Hondelatte Raconte : L'affaire Emidio (récit intégral) 

En plus,c'est tellement toujours un arrache -coeur de confier son enfant ...on ne devrait pas y etre obligée, surtout pour aller souvent a un boulot de M...quii couvre a peine les frais...

et pourtant moi quand j'ai eu mes trois premiers enfants, on me disait de les coucher sur le ventre. Comme quoi, tout change avec le temps

Non mais serieux 15 à 20 mn ne pas surveiller un enfant de 4 mois???.

Le problème aussi est que certain sont trop borné et veulent pas appliquer les derniere pratiques et utilise celle qu'elle ont apprisent il y a 20 ans. Et la pmi trop mal encadré aujourd'hui on peut plus leur faire confiance on dirait un tribunal ! Les nana font ce qu'elle veulent se prennent pour des magistrat et veulent avoir toujours raison et décider de tout en laissant la sécurité de côté ! Ou traite les jeune mère comme des incapable ou on doit leur retiré leur gosses ! Pour l'ouverture d'un établissement c'est un cauchemar elles en font baver les entrepreneurs. J'ai des preuve des témoignage ! Comme ne rien faire pour une cour avec du métal noir en plain soleil car c'est pas elle qui l'a fait remarqué et veut contredir !

Et c'est pas la faute a la société qui oblige les mamans a allé travailler parsqu'un salaire ne suffit plus ?

J ai contrôlé la nourrice de mon fils un jour sans la prévenir et je trouve mon fils unique âgé de 9 mois il dort un clic clac à son bord de 20cm à peu prés et sur un oreillet de hauteur de 50cm min et en hyperflexion son cou et devant lui un hamster qui mange avec lui probablement et dans un garage de la maison et en personne avec eux et mon voilà ma nourrice agréé et je conseille à aucune maman de croire ces nourrices et il faut que l etat nous pays à elever notre enfant jusqu'à son entrée d école

Évidemment qu'elle va devenir juge d'instruction :)

Déjà les petits enfants... Selim et Alef des trucs pas très catholiques comment peut on accepter ça.

Tellement gênant ces imitations de voix, mais bon c est ce qui plaît aux auditeurs, se baigner dans le drame d autrui à l heure de la sieste.