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Jacques Pills: Senor. 

Henk Gloudemans
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Are you interrested in Dutch, Flemish,French, English German ore foreighn popular music, from the period from about 1900 till 1960 please subscribe my channel, you can heare many thousands of records all from my own collection ! Sorry for the sometimes poor soundquality ! Greetings from Henk !!!!!

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30 сен 2024

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Комментарии : 13   
@jyttethagaardnielsen3568
@jyttethagaardnielsen3568 3 месяца назад
Now the last of your uploads, my dearest Henkie !!!!!!! Thank you for a beautiful French song !!!!! Jacques Pills sings excellent !!!!!!! My sweet friend, I won`t be home until Midnight !!!!!! Then you will probably be sleeping; but I`ll say a quick goodnight to you !!!!!!!! I`ll think of you, and I send you my warmest feelings and most caring thoughts !!!!! Love from your always faithful Jytte
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Thank you for listening to Jacques Pills !!!! And that you like the song !!!! I wish you an unforgettable nice day !!!! And take good care of yourself !!!! Till lateron and in the meantime I keep you closed in my heart !!!! Your always faithful Henk !!!!
@jyttethagaardnielsen3568
@jyttethagaardnielsen3568 3 месяца назад
@@henkgloudemans8886 Good night my sweet Henkie !!!!!!! I am home, and it is Midnight !!!!❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
@philippe6003
@philippe6003 2 месяца назад
Señor, si tu vas à Séville Tu pourras voir sur la plaza Señor, la plus belle des filles Dis-lui que je ne l'oublie pas Qu'elle m'apporte un sourire Un soupçon de désir Ce qui fait qu'ici-bas l'on s'aime Un regard tendre et doux Un cœur un peu jaloux Du bonheur à revendre et c'est tout Je sais qu'elle viendra Un jour entre mes bras Je sais qu'elle aimera Se serrer tendrement contre moi Ce jour-là, mes amis Si l'amour me sourit Apprenez donc que le roi même Ne s'ra pas mon cousin Tant j'aurai, c'est certain De fortune en mon nouveau destin Señor, toi qui viens de Séville Merci pour sa lettre d'amour Señor, la plus belle des filles Vient de m'annoncer son retour Je saurai lui sourire Prévenir ses désirs C'est toujours ainsi quand on aime Je serai tendre et doux Et je serai jaloux D'un bonheur qui ne sera qu'à nous Merci, car elle sera Bientôt entre mes bras Je sais qu'on s'aimera Quelques jours, mais elle restera là Sachez bien, mes amis Que l'amour me sourit Maintenant, je suis sûr qu'elle m'aime Car je l'attends demain Quel merveilleux destin Le roi n'est vraiment plus mon cousin Señor, si tu vas à Séville Tu n'y verras plus mon amour Señor, la plus belle des filles Revient vers moi et pour toujours !
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 2 месяца назад
MERCI MON CHERE PHILIPPE !!!! SALUT AVEC LES COMPLIMENTS DE HENK !!!!
@wimweender1306
@wimweender1306 3 месяца назад
😊❤
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
😎
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
1945 - _Señor_ - Francis Lopez (musique) & Jean Solar (paroles) - du film _Seul dans la nuit_ - Jean Marion (orchestre) *Seul dans la nuit* (Titre de tournage : _L'assassin chantait)_ est un film français réalisé par Christian Stengel, sorti en 1945. Synopsis : Une série de crimes de jeune femmes affecte l'entourage d'un chanteur célèbre. Chaque fois que l'un d'eux est perpétré, la voix de l'artiste se fait entendre fredonnant sa chanson favorite, Seul dans la nuit. Les soupçons déterminent une poursuite dans un Paris nocturne qui aboutit à un théâtre désaffecté où l'assassin a attiré sa quatrième victime. Distribution : Bernard Blier (L'inspecteur Robert Pascal) ~ Sophie Desmarets (Thérèse Planquine), *Jacques Pills* (Jacques Sartory), Jean Davy (Alain Dalbret), Ginette Baudin (Liliane Roy, kl'amie de Sartory), Annette