Concert au casino de Knokke-le-Zoute (23 juillet 1963) Version (son et image) par la Fondation Jacques Brel. Réalisation : Euro Tele Films (2018) (Source : Arte.fr)
Unique bouleversant miroir de chacun soi meme espérances désenchantées L'âme humaine matérialisée On sort d'un brel comme d'un essorage existentiel a sa racine Émotion , frissons , le temps se fige a chacun de ses mots , intonations , théatralisation . Biblique emprunt de réalisme Un michael jackson avant l'heure Brel nous raconte la tragédie de l'âme humaine , et c'est une souffrance ultime d'en sortir désillusionné de ses réves . Et pourtant on réécoute , riant quand on est heureux , pleurant quand on est malheureux . Brel ou la tendresse tsunami Brel , fallait pas nous quitter . Le monde est vide depuis tes 49 ans . Encore tellement jeune . tu nous manques dramatiquement .
As if we were to travel back in time to watch Vermeer create a masterpiece, A bygone world, A unique gift that will never again be understood by future generations. This brilliant star in the sky came through once, only seen by some, and will never return. We are indeed privileged.
Vu au palais d hiver de lyon en 1966 en gala d'adieu . Au départ ,pendant les réglages du son, Amsterdam peu connue car recente, et il ne croyait pas en elle, la salle debout, puis 1h30mn de sueurs, d imagination, et d 'art, boit qq verres d'eau,s' essuie la sueur ,arretes les applaudissements, et sort avec réverence......revient en peignoir avec verre d'eau et 1 clope au bec, 10 minutes de bis, d'encore et d' applaudissements, certains montent sur tables ou sieges puis il dit adieu sans rechanter ni revenir❤
Merci,merci,merci, c’ était mon idole.. moi, si timide, j’ai osé chanter le plat pays, les vieux. J’avais tous les courages pour interpréter ces chefs d’oeuvres. Merci à lui pour son talent. Je ne l’oublierais jamais.❤❤❤
Paroles : Les soirs où je suis Argentin Je m'offre quelques Argentines Quitte à cueillir dans les vitrines Des jolis quartiers d'Amsterdam Des lianes qui auraient ce teint de femme Qu'exportent vos cités latines Ces soirs-là je les veux félines Avec un rien de brillantine Collée au "ceveu" de la langue Elles seraient fraîches comme des mangues Et compenseraient leur maladresse À coups de poitrine et de fesses Mais ce soir Y a pas d'Argentines Y a pas d'espoir Y a pas d'doute, non ce soir Il pleut sur Knokke-le-Zoute Ce soir comme tous les soirs Je me rentre chez moi Cœur en déroute Et la bite sous l'bras Les soirs où je suis Espagnol Petites fesses, grande bagnole Elles passent toutes à la casserole Quitte à pourchasser dans Hambourg Des Carmencitas de faubourg Qui nous reviennent de vérole Je me les veux fraîches et joyeuses Bonnes travailleuses sans parlotes Mi-Andalouses, mi-anguleuses De ces femelles qu'on gestapote Parce qu'elles ne savent pas encore Que Franco est tout à fait mort Mais ce soir Y a pas d'Espagnoles Y a pas de casseroles Mais y a pas d'doute, non ce soir Il pleut sur Knokke-le-Zoute Ce soir comme tous les soirs Je me rentre chez moi Cœur en déroute Et la bite sous l'bras Les soirs où je suis Caracas Je Panama, je Partagas Je suis l'plus beau, je pars en chasse Je glisse de palace en palace Pour y dénicher le gros lot Qui n'attend que mon coup de grâce Je la veux folle comme un travelo Découverte de vieux rideaux Mais cependant t-évanescente Elle m'attendrait depuis toujours Cerclée de serpents et de plantes Parmi les livres de Dutourd Mais ce soir Y a pas de Caracas Y a pas de t-évanescentes Y a pas d'doute, non, ce soir Il pleut sur Knokke-le-Zoute Ce soir comme tous les soirs Je me rentre chez moi Cœur en déroute Et la bite sous l'bras, oui Demain oui, oui Peut-être que Peut-être que demain je serai Argentin, oui Je m'offrirai des Argentines Quitte à cueillir dans les vitrines Des jolis quartiers d'Amsterdam Des lianes qui auraient ce teint de femme Qu'exportent vos cités latines Demain je les voudrai félines Avec ce rien de brillantine Collée aux cheveux de la langue Elles seront fraîches comme des mangues Et compenseront leur maladresse À coups de poitrine et de fesses Demain je serai Espagnol Petites fesses, grande bagnole Elles passeront toutes à la casserole Quitte à pourchasser dans Hambourg Des Carmencitas de faubourg Qui nous reviendront de vérole Je les voudrai fraîches et joyeuses Bonnes travailleuses, sans parlotte Mi-Andalouses, mi-anguleuses De ces femelles qu'on gestapote Parce qu'elles ne savent pas encore Que Franco est tout à fait mort Les soirs je suis Caracas Je Panama, je Partagas Je suis l'plus beau, je pars en chasse Je glisse de palace en palace Pour y dénicher le gros lot Qui n'attend que mon coup de grâce Je la veux folle comme un travelo Découverte de vieux rideaux Mais cependant t-évanescente Elle m'attendrait depuis toujours Cerclée de serpents et de plantes Parmi les livres de Dutourd