Ma review de ERIC, la nouvelle mini-série de Netflix avec Benedict Cumberbatch. #netflix #serie #streaming #ericnetflix #benedictcumberbatch #lecranfou #80s #woke
Disons-le d'emblée, la série ERIC est décevante. À la vision de ces six épisodes paresseux, on se demande si l'excellent Benedict Cumberbatch n'avait pas quelques impôts à payer cette année. Que propose ERIC de nouveau ? Rien, si ce n'est une énième variation sur le thème du "sauver l'enfant" que nous avons déjà vu et revu sous toutes les formes possibles et imaginables. L'intrigue principale met en scène un personnage (Cumberbatch) qui cherche désespérément son fils enlevé. Ce père tourmenté communique avec une marionnette géante devant tout le monde sans que cela n'entraîne de véritables conséquences. Incontrôlable dans son travail, il est marionnettiste à la télévision... un métier peu valorisant dans ce contexte. Le suspense est totalement absent, la série nous montrant Eric en bonne santé, tenu en otage par des personnages parmi les plus ridicules de l'année : un clochard avec des dreadlocks et une toxicomane si cliché que vous risquez l'overdose rien qu'en la voyant. C'est un ratage complet, loin des envolées de Sherlock. Ajoutez à cela un arrière-goût de morale woke, avec un policier homosexuel qui perd son amant du sida et toutes les leçons de morale données de manière forcée, et vous obtenez un scénario visiblement écrit sans originalité. ERIC échoue dans toutes ses entreprises. Mieux vaut revoir un épisode de Sherlock ou simplement aller se promener dehors et écouter les oiseaux chanter. On en retirera toujours plus que du vide intersidéral proposé par ERIC. En conclusion, ERIC n'échappe pas à la longue série de films et/ou séries Netflix qui ont un bon postulat de départ, mais dont le développement et la conclusion sont, encore une fois, bâclés et à côté de la plaque. On a hâte de voir Benedict Cumberbatch dans un rôle à sa hauteur.
Merci d'avoir spoilé la fin. J'ai pas du tout accroché et ai lâché après l'épisode 3. Il se passe pas grand chose dans les épisodes, ça s'attarde sur 3000 intrigues annexes. Je m'en fous du flic gay, je veux voir avancer l'enquête... Vraiment pas fan.
La reproduction des années 80 est assez incroyable! Les passages dans les rues ou bien les métros, les figurants..pfuii! C'est grandiose! Et authentique surtout! Et puis des muppets quoi!! J'adore!
Netflix, énormément de déchets, mais pour des pépites folles comme Ripley, The Killer, Petit renne, et dernièrement Adagio, et avant Kalifat, joyau méconnu, et maintenant Eric, ils parviennent toujours à te ramener à eux les salauds
Également enfant des années 80, j'ai souvenir de la paranoïa suscitée par l'apparition du SIDA dans toutes les sphères: sociale, politique, médicale... Ici le fait d'avoir un personnage homosexuel Noir et flic sont des éléments contextuels nécessaires et légitimes pour retranscrire cette réalité sociétale encore d'actualité qui servent le récit. Tu fais bien de rappeler brièvement ce qu'est le wokisme car cette série n'est pas Woke mais progressiste contrairement à ce que j'entends ailleurs. Je crois que les Woke m'insupportent autant que les anti-woke. Deux extrêmes qui transportent des idéologies moribondes. Très bonne série/critique 👍
Salut, Merci pour ton travail. C’est toujours intéressant, même si bien sûr je ne suis pas toujours d’accord. Mais c’est toujours intéressant de confronter des points de vues. Je voulais te remercier de m’avoir motivé à regarder Éric. Ça fait longtemps que je n’avais pas regardé une série si prenante et qui nous prend pas pour de c…. Et de woo… Pour une fois la différence est amenée avec contexte et subtilité. Bon dimanche
Je suis arrivée au 5ieme épisode mais je ne comprends pas trop les commentaires qui disent que cette série est géniale :/. Pas beaucoup de rebondissements,bcp de scènes qui t'apportent pas grand chose.Bref je vais qd mm aller jusqu'àu bout par simple curiosité 😅
Salut l'écran fou !!! Hum je sens que je vais le regarder d'une traite 😊. Avec la saveur des années 80's hummmm !!! comme avec l'acteur Oscar Isaac comme la Mini série " Show Me a Hero " et le film " A Most Violent Year " J'ai hâte,mais d'abord ce soir priorité a une scéance quasi a date et heure unique pour 🥁🥁🥁 : Late Night with the Devil 😱
Super, comme pour The Loop où j'avais vendu une série SF à mon jeune fils jusqu'à ce que le gardien du complexe scientifique se pignole devant la photo de son pote et que je me perde en explications, là j'ai l'inspecteur qui retrouve sa "chérie" alitée... je m'étais juré d'arrêter les séries Netflix hormis les animes, j'aurais du m'écouter.
