St-Octave (qui n'a pas perduré), et surtout, comment travaillaient mes grands-parents. J'ai particulièrement aimer voir comment les souches étaient arrachées par les chevaux ou les bœufs, et comment une église étaient construite tout en planches. Et 400$ le presbytère avec des gens qui travaillaient sans doute gratuitement!! Et les enfants sont beaux et en santé. Le bateau de croisière qui s'arrête à Gaspé, c'est aussi quelque chose. Gaspé était un bijou à l'époque, mais la plupart des plus beaux bâtiments ont périt dans les flammes ou sous les pics pour faire place à une route moderne au tournant des années 70-80. :-(
Mon village de St-Louis où je reconnais la maison de ma grand-mère et la maison de mon oncle, malheureusement on ne montre pas l'église , le presbytère et notre maison où j'ai vécu.
La morue est rare car il y a trop de phoques. Brigitte Bardot et le reportage exagérant à outrance la chasse aux phoques à fait en sorte de diminuer le stock de morues. Les gens préfèrent sauvegarder les phoques que les morues...
document certe, mais que dire de la vie de misère épouvantable de ces colons, femmes, enfants. un beau pays construit sur la misère. on voit les colons bien habillés, probablement le seul vêtement décent. Ayant des parents de cet époque, la vie était épouvantable. D'ailleurs, la moitié des colonies ont été fermées, les colons crevaient de faim. démagogie pure.
@@poo13828 Que voulez-vous, c'était dur...Oui ! Ils n'avaient pas les puissantes machineries ni la technologie pour rendre leurs tâches plus faciles...il faisait avec et ne se plaignaient pas. Ils bâtissaient en espérant des jours meilleurs pour leurs relèves. Faux ! ...ils n'étaient pas riches mais ne crevaient pas de faim. Ils avaient tous de grandes étendues de terres ou bestiaux et jardins étaient existants. Les caveaux étaient pleins avant l'hiver.Mes parents ont connu le rationnement pendant l'occupation Nazi en Europe...la, vous pourriez dire qu'ils crevaient de faim comparativement à l'Amérique du Nord. De toute façon, il n'y a pas de démagogie lorsqu on relate des faits historiques véridiques. Ces gens ont bâti la Gaspésie avec fierté et courage Ils ont tout mon respect !
Francois Baudoin Merci M. Beaudoin pour cotre commentaire. Cependant, je persiste à dire que les projets de colonies en Gaspésie et en Abitibi se sont fait sur d’horribles souffrances et sacrifices des colons, enfants, femmes et hommes, en plus de se faire exploiter par les firmes forestières britanniques et anglo-ontarienne. Un gâchis.
@@poo13828 J'admets tout de même pour avoir passé un bon moment en Gaspésie et avoir suivi un guide sur l'île Bonaventure, que nos fameux bâtisseurs étaient à la merci des prix que les commerçants Anglais voulaient bien payer. Et naturellement, ces commerçants entretenaient la pauvreté pour mieux contrôler. À cette époque, les cadres et dirigeants étaient pour ainsi dire tous Anglais ! Le peuple Français était vraiment née pour '' un petit pain ''. Merci, ce n'est plus le cas !
@@poo13828 Ma grand-mère, qui était raffinée et instruite, a habité quelques années sur une colonie avant de déménager à Gaspé où elle a créé boutique. Et elle disait qu'elle a passé les plus belles années de sa vie sur la colonie avec son jeune mari et sa belle-soeur. L'entraide, la collaboration, la camaraderie entre hommes et femmes étaient inégalés, et les tâches à accomplir agréables, car elles sont exécutées pour soi-même, pour assurer la survie et la qualité de vie. Et avec amour de son prochain. Chaque action avait un sens profond. Ce qui n'est pas la cas de plusieurs emplois salariés, où on travaille pour la paye. Une paye qu'on gaspille ensuite en objets, le plus souvent inutiles, qui brisent et qu'on ne sait pas fabriquer ou réparer soi-même. Mon grand-père savait faire des tonneau en bois, construire maison, faire l'électricité, faire de la mécanique, des meubles, et j'en passe. Mes grand-mères, savaient coudre, tricoter, faire leur propre laine, leurs propres vêtements, cuisine exquise à base de viande de chasse, et fruits des champs, alambics et alcool, et j'en passe. Les enfants aidaient, apprenaient, il y avait transfert de culture et de connaissances. Être indépendant, actif et autonome procure un sentiment de bien-être. Pendant qu'elles faisaient tout ça, je me soûlais jusqu'à 5 du matin. Je me levais à midi, et une ou l'autre avait cueilli des fraises, préparé du pain et du creton. Je me trouvais bien idiot et inutile avec ma vie de «plaisir».
Les morues étaient grosses dans ce temps-là, ça, c'est avant que les phoques les bouffent toutes dans les années 80 et 90... Gracieuseté de la surpêche et de l'hystérique à Bardot avec sa campagne contre la chasse aux phoques.
+Michel Lalonde: Depuis des temps immémoriaux, il y a eu beaucoup de phoques et ça n'a pas empêché la morue de foisonner, jusqu'à l'avènement de la surpêche. Sans des gens comme Bardot, les phoques auraient déjà connu le même sort que les morues.
maltraitance des animaux, cruaute de toute sorte, ignorance durant la grande depression. Degradation de l' ecologie et nos braves autochtones on en parle pas.
Zéro faute , c est en 1938-39 , Même encore de nos jours il y a différents accents ,selon les régions . Pour ce qui est de la musique, bin c'est le type de musiques qu on utilisait dans ces types de documentaires à connotation touristique . Ne pas être en mesure d apprécier ces richesses que sont ces documentaires , prouve hors de tout doute , votre ignorance de l histoire de nos régions éloignées.