Poivre (Mireille), Ariane Murator (Madame Laforgue), Odette Barencey (Odette, la domestique des "Planquine"), Nathalie Nattier (Louise Chabot, une victime), Robert Le Fort (L'inspecteur Legal), André Wasley (Bernard), Jacques Dynam (Le chasseur du Père-Luc), Sylviane Claudel (L'arpète), Jacques Morel (L'imitateur Raymond Melor), Marcel André (Le commissaire Planquine), Jean Wall (Le compositeur Stéphane Machau), Louis Salou (Tolu), Émile Riandreys (Deval, le journaliste), Jacques Hélian et son orchestre. Scénario : Jacqueline et Yves Boisyvon Musique : Louiguy, Francis Lopez, Jean Solar; Orchestre de Jacques Hélian Date de sortie : 21 novembre 1945 Le film sort en cassette VHS en 1999, édité par René Chateau dans la collection _La mémoire du cinéma français._ Restauré par Pathé en 2021, le film est publié en édition limitée combo Blu-ray + DVD, en 2023. *Jacques Pills,* né René Victor Ducos le 6 mars 1906 à Tulle (Corrèze) et mort le 12 septembre 1970 dans le 12e arrondissement de Paris, est un chanteur français. Connu sous son nom d'artiste Jacques Pills, René Ducos débute au Moulin-Rouge, où Mistinguett tient la vedette. Il met au point, avec son acolyte Georges Tabet, le numéro de duettistes Pills et Tabet, avec lequel ils tournent avec succès dans toute l'Europe. Le duo interprète des chansons de Mireille et Jean Nohain, comme Couchés dans le foin. Jacques Pills, qui débutait, était le partenaire d'Hélène Robert. Il introduit dans les milieux du cinéma et elle tourna de nombreux films. Alors qu'il est maréchal des logis de réserve au 19e dépôt de guerre du Train, il épouse la chanteuse Lucienne Boyer le 9 octobre 1939, à Paris 8e, avec laquelle il demeure 38 boulevard Gouvion-Saint-Cyr. Leur fille Jacqueline Boyer naît en 1941. Dans les années 1940, reprenant son indépendance, il devient chanteur de charme *_(Seul dans la nuit)._* Son impresario est alors Bruno Coquatrix. Pills choisit le futur Gilbert Bécaud comme pianiste accompagnateur pour une tournée en Amérique. Ils écrivent, ensemble, _Je t'ai dans la peau_ pour Édith Piaf, qu'il épouse le 20 septembre 1952 à New York dans la paroisse des Français, l'église Saint-Vincent-de-Paul. Marlene Dietrich est l'un de leurs témoins. Ils divorcent cinq ans plus tard, en 1957. En 1959, il est choisi pour la première participation de Monaco au Concours Eurovision de la chanson avec la chanson _Mon ami Pierrot._ Il est classé dernier des onze candidats. Mais, l'année suivante, sa fille Jacqueline Boyer remporte le concours pour la France, avec le titre _Tom Pillibi._ Le succès de la musique yéyé le pousse à mettre un terme à sa carrière de chanteur. Il se retire dans sa ferme familiale de Bretagne-de-Marsan (40 hectares) dans le département des Landes où il élève des poulets, des canards et des porcs, avant de retourner à Paris où il collabore avec Bruno Coquatrix pour la conception de spectacles à l'Olympia. Jacques Pills meurt le 12 septembre 1970, à l'âge de 64 ans. Il est inhumé au cimetière du centre de Mont-de-Marsan (Landes). Principaux succès 1941 : Avec son ukulélé 1943 : Cheveux dans le vent 1945 : Seul dans la nuit 1945 : Bonjour mon village 1945 : Oh ! la ! la ! 1954 : Ma Petite Rime 1953 : Tout ça parce qu'au bois de Chaville Filmographie partielle 1936 : _Prends la route,_ de Jean Boyer (avec Georges Tabet) : Jacques 1936 : _Toi, c'est moi,_ de René Guissart (avec Georges Tabet) : Bob Guibert 1942 : _Pension Jonas,_ de Pierre Caron 1945 : _Marie la Misère_ de Jacques de Baroncelli 1945 : *_Seul dans la nuit_* de Christian Stengel : Marny, alias Jacques Sartory 1949 : _Une femme par jour,_ de Jean Boyer 1954 : _Boum sur Paris_ de Maurice de Canonge : Jean Sestrières 1955 : _French Cancan_ de Jean Renoir *Jean Marion* est un compositeur de musique de film et chef d'orchestre français, né le 6 mai 1912 à Paris 18e et mort le 12 mars 1967 à Marseille. Jean Marion est marié à Anne Marie Hunebelle (1924-2009), la fille d'André Hunebelle.
