ET CE SOIR... Sur Odysee, Bitchute... et Crowd ! 

Je reproduis le commentaire de notre cher contributeur, auteur de mille et une remarques pertinentes, @trepanation9103 : " La compréhension de l’hermaphrodisme, androgynie, freemartinisme ou intersexe est née de l’observation chez les éleveurs que certaines chèvres naissaient parfois sans corne ou que d’autres étaient stériles dans des cas de gémellité spécifique et par extension chez tous les bovidés (caprins, ovins, bovins). Compréhension également que chez les équidés, ingérer de l’urine de jument en gestation apportait des œstrogènes à l’humain qui subissait des modifications physiologiques. Compréhension aussi que la fermentation bactérienne de cholestérol tiré d’huiles végétales (soja par exemple) apportait de la testostérone et produisait des effets inverses aux œstrogènes. On comprit alors par empirisme qu’une femelle portant deux faux-jumeaux développe un risque que, si les placentas fusionnent suffisamment tôt au cours de la gestation, les ovules finissent par partager sang et hormone. Ce niveau plus élevé de testostérone provoque alors un sous-développement de l’appareil reproducteur pour la femelle sans affecter le mâle. La femelle contient alors de l’ADN XX et XY, des marqueurs mâles mais est stérile. Le mâle reste XY mais il est reproductible. Chez l’humain, la méthode « in utero » a été développé pour produire de l’hermaphrodite, pas besoin d’attendre une fausse gémellité. Il suffit d’injecter au sein du placenta, et au moment opportun, c’est-à-dire avant le développement de l’appareil reproducteur, l’hormone opposée à l’ovule en développement. Ainsi un ovule femelle additionné de testostérone produira un hermaphrodite XX-XY, stérile, avec micro-pénis et traits masculins fluctuants, selon les hormones qu’elle prendra. Un ovule mâle additionné d’œstrogène produira un hermaphrodite XY, reproductible avec traits féminins fluctuants, selon les hormones qu’il prendra. On résumera que pour l’humain, les conditions de l’hermaphrodisme spontané n’existent que dans le cas de fausse gémellité et artificiellement dans le cas de la méthode in utero. Ainsi pour en revenir au personnage « Alexandra » celui-ci, de ses propres dires, narre une grossesse unique donc il ne peut s’agir que soit d’un hermaphrodite femelle à l’origine, bidouillé in utero ou bien alors d’un gros mythomane homme, ayant fait sa transition de genre au Maroc comme toute la petite bande du réseau Doucé, dont Jean-Mimi, Françoise Noguès, Dalida et bien d’autres dont il semble proche par les milieux fréquentés. Je pencherai pour la deuxième solution car les marqueurs masculins passé la quarantaine reviennent en force malgré la prise d’œstrogène et l’adjonction de bloqueurs hormonaux comme le Distibène. Et dans ce cas c’est particulièrement frappant tandis que chez un vrai hermaphrodite l’ambiguïté se maintient plus « harmonieusement » si j’ose dire."

Encore une vidéo finement analysée. Une chose que je n'ai pas comprise, pourquoi sa mère aurait pris du distil bène à 16 ans ?

Merci Prune, j' avais regardé ce témoignage, je vous rejoins c'est grotesque, une supercherie de+

Lorsque j'entends parler de Maud Marian, --avocat-, je vois à chaque fois le souvenir de Maud Marin, transsexuel devenu avocat au barreau de Paris dans les années 80. Patronyme, physionomie, profession..... Alors je m'interroge....

non, pas vu cette interview et tu m'évite, Prune, de devoir le faire car les extraits que tu montres me font bien rire... ça pue l'arnaque oui, je n'y crois pas une seconde et j'ai aussi l'impression qu'il récite un e histoire (opportuniste) ... " hé bé " c'est pas fini avec ces tordus du melon !!!! MERCI Prune pour ton travail.

Bonsoir chère Prune, chouette! la saga macaron continue 😋 je sens qu'on va se régaler

Petit détail : il faut l'appeler Madame, mais je remarque que lorsqu'elle parle de son passage à l'hôpital Necker -"Enfants malades", elle parle au masculin "Je n'étais pas "tout seul" dans ce cas-là" (à 33.50 mn sur Odysée)...

