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L'hymne des Jeux Olympiques 2024, "Sous les Lumières de Paris", a été dévoilé avec beaucoup de fanfare. Cependant, à l'écoute, une dissonance se fait sentir entre l'attente d'un hymne grandiose et la réalité d'une mélodie qui rappelle plus les cafés tranquilles que les stades en effervescence. D'emblée, la musicalité de la pièce étonne. Le choix d'une bossa nova, avec ses rythmes syncopés et ses mélodies douces, semble curieusement inadapté pour un hymne olympique. Ce genre musical, d'origine brésilienne, est plus associé à des moments de détente et de douceur qu'à l'énergie et à la grandeur que l'on attend d'une telle composition. Le rythme apaisant et le tempo détendu manquent cruellement de l'élan dynamique nécessaire pour captiver et inspirer. Les paroles, bien que poétiques, échouent à capturer l'essence de la culture française ou à éveiller un sentiment de fierté nationale. Un hymne doit être une ode à la nation hôte, évoquant son histoire, sa culture et sa grandeur, et non un simple accompagnement musical. En l'absence de ces éléments, l'hymne perd de son impact et de sa résonance. L'interprétation vocale, quant à elle, bien que techniquement correcte, manque de passion et d'emphase. Une performance vocale plus puissante et émotionnelle aurait pu compenser le choix stylistique discuté, en insufflant l'énergie et l'enthousiasme nécessaires. Du point de vue de la production, l'arrangement instrumental et les choix d'orchestration n'ajoutent guère à l'ambiance festive et solennelle que l'on pourrait espérer. Au lieu de cela, la musique semble se fondre dans l'arrière-plan, évoquant plus une ambiance de café parisien que celle d'un événement mondial de grande envergure. En fin de compte, "Sous les Lumières de Paris" manque la cible. En cherchant à innover avec un style inattendu, l'hymne se déconnecte de son objectif principal : inspirer et unir les foules. Pour les Jeux Olympiques, un hymne se doit d'être un puissant vecteur d'émotions et de fierté nationale.