HPI, Zèbre, Surdoué... 🦓 Kezako ? Fabrice Micheau nous dit tout ! | Merci Bobby 

merci beaucoup

merci Vincent

Et je remets un franc dans le nourrain.

Bonjour! Sauriez-vous m’orienter vers du contenu pour comprendre les différences entre hpi et normo-pensants s’il vous plaît ? Ou simplement même du contenu qui décrirait le fonctionnement normo-pensant ? Merci à vous! Belle journée!

merci

merci Claude

Il faut comprendre que c'est notre cerveau ..notre inconscient qui nous dirige et non le cœurs .. IL y a des pièges a appréhendais pour être lucide et jouir d'un réel libre arbitre....Ce réajuster pour moins en souffrir et être plus pertinent dans la réponse à apporter ou à encaisser ou non lorsque c''est réellement nécessaire ..Réellement choisi..la perfection et la vérité nous dirige si on ne l'intègre pas ..ce n'est pas le cœur mais l'esprit et c'est a vous d'en être le maitre comme tout être humain vous devez gagner la batail avec votre inconscient pour être réellement vous même ,réellement heureux. Accepter sa différence c est aussi accepter celle des autres ..c est diffèrent facteur une foie pris en compte peuvent apaiser beaucoup de chose

merci beaucoup. Prenez soin de vous

merci beaucoup

Je donne trois quatre exemples triviaux d'incompréhension du monde de la part des autres dans ma propre vie et qui ne m'ont aucunement fait souffrir, même si j'avais le sentiment (bien réel) d'être incompris. Et cette incompréhension des autres aurait pu m'égratigner, me blesser, m'isoler, et pourtant j'ai su passer outre en faisant davantage confiance à moi-même, malgré tous mes doutes et mes interrogations : c'est moi qui ai raison pour moi, quoi qu'on puisse me dire. (J'ai ainsi balancé la relativité au chapitre des horloges à l'âge de vingt-deux ans, car je n'étais plus d'accord avec les hypothèses d'Einstein. Je ne dis pas que j'avais raison, je dis juste que je ne comprenais plus. Je suis revenu deux trois fois sur le sujet pour progresser, notamment quand une polémique a éclaté, je crois vers les années 2000 sur le sujet, mais j'ai quand même le sentiment qu'il y a une contradiction, que la physique quantique explicite en partie, mais ne parvient pas à résoudre sans elle. Je referme la parenthèse, je ne maîtrise pas et vais dire des bêtises.) Mes exemples : 1973 : J'ai 5 ans, je suis dans la classe unique de ma mère, au CP (alors que ça fait au moins un an que je sais lire). Tous les CP (nous étions 4) et tous les CE1, sommes en lecture silencieuse. Ma mère passe dans les rangs, sûrement pour vérifier l'efficience de notre travail. Elle remarque que je lis dans ma tête mais en activant mes lèvres. Elle m'incite alors à lire "plus vite" pour gagner en efficacité, en me demandant de supprimer l'action des muscles de ma mâchoire, qui me ralentit. Elle repasse deux minutes après. "Je vois bien que tu n'utilises plus ta bouche, mais il me semble que tu continues à penser tous les mots dans ta tête. Est-ce que je me trompe ?" Elle voulait dire que je lisais dans ma tête en faisant retentir chaque mot, comme si je lisais à voix haute, au même rythme que l'élocution. Elle voulait que j'aille plus vite, sûrement en zappant des mots moins importants, sans forcément lire "en diagonale", ce qui est une technique experte pour des élèves déjà plus aguerris. "Non maman, tu as raison, je vais essayer de faire comme tu dis." J'ai essayé deux minutes et j'ai conclu immédiatement tout seul : "Bon, Maman doit avoir raison. ça marche sûrement pour ses élèves, mais pour moi, ça ne marche pas. Je comprends moins bien ce que je lis et j'ai l'impression de manquer quelque chose." Et j'ai continué à lire comme je voulais, sans tenir compte de ma soi-disant "incompétence". Je savais que j'avais raison pour moi à ce moment-là. Je n'ai eu confirmation du bien-fondé de ma méthode qu'en 2008, à la lecture d'un article, "Les neurones de la lecture", qui expliquait qu'on comprenait mieux et qu'on retenait mieux ce qu'on lisait à la vitesse de l'élocution, et pas plus vite. (Bon cela ne m'a pas empêché de surclasser les centaines d'étudiants lors des tests psychotechniques de l'armée grâce aux 78 items de "français", justement en utilisant une sorte de lecture diagonale (je regardais directement les réponses, lisais 2s l'ensemble par deux trois mouvements oculaires, inférais instantanément la question (je vérifiais que c'était bien la question en la lisant quand je n'étais pas sûr et que je n'avais pas réussi en deux secondes à "lire" toute la page). Le second à ces tests (une connaissance, le fils d'un prof. de math original et passionnant que j'avais eu la chance d'avoir en 1ère) m'avait dit : "Je t'ai vu refermer le livret, j'ai crû que tu ne voulais plus faire les E.O.R. (chouette, j'arrive enfin à m'exprimer avec des acronymes, ça c'est vraiment nouveau pour moi, j'avais toujours refusé !), j'ai bien compris que tu avais fini, mais je ne pouvais le croire, j'étais à fond et j'en étais à peine au tiers." Cela m'a permis de finir le livret de mécanique (j'avais été un peu lent et n'avais réalisé que 37 items sur 56). (Il fallait faire 40 en français ou en mécanique et dans le troisième livret, je ne sais plus ce que c'était, mais c'était facile, j'avais fait les 56 aussi.) J'ai donc triché en reprenant le livret de mécanique, car je m'ennuyais ferme et cela m'amusait beaucoup de prendre un risque, dans cette ambiance très rigide et martiale. Mon côté risque-tout et provocateur.