Ma bien chère Dame Prune, La compréhension de l’hermaphrodisme, androgynie, freemartinisme ou intersexe est née de l’observation chez les éleveurs que certaines chèvres naissaient parfois sans corne ou que d’autres étaient stériles dans des cas de gémellité spécifique et par extension chez tous les bovidés (caprins, ovins, bovins). Compréhension également que chez les équidés, ingérer de l’urine de jument en gestation apportait des œstrogènes à l’humain qui subissait des modifications physiologiques. Compréhension aussi que la fermentation bactérienne de cholestérol tiré d’huiles végétales (soja par exemple) apportait de la testostérone et produisait des effets inverses aux œstrogènes. On comprit alors par empirisme qu’une femelle portant deux faux-jumeaux développe un risque que, si les placentas fusionnent suffisamment tôt au cours de la gestation, les ovules finissent par partager sang et hormone. Ce niveau plus élevé de testostérone provoque alors un sous-développement de l’appareil reproducteur pour la femelle sans affecter le mâle. La femelle contient alors de l’ADN XX et XY, des marqueurs mâles mais est stérile. Le mâle reste XY mais il est reproductible. Chez l’humain, la méthode « in utero » a été développé pour produire de l’hermaphrodite, pas besoin d’attendre une fausse gémellité. Il suffit d’injecter au sein du placenta, et au moment opportun, c’est-à-dire avant le développement de l’appareil reproducteur, l’hormone opposée à l’ovule en développement. Ainsi un ovule femelle additionné de testostérone produira un hermaphrodite XX-XY, stérile, avec micro-pénis et traits masculins fluctuants, selon les hormones qu’elle prendra. Un ovule mâle additionné d’œstrogène produira un hermaphrodite XY, reproductible avec traits féminins fluctuants, selon les hormones qu’il prendra. On résumera que pour l’humain, les conditions de l’hermaphrodisme spontané n’existent que dans le cas de fausse gémellité et artificiellement dans le cas de la méthode in utero. Ainsi pour en revenir au personnage « Alexandra » celui-ci, de ses propres dires, narre une grossesse unique donc il ne peut s’agir que soit d’un hermaphrodite femelle à l’origine, bidouillé in utero ou bien alors d’un gros mythomane homme, ayant fait sa transition de genre au Maroc comme toute la petite bande du réseau Doucé, dont Jean-Mimi, Françoise Noguès, Dalida et bien d’autres dont il semble proche par les milieux fréquentés. Je pencherai pour la deuxième solution car les marqueurs masculins passé la quarantaine reviennent en force malgré la prise d’œstrogène et l’adjonction de bloqueurs hormonaux comme le Distibène. Et dans ce cas c’est particulièrement frappant tandis que chez un vrai hermaphrodite l’ambiguïté se maintient plus « harmonieusement » si j’ose dire.

Merci prune, génial "comme d'habitude" ( pour rester sur le même chanteur hihihi) ❤❤❤

Merci Prune 🌸😘🌸

Chapeau !!!! Comme toujours c’est enlevé et drôle, passionnant et très troublant !!! Je n’avais entendu qu’un extrait - j’ignorais qu’il y avait plus. Là en écoutant Alexandrie Alexandra, elle/il dit un moment “l’enfant..” en parlant de iel (😫) ça fait drôle ! Puis ta réflexion sur le médoc à action trans-générationelle, fou comme cela explique des choses, sans compter le paracetamol etc… J’ai hâte de voir la suite ! Bon oui j’oublie encore un truc énorme : Alexandrie Alexandra ayant connu Mme le docteur et certainement Mme brigitte, Mr le berger.. tout le gratin, sacré merdier

Emmanuelle Jean Michel , n oublions pas ;)

Une perle ! Incroyable

Histoire sans fin. C'est bien une saga. Merci Prune.

Ouiiiiii 🎉🎉🎉merci par avance❤

Bonjour Prune ! J'ai hâte d'entendre l'émission ! A très vite :)

waouw🎉, merci ❤

Vous nous faites nous poser des questions et réfléchir... N'est-ce pas un beau compliment ? 👍💛

Fondant et croustillant 😉🥯🍭

Merci gentille Prune ❤

Cocorica ! 🐓 🐔 Lol trop fort le t r a v fm s'essaie d'gliseer une prune....

Bisous prune, j't'aime beaucoup

Alex et André sont dans un bateau ... ou une galère peut-être, qui prend l'eau de partou'ze ...allo quoi !

et aussi sur Crow'dé'bunker ! Whaou ... sans "serpentine" censure cette fois-ci ...Yessssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss.........................

Haha ! C' pas demain qu'tu dépassera les bornes ! Shtag ! #borntobe.???

SYLVAIN ✌️❤️

put... vous laissez pas les leins! sheet!

Personnellement, ce personnage n’a rien d’une femme au vu de la morphologie( taille , carrure, jambes, mâchoires)le regard, les mains, la voix. Son discours ressemble à un pitch bien appris et incohérent à certains moments. Je n’ai visionné que ce que vous avez montré. Mais le discours semble effectivement adapté pour toucher le plus grand nombre. Elle parle de ses parents alors qu’elle dit juste avant que sa mère est morte.

Chapeau !!!! Comme toujours c’est enlevé et drôle, passionnant et très troublant !!! Je n’avais entendu qu’un extrait - j’ignorais qu’il y avait plus. Là en écoutant Alexandrie Alexandra, elle/il dit un moment “l’enfant..” en parlant de iel (😫) ça fait drôle ! Puis ta réflexion sur le médoc à action trans-générationelle, fou comme cela explique des choses, sans compter le paracetamol etc… J’ai hâte de voir la suite ! Bon oui j’oublie encore un truc énorme : Alexandrie Alexandra ayant connu Mme le docteur et certainement Mme brigitte, Mr le berger.. tout le gratin, sacré merdier