Les bourgeois Paroles : Jacques Brel Musique : Jean Corti Facebook : / 101828353235640 Twitter : / ejbrel Site officiel : www.jacquesbrel.be/ vevo.ly/CT96z3 Commandez et écoutez sa discographie : jacquesbrel.lnk.to/JacquesBrelID
J'aime beaucoup cette chanson de Monsieur BREL!! et par dessus tout les sous entendus des paroles,,( car les pauvres ne peuvent qu'apprécier,, surtout à cette époque là,,,)
*Après 40 ans de son départ ultime (9-10-1978), nous sommes toujours là, nous les admirateurs de Jacques Brel pour écouter avec ravissement toutes ses œuvres sublimes ♥♥♥♥♥♥ ...*
Il est vingt heure... Et je l'écoute en Algérie... Parce que ca fait marré, et puis je l'imagine sur les planches d'un théâtre... Ça donnes des idées tiens !
S'il-vous-plait plait pourquoi l'écouter à vingt heures s'il-vous-plaît moi j'aime la mettre dans des situations ou il y a des bourgeois sa me fait marrer c'est tellement vrai 😂
J'ai 14 ans et j'écoute que des musiques/chansons des années environ 1600 à 1999 ! Ça, ce sont des VRAIES chansons ! J'adore ! Rip Jaques Brel... Un interprète, un poète extraordinaire ! Il est partit trop tôt comme tous les autres vrais chanteurs... 😭💔
Il y a aussi d'excellentes chansons sortis après 2000 et des mauvaises chansons du passé. De la part d'un "aîné" de 24 ans ;) Mais oui, Jacques Brel était un interprète de génie, dont la gestuelle théâtrale et la puissance de ses textes restent une inspiration et une fierté pour de nombreux belges. Les chanteurs et musiciens ont tendance à mourir jeunes... Vie trop mouvementée, peut-être ?
Le coeur bien au chaud Les yeux dans la bière Chez la grosse Adrienne de Montalant Avec l'ami Jojo Et avec l'ami Pierre On allait boire nos vingt ans Jojo se prenait pour Voltaire Et Pierre pour Casanova Et moi, moi qui étais le plus fier Moi, moi je me prenais pour moi Et quand vers minuit passaient les notaires Qui sortaient de l'hôtel des Trois Faisans On leur montrait notre cul et nos bonnes manières En leur chantant Les bourgeois c'est comme les cochons Plus ça devient vieux plus ça devient bête Les bourgeois c'est comme les cochons Plus ça devient vieux plus ça devient Le coeur bien au chaud Les yeux dans la bière Chez la grosse Adrienne de Montalant Avec l'ami Jojo Et avec l'ami Pierre On allait brûler nos vingt ans Voltaire dansait comme un vicaire Et Casanova n'osait pas Et moi, moi qui restait le plus fier Moi j'étais presque aussi saoul que moi Et quand vers minuit passaient les notaires Qui sortaient de l'hôtel des Trois Faisans On leur montrait notre cul et nos bonnes manières En leur chantant Les bourgeois c'est comme les cochons Plus ça devient vieux plus ça devient bête Les bourgeois c'est comme les cochons Plus ça devient vieux plus ça devient Le coeur au repos Les yeux bien sur terre Au bar de l'hôtel des Trois Faisans Avec maître Jojo Et avec maître Pierre Entre notaires on passe le temps Jojo parle de Voltaire Et Pierre de Casanova Et moi, moi qui suis resté le plus fier Moi, moi je parle encore de moi Et c'est en sortant vers minuit Monsieur le Commissaire Que tous les soirs de chez la Montalant De jeunes "peigne-culs" montrent nos leur derrière En nous chantant Les bourgeois c'est comme les cochons Plus ça devient vieux plus ça devient bête Disent-ils, Monsieur le Commissaire Plus ça devient vieux plus ça devient, ça devient
Non mais sérieux, arrêter de confondre rap et musique de merde. Bien sûr qu'il y a des musiques de merde dans le rap mais c'est pas représentatif. Y avait tout autant de chanson complétement vide de sens à l'époque de Jacques Brel. L'important c'est pas le genre musical c'est l'artiste les gars.
@@beled2063 pas du tout !! Il y a une perception de la musique qui a changer et sa fonction utilitaire interne ! La musique (l'instru) est maintenant dominantes sur le chanteur. Ce qui 'était pas le cas avant... Le problème c'est que la chanson à été inventé pour trouver une nouvelle forme d'expression à la musique c'est à dire par la parole, faire ressentir...
