Le débat contradictoire entre Nicolas Marty, représentant de l'association antispéciste ACTA, qui interroge l'utilisation des chevaux, et Jocelyne Porcher, sociologue, qui défend la notion de travail pour l'animal.
4 года назад
pourquoi madame Pocher finit la conférence par "non non c'est pas vrai "? Ce n'est pas honnête cela ! pourquoi mettre en doute la parole de ce monsieur et le faire passer pour un idiot qui ne connaîtrait rien aux animaux ? Lui me semble beaucoup plus coopératif en tous cas ! Elle fait un package des antispécistes et il n'y a qu'elle qui sait Nul !
C'est d'autant plus rageant et décevant qu'elle est directrice de recherche et donc censée savoir faire preuve d'un esprit scientifique. Or dire "j'en connais pas donc c'est pas vrai" c'est tout sauf valide...
Il est vrai que la liberté est une valeur très importante pour les chevaux dont ils sont trop souvent privés et qui explique beaucoup d'accidents et donc l'emploi de moyens de coercition. Aller vers une équitation non violente serait déjà un pas considérable. Mais tant que l'éducation des humains sera violente, celle des chevaux ne pourra pas être différente.
Débat très intéressant, qui mérite d'être poursuivi et suivi par toutes les composantes de la filière équine et des cavaliers, dont je fais partie. Quelques remises en questions aussi, en nous rappelant qu'un cheval ne naît pas domestiqué... mais qu'il le devient dès lors qu'un humain le décide !
Je trouve l'approche de Mme Porcher bien trop anthropomorphique - un cheval dont tous les besoins physiologiques sont comblés ne sera pas en détresse s'il n'est pas travaillé. Oui un animal domestique doit être éduqué, non le travail n'est pas nécessaire à leur bien-être. Mr Marty serait effectivement plus crédible s'il avait côtoyé le milieu équin.
Merci Hélène, pour ta récente conférence sur le sujet et sur le partage de cette vidéo. Je suis interloquée de ce que j'y ai entendu de la part de Mme Porcher et des gens qui ont posé des questions. La violence institutionnelle faite au chevaux a été finalement assez peu abordée. En tout cas, le regard des animalistes et des antispécistes sur l'équitation va sûrement faire changer les choses pour les chevaux, ce que toutes les publications scientifiques n'ont malheureusement pas réussi à faire.