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
*Francis Lopez,* de son vrai nom Francisco López, est un compositeur de musique français, né le 15 juin 1916 à Montbéliard (Doubs) et mort le 5 janvier 1995 (à 78 ans) à Paris. 1916-1939 : l'enfance et la jeunesse C'est par hasard, en raison de la guerre, que Francis Lopez naît à Montbéliard, puisque son père était alors en garnison à Belfort. En fait c'est un Basque par ses origines et en raison de ses années d'enfance et d'adolescence. Son père, Francisco López, né à Lima au Pérou en 1889, était issu d'une de ces nombreuses familles basques espagnoles qui, au xixe siècle, avaient émigré en Amérique du Sud, tout comme sa mère, Berta Jambreau Ena, issue d'une famille de basques français originaires d'Hendaye au pays basque français et née à Buenos Aires en Argentine. Cette dernière, après la mort de son propre père, vint s'installer à Hendaye, où elle rencontra son futur époux qui venait de s'y établir afin d'exercer la profession de dentiste. La famille quitte Montbéliard où naît Francis Lopez pour s'installer à Bayonne, mais son père meurt alors qu'il n'a que cinq ans. Francis Lopez passe sa jeunesse à Biarritz où sa mère tient un commerce et à Saint-Jean-de-Luz. Après avoir suivi des études au lycée de Pau, il « monte » à Paris pour y entreprendre des études de médecine, afin de devenir dentiste comme son père. Bon pianiste amateur (il a aussi appris le violon), il joue le soir dans des cabarets ou des bars, « Le Jockey » à Montparnasse et « Le Coq d'Or » dans le Quartier latin, afin de payer en partie ses études, mais sans envisager une carrière musicale. 1939-1945 : les débuts dans la chanson Ayant opté pour la nationalité française (il était né en France, mais de parents nés à l'étranger), Francis Lopez est mobilisé en septembre 1939, dès le début de la guerre, et c'est à l'occasion de la préparation de la fête de Noël de son unité qu'il compose ses premières chansons. Blessé en 1940 et revenu à la vie civile, il ouvre un cabinet de chirurgien-dentiste à Paris, tout en continuant à composer chaque soir. Dans la communauté basque de la capitale, Francis Lopez fait la connaissance du chanteur André Dassary, qui travaille avec le chef d'orchestre et arrangeur Raymond Legrand. En 1942, il obtient un succès considérable avec quatre chansons interprétées par l'orchestre Raymond Legrand : _le Rat des villes et le Rat des champs, Perrette, Jim_ et _Refrain sauvage,_ ce dernier titre obtenant bientôt le Grand Prix du disque. À partir de ce moment, Francis Lopez enchaîne les succès avec des interprètes prestigieux comme Lucienne Delyle, Léo Marjane, Maurice Chevalier, Tino Rossi, mais aussi avec le débutant Georges Guétary, au succès duquel il contribue grandement avec Caballero, Robin des Bois et À Honolulu, chansons qui sont alors sur toutes les lèvres. Il s'essaye également au tour de chant avec des chansons de sa composition dont il écrit les paroles à l'occasion _(Ma midinette, Heureux comme un roi),_ et il prend même pour quelque temps la direction artistique du cabaret Le Parnasse. 1945-1970 : la gloire À la fin de 1945, Francis Lopez, déjà reconnu comme compositeur de chansons à succès, est amené à écrire en quelques semaines sa première opérette, _La Belle de Cadix,_ sur un livret de Raymond Vincy, Marc Cab et Emille Audiffred. La vedette en est un chanteur presque inconnu, Luis Mariano. Ce spectacle, monté avec peu de moyens, est créé au Casino Montparnasse le 22 décembre 1945. Une cinquantaine de représentations étaient prévues : la pièce tiendra l’affiche pendant presque deux ans. _La Belle de Cadix_ marque le début de la collaboration du trio formé par Raymond Vincy, Francis Lopez et Luis Mariano, qui va dominer l’opérette pendant plus de vingt ans et accumuler les succès. Après le triomphe de sa première opérette, Francis Lopez se lance dans la composition d’une œuvre plus ambitieuse musicalement : _Andalousie,_ créée à la Gaîté Lyrique le 25 octobre 1947, avec encore Luis Mariano en vedette. La réputation de Francis Lopez étant désormais solidement établie, il produit opérette