Mes exemples (suite) En terminale, je nageais le crawl (on faisait quand même des chronos, pas bien méchants) en respirant d'un seul côté tous les temps, alors que la mode (dictée par les meilleurs nageurs de compétition) était à un temps et demi et respiration alternative des deux côtés. Je soutenais à mon professeur que je n'étais pas un champion, que je fatiguais davantage en ne respirant qu'au bout d'un temps et demi et surtout que ma technique de respiration (sans crispation) était meilleure à droite, et donc comme j'avais un côté préférentiel fort, je l'assumais. (A noter qu'au saut en longueur, je sautais 5,70m avec n'importe quel pied d'appel, ce qui est en définitive "plus difficile" que pour la nage et que mon professeur aurait pu relever cette contradiction.) Il s'avère que même pour le 200m il me semble, la respiration se fait d'un seul côté désormais pour optimiser les temps. (Ce n'est qu'à la fin de la dernière ligne droite que le nageur, suivant son état va continuer avec les bras en "semi-apnée" pour aller plus vite). Vers vingt-cinq ans, je faisais du vélo avec des gens de club. J'étais poussif dans les côtes, il fallait m'attendre un peu, ce qui est normal, je pense, n'ayant jamais avalé des milliers de km par saison, comme ceux avec qui je sortais. Ils trouvaient que je me débrouillais pas trop mal mais se moquaient gentiment de mon pédalage : selon eux, sur plat, je moulinais trop et n'étais pas efficace, notamment à cause des éventuelles pertes de rendement mais surtout à cause de mon accélération cardiaque avec ce mouvement très rapide. Or je soutenais exactement le contraire : mon coeur ne battait pas plus vite, mais au contraire moins vite, car j'avais moins d'effort à fournir, et j'avais justement trouvé un moyen de pouvoir les suivre longtemps sans me fatiguer outre-mesure. En clair, j'utilisais systématiquement sur plat de plus petits braquets que tout le monde. Mais je n'avais pas la prétention non plus de détenir la vérité (je pensais que j'avais moins de muscles qu'eux et donc je ne pouvais les mobiliser aussi "durement" qu'eux). Mais je savais que c'était juste pour moi. Des années plus tard, les études d'Armstrong en soufflerie m'ont donné raison et ils ont redescendu tous les braquets, y compris des vélos de commerce qui avant étaient en 52-12, 53, 54 et même 55 sur les vélos de champion il me semble... Pour la piste on utilise encore ces rapports, mais pour celui qui ne fait pas du 60 km/h sur plat, tout le monde conseille maintenant un 50 dents pour la route... Là-aussi j'aurais pu me vexer de me sentir incompris, alors que je me savais avoir raison, d'autant plus qu'ils n'étaient pas vraiment tendres avec moi : c'est eux qui avaient raison, tout le monde faisait comme ça et je ne pouvais avoir raison. Trop jeune, trop inexpérimenté. Comme pour la natation, comme pour la lecture avec ma mère... Mais j'ai continué à faire comme je voulais, laissant les autres me prendre pour un doux-dingue. Je ne crois pas avoir souffert de mon originalité, car je la croyais complètement liée à mon être : elle faisait partie de moi et passé l'étonnement ou le sourire, tout le monde m'acceptait comme j'étais avec toutes mes différences. J'étais aussi à la fin du collège et au lycée, un leader charismatique très apprécié. Néanmoins il est vrai qu'il y quelque chose de très solitaire dans ma démarche quant à la vérité (impossibilité souvent radicale à m'exprimer avec des non-spécialistes car ils ne comprennent pas et se soumettent à l'autorité des modes sans chercher à comprendre). Mais j'ai fait le deuil très jeune de conditionner mon bonheur par la compréhension des autres de moi-même. Je partageais énormément avec tout le monde, dans l'enthousiasme, dans l'envie, dans le moment, dans l'activité, etc. en exprimant qui j'étais dans tous ces domaines. Un peu comme un caméléon qui montre plein de facettes de lui, mais des facettes authentiques. Bien sûr cette authenticité m'a permis de dégager instantanément quelques indélicats et c'est beaucoup plus compliqué dans le monde du travail (mais là-aussi, j'ai toujours la liberté de mettre à la porte mon supérieur hiérarchique s'il ne veut rien comprendre, au nom de la liberté pédagogique, et j'en ai bien profité, non, il est vrai, sans une légère (très légère, car j'agirais de la même manière si c'était à refaire, certes en expliquant peut-être un tout petit peu mieux ma démarche, j'imagine, avec le recul que j'ai désormais). Bon, je retourne à l'écriture de mes trois livres, je me suis un peu égaré, là !