@@beled2063 il y a aujourd'hui plus AUCUNE musique dite populaire qui n'est pas vide de sens et dans laquelle on retrouve le chanteur et son accompagnement au service de ce dernier....
@@PPPPPPenelope C'est une référence à un manga et anime parmi les plus cultes et connus de l'histoire du médium, JoJo's Bizarre Adventure. C'est une blague très répandue parmi ses amateurs d'y faire référence de manière fréquente et outrancière, on s'en amuse beaucoup entre nous.
Plus qu'une critique de ceux qui ont la science infuse, cette chanson nous dit : méfions nous de critiquer certains ! Un jour, nous serons, qui sait, à leur place !
Vous, les cons naissants, Les cons innocents, Les jeunes cons. Qui, n'le niez pas Prenez les papas Pour des cons. Vous, les cons âgés, Les cons usagés, Les vieux cons. Qui, confessez-le Prenez les p'tits bleus Pour des cons. Méditez l'impartial message, D'un qui balance entre deux âges. Le temps ne fait rien à l'affaire ! Quand on est con, on est con.
J’y vois plutôt une critique de ceux qui dédaignent les uns sans voir qu’eux agissaient pareillement tantôt dans leurs vie, mais je me trompe peut-être
A c'est sur que c'est chef-d'œuvre sont de véritables exemple à faire écouter à la jeunesse d'aujourd'hui et qui apprenne à écouter que d'écouter et de prendre en exemple certains rappeur qui non aucun talent juste à apprendre les mauvaises exemple à notre jeunesse qui n'est pas vraiment bien partie dans la vie
Le coeur bien au chaud, Les yeux dans la bière Chez la grosse A-drienne de Mon-ta-lant A-vec l'a-mi Jo-jo Et a-vec l'a-mi Pierre On al-lait boire nos vingt ans Jo-jo se pre-nait pour Vol-tai-re Et Pier-re pour Ca-sa-no-va Et moi, qui é-tais le plus fier Moi je me pre-nais pour moi Et quand vers mi-nuit, pas-saient les no-taires Qui sor-taient de l'Hô-tel "Des Trois Fai-sans" On leur mon-trait notr'cul et non bonn's ma-nières En leur chan-tant : Les bour-geois c'est comm' les co-chons Plus ça de-vient vieux, plus ça de-vient bête, Les bour-geois c'est comme les co-chons Plus ça de-vient vieux plus ça de-vient... Le coeur bien-au chaud, Les yeux dans la bière Chez la grosse A-drienne de Mon-ta-lant A-vec l'a-mi Jo-jo Et a-vec l'a-mi Pierre On al-lait brû-ler nos vingt ans Vol-tair' dan-sait comme un vi-cai-re Et Ca-sa-no-va n'o-sait pas Et moi, qui é-tais le plus fier Moi, je me pre-nais pour moi Et quand vers mi-nuit pas-saient les no-taires Qui sor-taient de l'Hôtel "Des Trois Fai-sans" On leur mon-trait notr'cul et nos bonn's ma-nières En leur chantant : Les bour-geois c'est comm' les co-chons Plus ça de-vient vieux, plus ça de-vient bête, Les bour-geois c'est comme les co-chons Plus ça de-vient vieux plus ça de-vient... Le coeur au re-pos, Les yeux bien sur terre Au bar de l'Hô-tel "Des Trois Fai-sans" A-vec Maî-tre Jo-jo, Et a-vec Maî-tre Pierre En-tre no-taires on pass' le temps Jo-jo par-le de Vol-tai-re Et Pier-re de Ca-sa-no-va Et moi, qui suis res-té le plus fier Moi, je parle en-core de moi Et c'est en sor-tant, Mon-sieur l'Com-mis-saire Que tous les soirs de chez la Mon-ta-lant, De jeu-nes "peigne-cul" nous mon-trent leur der-rière En leur chan-tant : Les bour-geois c'est comm' les co-chons Plus ça de-vient vieux, plus ça de-vient bête, Les bour-geois c'est comme les co-chons Plus ça de-vient vieux plus ça de-vient...
Je ne savais pas qu'il avait chanter cette excellente chanson qui représente très bien les riches, les riches c'est comme les cochons plus ils deviennent vieux et plus ils sont bête
Un sacré visionnaire, ce Jacques, 8 ans avant mai 68, et 58 ans avant que ces contestataires que ces rebelles qui tournaient tout en dérision nous fassent les vierges effarouchées lorsque eux même et leurs actes soient à leurs tour tournés en dérision.