sur opérette, sur des livrets de Raymond Vincy (généralement seul, mais parfois en collaboration), au rythme moyen d’une par an, les unes relevant de la comédie musicale _(Quatre jours à Paris,_ 1948 ; _Monsieur Bourgogne,_ 1949), les autres étant des œuvres à grand spectacle qui portent alors ce genre à son apogée _(Pour Don Carlos,_ en 1950, avec Georges Guétary ; _Le Chanteur de Mexico,_ en 1951, avec Luis Mariano). Avec _Le Chanteur de Mexico_ créé au Théâtre du Châtelet (tout comme _Pour Don Carlos),_ Francis Lopez, alors âgé de 35 ans, est à l’apogée de sa gloire. Pendant une dizaine d’années, il enchaîne les triomphes : _La Route fleurie_ à l’ABC (1952), avec Georges Guétary, Bourvil et Annie Cordy ; _À la Jamaïque_ à la Porte-Saint-Martin (1954), avec Jeanne Sourza et Christian Selva ; _La Toison d'or,_ au Châtelet (1954), avec André Dassary ; _Méditerranée,_ encore au Châtelet (1955), première opérette interprétée par Tino Rossi ; _Tête de Linotte_ à l’ABC (1957), avec Annie Cordy et Jean Richard. Les années 1960 sont moins brillantes. La mode est désormais au « yéyé », plus rythmique que mélodique, qui s’impose partout dans le domaine de la variété. Francis Lopez fait quelques concessions à la nouvelle mode, en introduisant le « twist » dans ses nouvelles opérettes _(Visa pour l’amour,_ avec Luis Mariano et Annie Cordy, en 1961, et surtout _Le Temps des guitares,_ écrit en 1963 pour Tino Rossi, où l’influence des rythmes nouveaux est encore plus sensible, et où il est fait appel à une chanteuse de la nouvelle génération (Josy Andrieu)). L’opérette à grand spectacle n’est pas pour autant abandonnée. Maurice Lamy, successeur de Maurice Lehmann à la tête du Châtelet commande _Le Prince de Madrid,_ créé en mars 1967 avec Luis Mariano en vedette et qui tiendra l’affiche pendant deux ans. En mai 1968 disparaît Raymond Vincy, le collaborateur de tant de succès. Pour le nouveau spectacle devant être créé au Châtelet en décembre 1969, _La Caravelle d’Or,_ il faut faire appel à Jean Valmy pour le livret et à Jacques Plante pour les paroles. Malade, Luis Mariano doit abandonner la scène après quelques semaines de représentations ; il meurt le 14 juillet 1970 à Paris. Du trio ayant fait la gloire de l’opérette française dans les années 1950 (Francis Lopez, Raymond Vincy et Luis Mariano), le compositeur reste le seul survivant. Son succès ne se dément cependant pas. En province, Rudy Hirigoyen fait triompher Viva Napoli ! en 1969, avant une reprise couronnée de succès à Paris, au Théâtre Mogador, en septembre 1970. 1970-1994 : les difficultés Au début des années 1970, l’opérette est indiscutablement en crise, tandis que s’impose le rock et que la mode, chez les jeunes générations, est à la comédie musicale américaine. La Gaîté-Lyrique a fermé, Mogador cherche un nouveau souffle et le Châtelet est en faillite après la mort de Marcel Lamy. Pour éviter sa fermeture, on fait appel à Francis Lopez, qui en prend la direction artistique. Dans l’urgence, il décide d’y monter _Gipsy,_ une opérette créée à Lille en décembre 1971, faute de salle parisienne, avec en vedette un débutant, José Todaro. À partir de février 1972, la pièce remporte un triomphe chaque soir au Châtelet (elle y sera représentée plus de 600 fois). Dirigée par le chef d'orchestre André Martial, _Les Trois Mousquetaires,_ « opérette-western » au livret très librement adapté de l’œuvre d’Alexandre Dumas, lui succède en février 1974, avec le ténor Mario Brunini, qui mourra peu après. Puis vient _FIESTA,_ créé en 1975 avec en vedettes le Ténor Franck Villano et Maria Candido. _Volga,_ créée au Châtelet en novembre 1976 avec José Todaro et Maria Candido, sera la dernière opérette à grand spectacle de Francis Lopez. Elle tiendra l’affiche pendant dix-neuf mois. Entre-temps, en désaccord avec la société concessionnaire du Châtelet, Francis Lopez avait abandonné la direction du théâtre. En 1979, la Ville de Paris décide d’en reprendre l’exploitation directe et, en revenant à sa vocation du xixe siècle sous le nom de Théâtre Musical de Paris, d’en faire avant tout une salle de concerts.
