HERMANN HESSE - LE LOUP DES STEPPES 

La même

Oh c'est quoi le titre svp ?

​@@m-cygsundance-Népal

@@JulienCollin-gd6ik merci !

C'est beau ! J'ai 22 ans et je viens de le finir, j'ai malheureusement encore quelques interrogations comme le sens du poème sur les Immortels ainsi que sur le concept d'atteinte de "l'éternité" et de "l'espace cosmique". Enfin bref j'espère comprendre comme vous avec le temps ! Belle journée Belle journée à vous

Je crois que nous sommes nombreux à avoir cet avis. J ai lu beaucoup de ces " livres ", mais jamais : Le jeu de perles , ni Le voyage en Orient, et quelques autres. Il y a une très intéressante analyse de Narcisse et Goldmund. Je vous recommande. Immense écrivain, à lire et à relire.

Pour Marie Françoise.

​@@picorjtedevorSémantique et orthographe déplorable...

Sur Céline et bout de la nuit non plus :)

​@@tvgranville9877voyage au bout de la nuit.

Moi de même

@@mohammedchebli5891 Oui, mais une crise n'est jamais permanente et quand elle cesse, Dionysos revient en force. Regarde, après la crise du covid par exemple, à quel point les gens ont eu l'envie de se retrouver et de faire la fête. Et rechercher le compromis, c'est aussi une manière de se positionner. (ce n'est pas la première fois qu'on discute ensemble, si mes souvenirs sont bons).

Oui, le désespoir est toujours un piège. Et l'homme est fait pour vivre avec son âme car nous sommes avant tout des êtres spirituels. Que Dieu nous garde.

Sauf pour "pourra T'être".

Bonjour, je ne pense pas que les personnages de hermine de Marie et du jazzman qui d’ailleurs relève le fait qu’il ne sourit jamais et qu’il est très triste, soit des personnages fictif pour Harry. Autant Goethe lui apparait en rêve ce qui est explicite, Mais les autres me semble bien réel pour lui. D’ailleurs hermine lui rappelle souvent la fois où il est rentré dans le bar et qu’il avait vraiment une grise mine limite qu’il sortait du couloir de la mort. Elle revient sur ces comportements à lui Peut-être avez-vous trouvé des passages qui vous font dire le contraire ?

Ayant lu le loup des steppes et sidharta, je te conseille de foncer !!

Oui

@@jeremybadie6645 ayant adoré Siddhartha je vais foncer lire le loup des steppes !!

Yep merci à lui d'être la et d'abrever nos esprits

Vous avez lu narcisse et goldmun?

Pas encore, mais je pense que je peux l'ajouter à ma liste de prochaines lectures 😁

"Quelques Lectures" qui "écoute" un livre, plutôt que de le lire ? Dommage. Belle journée à vous.

@@emilesinclair2341 Je comprends votre réaction mais je vous recommande pourtant ce média qui permet d'approcher les oeuvres d'une manière nouvelle. Le travail de comédien du lecteur n'est pas valorisé aujourd'hui mais il y a là quelque chose à prendre. Bien sur, il ne s'agit pas d'oublier la lecture véritable pour autant. Mon experience etant que les deux se cumulent plus qu'elles ne se remplacent.

Perso ,le Stoïcisme est mon arme fatale pour goûter à l'ataraxie dans un monde malade!

Excellent commentaire. Dommage que Nietzsche soit passé à côté de l'essence du christianisme car il aurait pu en découvrir alors tout la beauté. La vie sur terre ne comblera jamais le coeur de l'homme car celui-ci est fait pour un idéal transcendant...

@@Pierre_Jacques2 il l'a combattue de toutes ses forces. De là à prétendre que c'est au motif qu'il n'avait su y accéder, sauf argument de votre part (que je serais ravi que vous partagiez), il s'agit d'une interprétation.

@@Tusk-ruk Ce serait long à expliquer. Pour le comprendre il faut lire l'immense anthropologue et philosophe René Girard. Je vous recommande pour commencer une émission qu'on peut retrouver sur youtube avec les mots clefs "René Girard | Le Triangle Nietzschéen".

@@Pierre_Jacques2 Merci pour votre réponse. Je vais regarder l'émission avec intérêt. Bien à vous.

Robert Musil ♥️🇺🇸

Sérieux quand ?

Qu’est-ce que tu entends par « l’homme moyen »? Il me semble que c’est très prétentieux de vôtre part et méprisant. La littérature n’a pas la prétention d’être élitiste.

@@unpassager7593 Désolé que vous le preniez mal. Moi, ça ne me gêne pas d'être un homme moyen dans tel ou tel domaine (je dois lire 4 ou 5 livres par an), ni de reconnaître que celui qui m'enseigne quelque chose se place de facto 'au-dessus' de moi. Sinon, sur le côté élitiste, Jean-Paul Sartre a écrit l'ouvrage 'Qu'est-ce que la littérature ?' où il relève justement le caractère élitiste de la littérature.

Ne vous inquiétez pas, cher A,, on comprend très bien, à lire votre propos initial, qu'il était empreint d'humilité. Pour ma part, j'ai lu ce Loup des steppes en voyage il y a dix ans, je n'en ai rien compris ni retenu. Un retour s'impose...

Le piège étant quand les temps étaient surement plus difficiles en 1927 qu'en 2022. Tu es encore un loup des steppes il te reste du chemin à parcourir

@@mathiascayla1964 Je ne pense pas. 1927 c'était les années folles, le monde (la France) devait être bien plus salubre qu'aujourd'hui où l'époque n'est plus qu'une parodie nihiliste.

@@clem7334 Le quotidien du citoyen lambda etait bien plus dur a vivre en 1927 qu'en 2022 mais l'avantage de 1927 reside dans les illusions d'un bonheur possible lie a des ideaux qui ont fini d exister de nos jours... Ce sentiment de triste decadence est plus qu une opinion c est une certitude voila pourquoi il faut plus que jamais voler des bons moments plutot que de les attendrent..

@@AngelkissDj Oui vous avez raison. MAIS ! Nous sommes d'accord que la plus grande source d'épanouissement et de bonheur dans la vie réside dans un rapport à l'autre de qualité, qu'il soit amical, filial ou amoureux. Or, il est extrêmement dur de nos jours d'établir des relations de qualité du fait de l'effondrement anthropologique de notre pays et plus largement de notre culture au sens large. Je constate que les gens, de façon générale évidemment, sont des caricatures de la modernité et qu'ils s'y enferment d'eux-mêmes. Ce qui produit des sociotypes archétypaux : le sportif extrême, la bimbo, le jeune urbain tatoué-piercé, la féministe, le bobo, le droitard rural-chasseur, le néo-rural citoyen du monde....etc. Et je n'exagère qu'à peine, je ne rencontre plus que des archétypes, qui s'auto-caricature et pratique un entre-soi sectaire. Nous sommes passé d'une société avec des restes de traditionalisme à une société atomisée où chacun tente d'appartenir à la tribu qu'il pense lui correspondre le mieux. Ce qui produit, selon moi, un effondrement de la qualité des rapports humains, aussi du fait de leur caractère de plus en plus éphémère, toujours dans cette logique post-moderne de consommation. C'est pourquoi, je pense qu'en 1927 la vie était évidement plus rustique mais aussi beaucoup moins pathogène, psychiquement parlant, qu'aujourd'hui. Il suffit de voir le nombre de gens tatoués, sous médicaments ou de drogués. Le confort n'est pas un progrès mais un asservissement.