M. Jean-Pierre : votre poésie a accompagné ma jeunesse + Vous avez semé tous les frissons d'Amour, tant de fleurs de joies dans nos coeurs, aujourd'hui c'est la Lumière de nos coeurs qui Vous accompagne sur la route du retour chez-Vous ... Bon Voyage sous les applaudissements des Étoiles, Vous pourrez semer des pétales de votre poésie là où il n'y a pas de pluie ni d'interdit.... Merci M. Jean-Pierre .... Vous méritez Tous les honneurs et Tous les P'tits Bonheurs ....
Merci pour ce bel héritage de Chansons Monsieur FERLAND - Vous allez nous manquer beaucoup. Merci pour les duos avec CELINE. J adresse toutes mes condoléances à sa Famille Beatrice
Une autre légende vient de nous quitter pour aller voir plus haut. J'espère que c'est beau là où tu es mon Jean-Pierre, notre Jean-Pierre à tous. Merci pour la merveilleuse musique qui te survivra, qui survivra à nombre d'entre nous, qui peut-être sera éternelle. C'est un cadeau inestimable que tu nous laisse. Une chance qu'on t'as eu ♥....
Maintenant, méditez le texte de cette chanson de Jean-Pierre Ferland et posez vous la question: fait-on un grand génie culturel universel avec ce genre de niaiserie réac? WOMEN’S LIB (1973) En 1919, monsieur Les femmes ça votait pas En 1919 On n’avait pas les femmes qu’on a Aujourd’hui Dans notre lit Dans c’temps-là c’était facile On pensait pas au Women’s Lib Aujourd’hui C’est fini Où c’est qu’il est l’imbécile Qui les a laissé s’émanciper? En mille neuf cent tranquille, monsieur Les femmes c’était à nous En mille neuf cent tranquille Les femmes ça grouillait pas de chez nous Aujourd’hui C’est fini Où c’est qu’il est c’te génie Qui les a laissé se libérer En 2132, monsieur Si ça, ça continue En 2132 Qui c’est qui montera par-dessus Attention Au secours! Qui c’est qui me parlera d’amour Si la police s’appelle Alice Attention Au secours A qui c’est qu’on fera l’amour?
Quand on désire dénigrer un auteur on fait comme vous le faites. On change le titre d'une chanson «Women's Lib (1973)» alors que le titre est «Women's Lib (1919) et décrit comment on considérait les femmes au début du siècle dernier et invitait plutôt les femmes à se libérer du patriarcat. Ou alors on transforme le grand studio québécois d'enregistrement d'André Perry en studio américain discret alors que de grandes vedettes internationales comme Sting, les Bee Gees ou David Bowie y ont enregistré des albums. Dites-moi seriez-vous un auteur raté qui jalouse le succès d'un grand ?
@@ysengrimus Allez donc voir la pochette de l'album «Les vierges du Québec» et vous verrez bien que le titre est «Women's Lib (1919). Et le studio André Perry, c'est toujours un «studio américain discret» ? En passant je ne suis en adoration envers aucun artiste, mais je n'aime vraiment pas ceux qui dénigrent une personne en répandant des faussetés.
Merci de la correction. je le vois maintenant ce 1919 du titre. Mais bon, cela ne garantis aucunement le deuxième degré auquel vous souhaitez tant croire. Et notez la date de l'album: 1973 (je date toujours les textes que je cite).
Claude Marchand quand ce sera quelqu’un de ta famille qui partira pour le grand voyage on verra si tu feras ce genre de propos déplacé et ça s’est si tu as une famille. J’espère que tu n’as pas d’enfants!!!
Chanteur populaire québécois d’intérêt mineur qui a commencé sa carrière en s’efforçant d’être le petit Jacques Brel du Québec. Dans les années 1960, il prenait des grands airs franco-français songés et vous chantait des ballades pompeuses qui faisaient référence à Chamonix, à la Garonne, et au Général de Gaulle. Crooner de charme ronron, barde misogyne intensif, il se spécialisait dans les chansons de pseudo-séduction où, en fait, il traitait les femmes comme n’importe quoi, style Jacques Brel toujours, mais la finesse et la subtilité textuelle en moins. Ensuite, il a vu à américaniser son son. Il a sorti un album intitulé Jaune (1970), sur lequel tout le monde se pâme encore aujourd’hui et au sujet duquel toute une mytholâtrie s’est développée, alors que c’est jamais qu’un petit paquet de chansons populaires ayant été mis dans le son, par un studio américain discret mais fonctionnel. Ce genre d’astuce de production était un peu nouveau au Québec, à l’époque, et cela causa donc une certaine surprise, d’où la pâmoison surfaite ultérieure. Ferland n’est plus mais il colle toujours un peu, dans les mémoires. Il traîne ses savates. Ses suiveux et suiveuses l’aiment encore. En attendant de soigneusement l’oublier.
Quand on désire dénigrer un auteur on fait comme vous le faites. On change le titre d'une chanson «Women's Lib (1973)» alors que le titre est «Women's Lib (1919) et décrit comment on considérait les femmes au début du siècle dernier et invitait plutôt les femmes à se libérer du patriarcat. Ou alors on transforme le grand studio québécois d'enregistrement d'André Perry en studio américain discret alors que de grandes vedettes internationales comme Sting, les Bee Gees ou David Bowie y ont enregistré des albums. Dites-moi seriez-vous un auteur raté qui jalouse le succès d'un grand ?
Quel est votre problème ``ysengrimus`` pour écrire des ``sottises `` de la sorte, il faut être vraiment de mauvaise foi, peut-être un ``peu de ``jalousie`` si vous êtes citoyen français, nous avons au Québec une expression toute désigné pour ce genre d'individus` ``Les maudits français`` maintenant vous comprendrez la signification de cette expression dont plusieurs ``cousins français`` nous demande la signification lorsqu'ils arrivent au Québec.