@henridelagardere264
@henridelagardere264 3 месяца назад
Comme le Théâtre Mogador a suivi un sort comparable, Francis Lopez ne peut plus concevoir d’opérette à grand spectacle. Il doit se contenter de salles modestes (Renaissance, Élysée-Montmartre, Eldorado), sans fosse d’orchestre. Désormais, les chanteurs ne sont plus accompagnés que par quelques instruments, dominés par un synthétiseur ; on se contentera même parfois d’une bande magnétique. On est alors loin des riches orchestrations d’un Jacques-Henry Rys ou d’un Paul Bonneau. Avec de petites scènes sans machinerie, la mise en scène est ainsi des plus réduites. Pourtant, Francis Lopez ne renonce pas : le catalogue de ses œuvres de 1979 à 1994 compte une vingtaine de titres, au rythme moyen d’une opérette montée chaque année, mais elles ne sont plus que l’écho de sa gloire passée. Il est d’ailleurs difficile de savoir quelle est la part exacte de Francis Lopez dans la partition musicale de la plupart des productions de la dernière période de sa carrière, de nombreux « airs additionnels » écrits par son épouse Anja, puis par son fils Rodrigo, étant régulièrement introduits dans les opérettes qu’il signe dans les années 1980. Pour les premiers rôles de ses dernières œuvres, Francis Lopez engage Gésip Légitimus à la direction artistique et fait appel soit à des artistes ayant, aux beaux jours des années 1950, conduit ses plus célèbres productions au succès, mais ayant inévitablement vieilli (Georges Guétary, Rudy Hirigoyen, Maria Candido, Josy Andrieu), soit à de nouveaux talents dont aucun ne parvient à s’imposer véritablement (José Villamor, Katia Tchenko, Ricardo Garcia, Tony Gama, Richard Finell, Chris Keller). Postérité Francis Lopez meurt à 78 ans, laissant une œuvre considérable : une cinquantaine d'opérettes, un millier de chansons et la musique d'une cinquantaine de films. La production souvent décevante des dernières années de sa carrière ne doit pas faire oublier les qualités d’un musicien qui fut, avec Vincent Scotto, un des plus grands mélodistes du xxe siècle et dont les refrains, s’imposant immédiatement à l’oreille, connurent un succès planétaire pendant une quinzaine d’années. Si Paris délaisse de nos jours Francis Lopez (la reprise du Chanteur de Mexico en 2006 n’a pas connu un grand succès), la province lui reste fidèle. Chaque année, sont montées dans une ville ou dans une autre, La Belle de Cadix, Andalousie, Quatre jours à Paris ou quelque autre opérette d’un compositeur qui, boudé par les élites intellectuelles de son temps3, demeure l’un des musiciens les plus populaires du xxe siècle4. Vie privée Il était divorcé de Colette Vaillant. Veuf de Sylvia Sinclair, de son vrai nom Helga Tatiana Bernt, née le 10 novembre 1933, actrice décédée à 26 ans le 20 novembre 1959, à Paris, à la suite d'une leucémie foudroyante. Il l'avait épousée 3 ans plus tôt, le 7 novembre 1956. Veuf d'Anja (née Käthe Rubush en Allemagne) disparue à 41 ans, le 20 mai 1986 dans le crash, au large du Cap d'Antibes, de l'hélicoptère qui l'amenait de Monaco où elle résidait à l'aéroport de Mandelieu où l'attendait un jet privé, et dont il a eu en 1965 un fils, Rodrigo, avec qui il a longtemps cohabité dans un immeuble bourgeois du 8e arrondissement de Paris. Il épouse le 5 juin 1990 Catherine du Puy-Montbrun, de 36 ans sa cadette. Anja et Francis sont inhumés au