Comme quand Mélenchon avait qualifié Marine Le Pen de "fasciste", bel argument... Quand on sait qu'aujourd'hui il est lui aussi qualifié de "rouge brun", de "populiste" voire même de "dictateur", c'est jouissif. On est puni par où l'on a péché.
Mélenchon dit Georges Marchais II, veut faire chuter la France dans la pauvreté à l'image de l'Argentine dans l'hyperinflation : Années 1960-1970 : Instabilité et Crises Les décennies suivantes sont marquées par des coups d'État militaires et une instabilité politique chronique. L'économie connaît des périodes de croissance suivies de récessions. Les politiques économiques varient considérablement, oscillant entre libéralisme et interventionnisme. Années 1980 : Hyperinflation Les années 1980 sont particulièrement difficiles pour l'Argentine. Le pays est confronté à une dette extérieure croissante et à une hyperinflation. En 1989, l'inflation atteint des niveaux records, et la situation économique devient intenable. Années 1990 : Réformes et Crise de 2001 Sous la présidence de Carlos Menem, l'Argentine adopte des réformes économiques libérales, notamment la privatisation des entreprises publiques et la convertibilité du peso avec le dollar américain. Ces mesures stimulent initialement la croissance, mais aboutissent finalement à la crise économique de 2001. Le pays fait défaut sur sa dette, et la pauvreté explose. Années 2000-2010 : Redressement et Nouveaux Défis Après la crise, l'Argentine connaît une période de reprise économique grâce à la hausse des prix des matières premières. Cependant, les problèmes structurels persistent. Le pays adopte de nouvelles mesures protectionnistes, et l'inflation reste un défi majeur. Années 2010 à nos jours : Turbulences Économiques Les dernières décennies sont marquées par des cycles de croissance et de récession. Les gouvernements successifs luttent pour stabiliser l'économie, contrôler l'inflation et réduire la dette publique. La pandémie de COVID-19 aggrave les défis économiques existants.
BRAVO JEAN-LUC ! Un pouce bleu pour toi dirigé en haut. Vive la VIe République ; universaliste et sociale, écrite par l'assemblée Constituante. OUI NousSommesPour une candidature de Jean-Luc Mélenchon. NON à la dérive autoritaire du gouvernement et de la Présidence.
Déjà à l'époque il endormait bien le père Attali, avec son élocution un peu chiffonne et son argumentation brouillonne il a mit tellement de temps à poser sa question qu'à la fin on ne sait plus ce qu'il disait au début, heureusement pour lui Mélenchan était encore affuté à l'époque.
Insupportable Melenchon !! Il s'écoute parler, coupe la parole constamment et est incapable d'échanger calmement, du coup son discours économique devient impossible à entendre !!!