@@haasskurtskurt6864 ah bon? Tu dirais qui alors parce que des beatmakers très très chauds il y en a plein évidemment mais s’il y en a un qui est sorti du lot en 2023, c’est bien lui il est jeune, innovant et otn qu’est ce qu’il est chaud.
je met rarement des commentaires mais la j'avoue que la prod est réellement bien réalisée et je tenais à te feliciter parceque le mood est incroyable !!!!
Je prépare un EP en ce moment franchement merci mon frero tu m'inspires tellement, jv tout faire pour avoir des prod du Chicky, j'crois il y en a déjà 1 ou 2 c'est sur 🎉🎉🎉
J’me suis poser devant l’mirroir Et j’ai contempler mes cernes J’n’ai pas oser faire mon devoir Et en quoi ça te concerne Si mes problèmes sont les miens Alors pourquoi tu te referme J’ai pas voulu te faire du mal Est-ce pour ça que tu t’enfermes Devant x8 les autres j’ai du mal x2 A montrer mes émotions Vivre mes sentiments Évacuer la pression Ne pas être déprimant Te cacher ma dépression J’avance craintivement Malgré tout mes prévisions Le malheur est imminent Et j’ai du rester serein Qui était là, quand, j’en avais besoin Pourtant, je ressens, ce chagrin Dans tous, ce que, j’entretiens Suis-je, vilain, infecté, d’un, certain, venin, une ombre, C’est toujours la même, que je vois, dans tous les recoins, Un mauvais pas, au pieds du gouffre Ne comprennais pas Je suis un homme, et puis je souffre De différentes choses N’ai-je pas le droit, a un dernier souffle Mais plutôt un soupir, Quand je dit quelque chose qui vous touches Je vous faits tous souffrir
Putain qu'est-ce on s'aimait , Et j'en pleure encore sa mère T'as tourné la page et t'as brûlé le livre pendant qu'jsuis bloqué dans l'sommaire T'as pris tes affaires et mon coeur quand notre heure sonnait , Comme harçonné Lentement, t'as tué chacuns de mes rêves comme à l'arsenic, Et mes cauchemars sont nés , Quelle putain d'garce unique De plaies jsuis parsemé Maman fait que d'me répéter qu'c'est jamais l'bon moment pour être triste Mes émotions jamais j'maitrise , Jvais m'étouffer marre d'être ici , Jrevois sans cesse c'qu'on a tissé Les projets qu'on batissait J'avance, à deux à l'heure les souvenirs comme boulet, Ma vie t'as chamboulé J'ai perdu la boule et j'commence a croire que c'est c'qu'elle voulait
Gamin des rues, dans l'ombre, la vie en stéréo, Comme Bukowski, les mots sont son ghetto. Entre les pages, Balzac lui sert de repère, Sa vie, un roman, mélange de Dante et de Voltaire. Comme Basquiat, il peint sur les murs du destin, Les échos de son rap résonnent comme Ginsberg. Les rires des psychopathes, échos de sa tess, Dans ce monde à la Taxi Driver, il trace sa trace. Sa vie, un puzzle, à la David Lynch, étrange, Les rêves de Kubrick, dans sa tête se mélangent. Entre les lignes de Baudelaire, il déambule, Comme un Rimbaud des temps modernes, une bulle. Son flow psychopathe, comme dans les vers de Poe, La rue, son asile, sa toile, son tableau. Tel un Tarantino, il scénarise ses journées, Des séquences de vie, parfois décalées. Dans l'ombre, il danse sur des beats de requiem, Son âme, un mix de Pink Floyd et de Nerval. Il écrit son histoire, à la manière d'un Hunter S. Thompson, Dans ce monde, gamin, il joue sa partition.