cimetière de Montmartre, 31e division, avenue de la Croix. Le monument, remarquable, est signé par le sculpteur italien Ettore Cedraschi (it) (1909-1996). Œuvre Opérettes 1945 : _La Belle de Cadix,_ Casino Montparnasse 1947 : _Andalousie opérette_ d'Albert Willemetz et Raymond Vincy, Théâtre de la Gaîté-Lyrique 1948 : _Quatre jours à Paris_ (opérette), Bobino 1949 : _Monsieur Bourgogne,_ Bobino 1950 (octobre) : _La Revue de l'Empire_ d'Albert Willemetz, Ded Rysel, André Roussin, musique Paul Bonneau, Maurice Yvain, Francis Lopez, Henri Bourtayre, mise en scène Maurice Lehmann et Léon Deutsch, Théâtre de l'Empire 1950 : _Pour Don Carlos,_ musique Francis Lopez, livret André Mouëzy-Éon, chansons Raymond Vincy d'après Pierre Benoit, mise en scène Maurice Lehmann, Théâtre du Châtelet 1951 : _Le Chanteur de Mexico,_ Théâtre du Châtelet ; reprise en 2006 au Châtelet 1952 : _La Route fleurie_ opérette de Raymond Vincy, mise en scène Max Révol, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'ABC 1953 : _Le Soleil de Paris_ 1954 : _À la Jamaïque,_ Théâtre de la Porte-Saint-Martin 1954 : _La Toison d'or,_ Théâtre du Châtelet 1955 : _Méditerranée_ livret Raymond Vincy, mise en scène Maurice Lehmann, Théâtre du Châtelet 1956 : _El Aguila de Fuego_ (L'Aigle de Feu), Théâtre Maravilla Madrid 1957 : _Tête de Linotte,_ ABC 1957 : _La canción del amor mío,_ Madrid 1958 : _S.E. La Embajadora,_ Théâtre de l'Alcazar Madrid 1958 : _Cinq Millions Comptant_ 1959 : _Le Secret de Marco Polo,_ Théâtre du Châtelet 1960 : _Visa pour l'amour,_ Théâtre de la Gaîté-Lyrique 1960 : _Dix Millions Cash,_ livret Raymond Vincy, mise en scène Jacques Mauclair, Théâtre de la Porte-Saint-Martin 1961 : _Visa pour l'amour,_ livret Raymond Vincy, mise en scène René Dupuy, Théâtre de la Gaîté-Lyrique 1963 : _Le Temps des guitares,_ ABC 1963 : _Cristobal le Magnifique,_ livret Raymond Vincy, mise en scène Guy Lauzin, Théâtre de l'Européen 1967 : _Le Prince de Madrid,_ Théâtre du Châtelet 1969 : _La Caravelle d'Or,_ Théâtre du Châtelet 1969 : musique du film _La Honte de la famille_ - non commercialisée (sources : générique du film) 1970 : _Viva Napoli,_ Théâtre Mogador 1971 : _Restons Française,_ Théâtre des Capucines 1971 : _Gipsy,_ Théâtre du Châtelet 1973 : _Les Trois mousquetaires,_ décors d'Emmanuel Bellini, Théâtre du Châtelet 1975 : _Fiesta,_ décors d'Emmanuel Bellini, Théâtre Mogador 1976 : _Volga,_ Théâtre du Châtelet 1979 : _La Perle des Antilles,_ Théâtre de la Renaissance 1980 : _Viva Mexico,_ Théâtre de la Renaissance 1980 : _Colorado_ Théâtre de la Renaissance 1981 : _Aventure à Monte-Carlo,_ Théâtre de la Renaissance 1981 : _Soleil d'Espagne,_ Théâtre de la Renaissance 1981 : _La Fête en Camargue,_ Grand Théâtre de Saint-Étienne 1981 : _Vacances au soleil_ 1982 : _Le Vagabond tzigane,_ Théâtre de la Renaissance 1983 : _L'Amour à Tahiti,_ Élysée Montmartre 1984 : _Les Mille et une nuits,_ Élysée Montmartre 1985 : _Carnaval aux Caraïbes,_ Élysée Montmartre 1986 : _Le Roi du Pacifique,_ Élysée Montmartre 1987 : _Fandango,_ Élysée Montmartre 1988 : _Aventure à Tahiti,_ Eldorado 1988 : _Rêve de Vienne,_ Eldorado 1989 : _La Marseillaise,_ Eldorado 1989 : _La Belle Otero,_ Eldorado 1990 : _Porto Rico,_ Eldorado 1991 : _Sissi,_ Eldorado 1993 : _Les Belles et le Gitan,_ Eldorado Filmographie partielle 1943 : _Mon amour est près de toi_ de Richard