Gérard BERLINER - Louise - Une superbe chanson-film ! 

Je ne me souvenais pas!!!!magnifique chanson décrivant la condition des femmes servantes, seules, keur mari ou fiancé parti à la guerre... Gérard Berliner souffre autant qu'elles dans cette chanson, je pleure😢

Je n'ai pas de mots pour dire à quelle point cette chanson est magnifique. Gérard Berliner c'était un géant .. .Merci de nous avoir laissé cette sublime chanson. Même si elle évoque la 1ere guerre mondiale elle restera à jamais dans mon ❤.. cœur ❤️ ❤️ ❤️ . Les anciens ont vraiment eu du courage pendant cette grande guerre. Nous avons une chance inouîe de vivre notre époque même s'il y a des problèmes... nous sommes libres et cela n'a pas de prix...

Un chef d'œuvre là condition des femmes ya pas si longtemps oubliée des médias et Judith Godrech

Magistral😢

Gérard Berliner interprète avec tellement d'intensité et de cœur cette magnifique chanson que c'est à se demander si dans sa famille il n'y a pas eu une Louise qui a connu le même destin... Les cierges qui reviennent dans votre illustration m'évoquent ceux que certaines ont dû faire brûler pendant la guerre pour demander le retour de leur mari, fiancé, père, fils ou frère... 5:17

🙏merci 🙏✨ ✨

Une chanson pleine d humanité ❤ j adore

Comme vous dites, une superbe chanson qui retrace si bien cette triste période. Elle est très belle et très émouvante. Je l'écoute toujours à ce jour 😢

Des gens ne connaissent pas cette magnifique merci pour la video je l ecoute la nuit pendant mon travail

magnifique

Magnifique

touchée

MAGNIFIQUE CHANSON, MAGNIFIQUE MONTAGE.

Sublime à en pleurer !!! Erik Chorfi le poète

Une histoire de femme. Le passage sur l'avortement est particulièrement dur. Tellement de femmes ne s'en sont pas sorties physiquement et moralement. Avec la présence de Dieu...

Mais qui a soulagé sa peine, porté son bois, porté les seaux Offert une échappe de laine, le jour de la foire aux chevaux Et qui a pris soin de son âme et l’a bercée dedans son lit Qui l’a traitée comme une femme au moins une fois dans sa vie Le bois que portait Louise, c’est le Bon Dieu qui le portait Le froid dont souffrait Louise, c’est le Bon Dieu qui le souffrait C’n’était qu’un homme des équipes du chantier des chemins de fer À l’heure laissée aux domestiques, elle le rejoignait près des barrières Me voudras-tu, moi qui sais coudre, signer mon nom et puis compter L’homme, à sa taille, sur la route passait son bras, la promenait L’amour qui tenait Louise, c’est le Bon Dieu qui le tenait Le regard bleu sur Louise c’est le Bon Dieu qui l’éclairait Ils sont partis vaille que vaille, mourir quatre ans dans les tranchées Et l’on racontait leurs batailles dans le salon après le thé Les lettres qu’attendait Louise, c’est le Bon Dieu qui les portait La guerre qui séparait Louise, c’est le Bon Dieu qui la voyait Un soir d'hiver sous la charpente, dans son lit cage elle a tué L’amour tout au fond de son ventre, par une aiguille à tricoter Si je vous garde, Louise, en place, c’est en cuisine, pas devant moi Ma fille, priez très fort pour que s’efface ce que l’curé m’a appris là Et la honte que cachait Louise, c’est le Bon Dieu qui l’a cachée Le soldat qu’attendait Louise, c’est le Bon Dieu qui l’a vu tomber Y’a cinquante ans, c’était en France, dans un village de l'Allier On n’accordait pas d'importance à une servante sans fiancé Le deuil qu’a porté Louise c’est le Bon Dieu qui l’a porté La vie qu’a travaillé Louise c’est le Bon Dieu qui l’a aidée.

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But who eased his pain, carried his wood, carried the buckets Offered a wool escape, the day of the horse fair And who took care of his soul and cradled it in his bed Who treated her like a woman at least once in her life The wood that Louise carried, it was the Good Lord who carried it The cold from which Louise suffered, it was the Good Lord who suffered it He was just a man from the railway construction teams At the hour left to the servants, she joined him near the gates Would you like me, me who can sew, sign my name and then count The man, at her waist, on the road, passed his arm, carried her The love that held Louise, it was the Good Lord who held it The blue gaze on Louise is the Good Lord who enlightened her They left somehow, to die four years in the trenches And we told their battles in the living room after tea The letters that Louise was waiting for, it was the Good Lord who carried them The war that separated Louise, it was the good Lord who saw it One winter evening under the frame, in her cage bed she killed Love deep in her womb, by a knitting needle If I keep you, Louise, in place, it's in the kitchen, not in front of me My daughter, pray very hard so that what the priest taught me there is erased And the shame that Louise hid, it was the Good Lord who hid it The soldier that Louise was waiting for, it was the Good Lord who saw him fall Fifty years ago, it was in France, in a village in the Allier We did not give importance to a servant without a fiancé The mourning that Louise wore it is the Good Lord who wore it The life that Louise worked on, it was the Good Lord who helped her.

Bravo pour le joli travail de montage. De toutes les vidéos de cette chanson présente sur RU-vid, il s'agit selon moi de la meilleure car c'est bien celle dont les images collent le mieux aux paroles. S'agissant de la chanson en alle-même, s'il me fallait établir un Top 10 des plus belles chansons françaises, "Louise" en ferait indéniablement partie car elle vous fait vivre le contexte de l'intérieur et prend aux tripes. En fait, elle a cette rare faculté de nous faire vivre la situation. Nous avons cette sensation étrange d'être les témoins privilégiés d'une histoire se déroulant sous nos yeux, de la même façon que lorsque l'on écoute "Non, je n'ai rien oublié" avec laquelle je n'hésite pas l'ombre d'une seconde à mettre sur la balance. Dès la première seconde, dès la première note au piano, les mêmes frissons me parcourent les épaules. Un discret "dong" au piano précédant "Mais qui a soulagé sa peine..." nous met déjà dans l'ambiance de ce que sera la chanson dans les moments à venir, préfigurant les joies et les souffrances de Louise, gentille fille de ferme au sujet de laquelle on se prend à imaginer qu'elle a peut-être existé et que son histoire s'est perdu dans les mémoires depuis le premier conflit mondial. Cependant, je suis à peu près certain que plus d'une Louise a du vivre le même cauchemar à cette époque lointaine et récente à la fois. Une époque où les anciens de ce temps-là, surtout à la campagne n'étaient pas spécialement réputés pour leur ouverture d'esprit tant ils étaient religieux. "Louise" ? Assurément une très grande chanson!! ❤❤❤