Ah , tu me hypes bien comme il faut. Entre cette série, le prochain film animé Baki et Godzilla Minus One, mon prochain WE est déjà rempli ! (On me glisse à l'oreillette que pour GMO, Netflix France nous met une quenelle version palette...)
Je vois des muppets partout! Leloup 5.1 vient de sortir un arc narratif autour des muppets aussi (si tu connais pas jette un oeil c'est sympa) J'ai connu aussi Fragglerock. Sinon y'a les Feebles aussi à voir....
une fin "incroyable" ? j'ai été très déçu par l'intrigue finale. Certains personnages sont caricaturaux (le maire, le père du personnage principal, ...). Pour moi, c 'est une série woke. Un détail parmi d'autres : les seules scènes intimes (inutiles) sont entre homosexuels. les personnages négatifs sont tous blancs....
Je n'aurai que 2 mots pour cette série : lente et chiante Le père comme la mère sont agaçants. Je n'ai accroché à aucun des personnages. 6 épisodes pour ça.
Pas vraiment d'accord sur la définition de woke mais bon... pour moi c'est surtout un mot valise utilisé à tort et à travers pour tout et n'importe quoi, par littérelement tout le monde, dont chacun a sa définition, et qui au final ne veut plus dire grand chose. Il y a autant de significations que de gens, et celle-ci va varier selon ton bord politique donc... De plus, j'irais pas aussi loin pour parler de Bridgerton (la nuance est la clé de tout bonne analyse 😉). C'est clairement pas un chef d'oeuvre d'écriture, maisà l'inverse d'Eric, laserie n'a jamais eu vocation à s'ancrer dans une réalité historique. Elle s'inspire de l'époque victorienne, mais ça s'arrête là. C'est une série de fantastique, et c'est là tout le principe, parce que le contexte (pas du tout réaliste) fait partie de l'univers et est admis par tout le monde, personnages comme spectateurs, si tant est qu'on accepte de passer ce "contrat". C'est sur que si tu regardes la série d'un point de vue de l'historien, y'a rien qui va, mais la série n'a jamais prétendu vouloir coller à une réalité historique. C'est un parti pris particulier, c'est tout, on adhère ou on adhère pas. La série nous dit tout au début pourquoi par exemple on ne doit pas s'étonner de voir des noirs ou des asiatiques faire partie de la haute société au calme comme si c'était normal. En gros, le dilemne c'est ça : non, en effet, on est pas censé voir des noirs nobles au cinéma si on veut faire une série réaliste. Mais et si les gens avaient quand même envie d'en voir ? Le but même de la fiction c'est de faire ce que la réalité a manqué, ou ne peut pas faire. Encore une fois, on adhère ou pas, mais la série n'a jamais prétendu être ce qu'elle n'est pas, donc pour peu qu'on accepte de rentrer dans le délire ça ne choque en rien. La force d'Eric, à l'inverse, c'est de s'ancrer dans le réalisme. Là oui, on a choisi de s'ancrer dans New York réaliste, qui a vraiment existé, avec ses travers et ses perversions. On le sait dès les premières minutes de la série, et si l'environnement parait à ce point malsain, c'est pour contraster avec les premières scènes du film sur le plateau télé pour enfants avec plein de couleurs. Mais si on avait vu des drapeaux arc en ciel ça n'aurait pas été "woke", ça aurait juste été anachronique. Même si pour moi, encore une fois, le plus souvent c'est une question de parti pris. Ca ne justifie pas toutes les flemmardises, raccourcis et facilités bien sûr, mais il faut tout nuancer.
Décevant cette série. ça pue encore dans le wokisme. Méchants riches blancs, juste bon à crevé du sida. Surenchère de drama... Ayé, je l'ai déjà oublié.