Pottier 1945 : _Le Cavalier noir_ de Gilles Grangier 1945 : _Seul dans la nuit_ de Christian Stengel 1946 : _Trente et quarante_ de Gilles Grangier 1947 : _La Colère des dieux_ de Karel Lamač 1947 : _Les Trois cousines_ de Jacques Daniel-Norman 1947 : _Quai des Orfèvres_ d’Henri-Georges Clouzot 1949 : _Fandango_ d'Emile-Edwin Reinert 1949 : _Marlène_ de Pierre de Hérain 1949 : _L'Ange rouge_ de Jacques Daniel-Norman 1949 : _La Veuve et l'Innocent_ d'André Cerf 1949 : _Ève et le Serpent_ de Charles-Félix Tavano 1950 : _Je suis de la revue_ de Mario Soldati 1951 : _El sueño de Andalucia_ de Luis Lucia Mingarro 1951 : _Andalousie_ de Robert Vernay 1951 : _Rendez-vous à Grenade_ de Richard Pottier 1952 : _Monsieur Leguignon lampiste_ de Maurice Labro 1952 : _Mon curé chez les riches_ d'Henri Diamant-Berger 1952 : _Violettes impériales_ de Richard Pottier 1953 : _La Belle de Cadix_ de Raymond Bernard 1953 : _La Route du bonheu_ de Maurice Labro et Giorgio Simonelli 1955 : _Villa sans souci_ de Maurice Labro 1953 : _La Caraque blonde_ de Jacqueline Audry 1952 : _Le Chanteur de Mexico_ de Richard Pottier 1957 : _L'Irrésistible Catherine_ d'André Pergament 1957 : _Une nuit au Moulin Rouge_ de Jean-Claude Roy 1957 : _C'est arrivé à 36 chandelles_ d'Henri Diamant-Berger 1958 : _Cargaison blanche_ de Georges Lacombe 1958 : _Le Temps des œufs durs_ de Norbert Carbonnaux 1958 : _Tabarin_ de Richard Pottier 1958 : _Sérénade au Texas_ de Richard Pottier 1959 : _Asphalte_ de Hervé Bromberger 1959 : _Messieurs les ronds-de-cuir_ d'Henri Diamant-Berger 1961 : _Ma femme est une panthère_ de Raymond Bailly 1964 : _Paris champagne_ de Pierre Armand 1969 : _La Honte de la famille_ de Richard Balducci Télévision Francis Lopez fut un invité récurrent de l'émission _Les Jeux de 20 heures,_ sur FR3, au début des années 1980. Bibliographie _Francis Lopez, Flamenco : la gloire et les larmes,_ Paris, Presses de la Cite, 1987, 250 p. (ISBN 978-2-258-02035-1) - ouvrage autobiographique Rodrigo Lopez, Daniel Ringold (avec la participation de Philippe Guiboust), _Francis Lopez et ses grandes opérettes,_ s.l., Éditions du Rocher, 1996 (ISBN 9782268024240) « _Dossier Francis Lopez_ », dans Opérette, no 95, 15 avril-15 juillet 1995 Sylvie Février, « _Francis Lopez (1916-1995)_ », dans Encyclopaedia universalis, 1996 Articles nécrologiques dans divers journaux et revues de janvier 1995
@jyttethagaardnielsen3568
@jyttethagaardnielsen3568 3 месяца назад
@@henridelagardere264 Dear Henri, thank you for all your fantastic comments !!!!!!! I wish you a lovely week-end !!!!! Warm greetings from jytte
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Goedemorgen Henri !!!! Als iemand te voet gaat noemen ze dat bij ons: Hij is lopes dus Francis Lopez is Franske zonder fiets ! Ik dank je voor het jaar van de plaat en de info Henri !!!! En voor het interessante verhaal over ,, Seul dans la nuit " ! En natuurlijk mijn dank voor de biografieen van Jacques Pills en Jean Marion en de lijsten met filmsuccessen en film optredens !!! En alle verdere informatie !!!! Dankbare groeten van Henk vanuit het mooie Breda !!!!
@henkgloudemans8886
@henkgloudemans8886 3 месяца назад
Dank voor deze Zee aan informatie en de lijsten met zijn werken en zijn fil en televisie optredens !!!! Henri je bent Amazing !!!!!
Далее
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