Manuel. nous avons chacun notre alchimie et nos limites

Mm0m

​@@julienspringbok3002 Incompréhension= rejet. Dans la nature être rejeté de son groupe social équivaut à la mort. Heureusement, il nous en faut plus pour nous abattre... Nous sommes acceptés malgré notre non-conformité, que lorsque nous apportons une plus value aux autres. Sauf avec nos pairs nous sommes condamné à compenser notre identité "anormale", non standard par essence.

Bonjour à vous, j'ai eu l'envie de vous répondre ....Savez vous qu'il est aussi possible d'avoir un fonctionnement différent et avoir des coquilles ( ex être hp et avoir un tdah....il peu masquer votre fonctionnement...) Bref c'est une idée 😊 douce journée à vous 🌅😁

Tiphaine. désolé je ne suis pas médecin mais j'ai observé des sur représentations pour HPI.

Votre message n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Un désir inconscient est certainement passé par là. "Sourdoué" a été remplacé par "surdoué" (mais si ce n'est le terme le plus approprié).

@@MerciBobby Je n'ai pas pu résister ;) Ah le terme "Surdoué" c'est un peu comme dans ce superbe film réalisé par Jean-Jacques Annaud : Le Nom de la rose, lorsque Salvatore parle toutes les langues sans en connaitre aucune, et bien transcrire ce qu'est un "Surdoué" c'est comme mettre un nom sur quelque chose qu'on ne sait pas nommer, qui veut tout et rien dire pour celui qui n'est pas tricoter de cette façon...

merci beaucoup

C'est pas un oeuf !

Je connaissais : "Quelle est la différence entre un oiseau ?" "C'est pareil, sauf qu'il a une patte plus courte."

merci Manuel. Alors c'est quoi la réponse ? merci

@@fabricemicheau5228 La réponse est : "C'est pas un oeuf !". A noter qu'elle avait été déjà donnée (ça passe mieux à l'oral).

@@julienspringbok3002 loooool

Bonjour, merci pour votre commentaire. Le titre a été modifié.

oui pour la faute. les fils se sont croisés. Ca arrive ...

Il y a aussi quelque chose que je ne comprends pas : relier l'absence de bonheur à la conscience aiguë de l'imperfection du "monde", car chez moi c'est bien cette prise de conscience qui me renvoie à ma spécificité d'être humain et me rend sur-heureux . Mais pour moi "spécificité d'être humain" ne me suffit pas

🤪. pareil pour moi !

Ben non il arrive des choses aux surdoués qui n 'arrivent pas aux autres , le sentiment de décalage , la solitude , la spiritualité, la quête de sens perpétuelle ect.. sans oublié les P N lol

pas forcement

En règle générale il mes emble qu' il y en a..