Vous oubliez un détail, il était Belge et Bruxellois de naissance. Alors bien sûr étant francophone bien que parlant aussi la langue de Vondel il a fait carrière avec des artistes français Arno lui aussi était connu en France malgré son accent flamand
Verset 1: Jacques Brel] Le cœur bien au chaud Les yeux dans la bière Chez la grosse Adrienne de Montalant Avec l´ami Jojo Et avec l´ami Pierre On allait boire nos vingt ans Jojo se prenait pour Voltaire Et Pierre pour Casanova Et moi, moi qui étais le plus fier Moi, moi, je me prenais pour moi Et quand vers minuit passaient les notaires Qui sortaient de l´hôtel des "Trois Faisans" On leur montrait notre cul et nos bonnes manières En leur chantant : [Refrain] Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient bête Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient... [Verset 2: Jacques Brel] Le cœur bien au chaud Les yeux dans la bière Chez la grosse Adrienne de Montalant Avec l´ami Jojo Et avec l´ami Pierre On allait brûler nos vingt ans Voltaire dansait comme un vicaire Et Casanova n´osait pas Et moi, moi qui restais le plus fier Moi j´étais presque aussi saoul que moi Et quand vers minuit passaient les notaires Qui sortaient de l´hôtel des "Trois Faisans" On leur montrait notre cul et nos bonnes manières En leur chantant : Refrain] Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient bête Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient... [Verset 3: Jacques Brel] Le cœur au repos Les yeux bien sur Terre Au bar de l´hôtel des "Trois Faisans" Avec maître Jojo Et avec maître Pierre Entre notaires on passe le temps Jojo parle de Voltaire Et Pierre de Casanova Et moi, moi, moi qui suis resté le plus fier Moi, moi je parle encore de moi Et c´est en sortant vers minuit, Monsieur le Commissaire Que tous les soirs, de chez la Montalant De jeunes peigne-culs nous montrent leur derrière En nous chantant : [Refrain] Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient bête Les bourgeois, c´est comme les cochons Plus ça devient vieux, plus ça devient...
Mając w sercu żar, przed oczyma zaś grzywkę piwka w oberży „Róży kwiat", ja i kumpel Jo, i nasz kumpel Jaś mieliśmy po szesnaście lat. Wolterem się zachwycał Jo, a Jasio - Casanovą, a ja - ja, najbezczelniejszy z nich, ja się zachwycałem sobą. Potem biegło się pod burdelik, by gdy pan sędzia wytknie z niego nos, móc pokazać mu gołe zadki trzy, śpiewając w głos: Wszyscy burżuje świnie są i im starsi, tym - tym się robią głupsi, głupstwa swe żuj, burżuju, żuj, każdy powie ci, żeś złamany... Mając w sercu żar, przed oczyma zaś grzywkę piwka i mokry stołu blat, chciałem ja i Jo, i nasz kumpel Jaś wyszumieć swe dwadzieścia lat, więc Wolter, pijaniutki w sztok, tańcował z Casanovą, a ja - ja, najbezczelniejszy z nich , ja tańczyłem z samym sobą. Potem biegło się pod burdelik, by gdy pan sędzia wytknie z niego nos, móc pokazać mu gołe zadki trzy, śpiewając w głos: Wszyscy burżuje świnie są i im starsi, tym - tym się robią głupsi, głupstwa swe żuj, burżuju, żuj, każdy powie ci, żeś złamany... Mając w sercu chłód, przed oczyma zaś wciąż tych samych ulic kocie łby, ja i stary Jo, i pan sędzia Jaś do burdeliku żeśmy szli. Wciąż o Wolterze mówił Jo, a Jaś o Casanovie, a ja - ja, najbezczelniejszy z nich, ja mówiłem wciąż o sobie. Aż gówniarzy trzech, panie władzo, gdy z burdeliku wytknęliśmy nos, pokazało nam gołe zadki trzy, śpiewając w głos… A jak śpiewali, powiedz, Jasiu, panu władzy. Ano, śpiewali na nas „burżuje”, „świnie”, „im starsi - głupsi”, słowa niecenzuralne… I myśmy się takiej młodzieży dochowali! W Belgii! tłum. Wojciech Młynarski Przedstawienie "Brel" (premiera 1985 r.) - Teatr Ateneum, Warszawa