everything about you i want you by my side But if ur love no true Im gon fight for is till die jme regarde devant le mirroir jause pas ouvrir le tirroir ou mm voir ses ptit detail qui fait en sorte que jvs pas pouvoir
J'rature un texte dans l'escalier, à côté d'mes affaires sur le palier, amour / bonheur, n'est-ce pas lié (amour et toujours ne sont-ils plus liés ?), y'a 6 mois t'étais ma plus grande alliée. C'est comme si j'm'étais donné pour batir les murs d'un espace qui s'ra jamais à moi, anéanti, j'ai en badé à mort, heureusement que je n'ai jamais pensé à boire. L'herbe est toujours plus verte ailleurs, en sa compagnie j'ai rempli des cahiers, Me remomérant sa mouvanace dans sans tailleur, hier la romance était à l'heure. Sensation d'm'étaler, j'te jure depuis t'à l'heure, j'vais app'ler ce son "la frustration d'un dalleu" la haine classée dans des intercalaires, soit disant révolue j'la ressens comme pas deux Il est vrai qu'on fait souvent le plein de bonheur en buvant et en s'bouchant les artères, pour moi c'qui comptait c'est qu'c'était avec toi que j'partageais ce verre allongé par terre. On se suffit du monde sans jamais trop y penser un peu comme si y'avait rien à r'faire, C'pas non plus l'enfer, le vrai monde est beaucoup plus hard frère. Des mélos mêlées à des coeurs ornées d'un vocodeur m'envoient dans le décors, Quelques mois d'écart, toi tu lisais des bouquins, avec un peu d'recul j'aurais du t'écouter. Je l'aime à mourir cette passion m'écoeure, lorsque j'me sentais bien, j'arrêtais d'écrire. Ses pleurs sont si durs à décrire, des tréfonds d'mon corps j'ai pas cessé d'y croire. J'veux être ton coup d'coeur, En musique et en amour, Ça m'a trop coûté de me donner Pardon si j'tais plus là pour. Ce soir j't'écla la pure cette nouvelle c'était pas la pire, Te confier ma loyauté j'crois c'n'tait pas la peine (Et on sinquiete quznd l'un de nous deux manque à l'appel) J'commence début d'couplet plutôt violent, ça sonne moins poésie sans les violons, Trop tôt pour oser prendre le volant, on y échappera que si nous volons haut. Ici bas la beuh ne vient pas d'hollande, mais capable de t'coller comme un autocollant, Le flow et les riment pour m'épauler, rédiger le fruit d'un état dégringolant. J'ai parlé j'ai écrit radoté les principes, en général pour qu'ça passe faut qu't''insistes, Investis toi l'génie c'est qu'une pincée, De sel pour qu'elle ai meilleure goût ta soupe (heinn) Soit trop soit trop peu de compassions La preuve, y'aurait pas tant d'combats sinon, Ni de nouvelles sur lesquelles nous bassinons qui nous choquent dont on parle à chaque occasion. C'était la plus honnête et la plus actrice , D'mon équilibre elle était la créatrice, blessure atroce, sans cicatrices, Tu préferes saigner que t'sentir giga triste? Relativise t'as tes yeux pour voir t'as ton coeur pour vivre, t'attends quoi cloître, la porte d'où provient tes malheurs, resistant j'en avais pas l'air, de l'amour j'ai cru ne plus en voir la couleur d'où ma colère, d'où ma polaire, personne tolère un tel froid d'ailleurs faut qu'je rentre c'est bientôt l'heure. Dans l'temps, y'avait en moi ce danger, qui m'a fait rédiger les écrits qu'j'ai engendré, Tout un tas d'ratures j'ai, Dramaturgé, prisonnier d'mes émotions elle est ma peine à purger. Évidement ça fait des conflits ça c'est connu, mais la nature de l'embrouille c'est c'qui t'étonne, Éloigne-toi des gens froids qui te polluent, En Janvier Peine à purger J'aime pas me rendre compte des problèmes, car ça devient ma faute si j'fais rien, J'veux m'refaire, gros t'as pas idée, Juste kiffer les bails sans vie pailletté, ça a pas été, j'étais dans etat sans vitalité, alors forcément ça a pas aidé (Tous les mots que tu prononces sont d'un dédain sans nom, Parfois j'en mets quelques-uns d'eux dans mes chansons, Donc on s'en rallume un dès qu'nous redescendons, Optimiste seul'ment si t'oublies c'que les gens sont)
Un verre de vodka sur la table le chaos c'est l'objectif, la prochaine étape J'étais persuadé que j'étais bien puis j'ai fais des erreurs qui ont pris de la place D j'arrive en bas de la city à 4h du mat' seulement pour péter le crâne Les pensées néfastes dans mon cerveau s'anime comme un kirin j'oublie et je mechappe Yeah dont talk shit about you Yeah i feel crazy Yeah i feel crazy And its so cold Un verre de vodka sur la table, un joint dans la main je rate ma vie Faire face au lendemain, qui sera pourtant le même qu'etait aujourd'hui Check des le réveil si le joins est fini Ptn fais chier faut que je roule en deuspi Quelques heures de taff mais j'ai aucune envie J'ai juste envie de rester pour rapper dans mon lit Alors j'allume la deter et je le fais Une journée passe et arrive la soirée Ou je retrouve mes gars pour enfin me poser Et continuer ce teh que j'avais délaissé
pour fuir mes idées noires, j'ai tout tenté je crois j'ai r'compté mes pas, failli m'égarer sauté des r'pas, comme pour réparer mais c'est toujours pareil, elles reviennent et repartent alors j'ai perdu du poids, vivais dans l'paraitre j'ai croisé les doigts, évité d'en parler comme si elles m'regardaient, prier d'en bas un Ciel contrarié qui m'répond pas