EN TROUVANT UNE FEMME ÉVANOUIE DANS LA FORÊT, LE FERMIER EST RESTÉ PARALYSÉ EN VOYANT SON BRACELET.. 

EN TROUVANT UNE FEMME ÉVANOUIE DANS LA FORÊT, LE FERMIER EST RESTÉ PARALYSÉ EN VOYANT SON BRACELET..
La vie à la ferme des Alvarez était paisible et sereine. Joaquin et Carmen, un couple travailleur et aimant, consacraient leurs journées à cultiver la terre et à prendre soin de leur unique fille, Isabelle. La fillette, âgée de seulement dix ans, était la joie de la famille. Ses rires résonnaient dans les champs, et sa curiosité incessante la poussait à explorer sans cesse de nouveaux recoins de la propriété. Par une matinée ensoleillée de printemps, Isabelle demanda la permission à ses parents d’aller se promener dans la forêt voisine. Carmen, toujours prudente, avertit: "Ne t’éloigne pas trop, Isabelle. Reste où nous pouvons entendre ton appel." Isabelle, avec son sourire captivant, promit d’obéir et courut vers les arbres, accompagnée de son fidèle chien, Max. Les heures passèrent et la tranquillité du jour fit place à l’inquiétude. Quand le soleil commença à se coucher, Joaquin appela Isabelle, mais n’obtint pas de réponse. Carmen, sentant un frisson dans le dos, commença à parcourir les environs de la maison, appelant sa fille par son nom. "Isabelle! Isabelle!" Le silence qui suivit fut assourdissant. Le désespoir s’empara des parents. Joaquin courut au village voisin chercher de l’aide. La nouvelle de la disparition d’Isabelle se répandit rapidement, et bientôt toute la communauté se mobilisa.
Hommes et femmes, avec des lanternes et des torches, formèrent des groupes de recherche, pénétrant dans la forêt dans un effort commun pour retrouver la fillette disparue. Pendant ce temps, Carmen, le cœur serré, attendait sur la véranda de la ferme, les yeux fixés sur l’obscurité croissante de la forêt. Joaquin, revenant avec les voisins, tenta de la réconforter. "Nous allons la retrouver, Carmen. Nous allons la ramener." La nuit avançait et la tension augmentait. Les recherches continuaient, mais il n’y avait aucun signe d’Isabelle. Joaquin et Carmen restaient fermes, mais la peur et l’angoisse étaient palpables. Les voisins tentaient de les encourager, mais les heures s’éternisaient sans nouvelles. Soudain, un cri d’un des chercheurs brisa le silence de la nuit: "J’ai trouvé quelque chose!" Tout le monde courut en direction du son. Sur le sol de la forêt, près d’un ruisseau, se trouvait le ruban bleu qu’Isabelle portait dans les cheveux. Carmen tomba à genoux, tenant le ruban comme si sa vie en dépendait. Joaquin la serra fort, essayant de lui offrir un peu de réconfort. La découverte du ruban apporta un mélange d’espoir et de terreur. La communauté redoubla d’efforts, mais l’obscurité rendait la recherche encore plus difficile. Les minutes se transformaient en heures, et la fatigue commençait à se faire sentir parmi les chercheurs. Cependant, personne n’était prêt à abandonner.