@@ungraindelettres C'est bon pour les pervers qui ne s'assument pas. La démocratie c'est aller en assemblée avec son boulcier tel Solon. C'est assumer. La furtivité c'est pichenette. Désolé si mes porpos paraiisent violent, mais Alain Raymond dit Damasio, n'a rien compris... ou plutôt très bien compris une attitude qui est aussi une impasse, celle des autonomes furtifs, des non réalisés, des évanescents (l'évanouissement c'est hyper-intense, c'est le rapport différentiel chez le maître de Damasio, Deleuze). Damasio n'a rien compris. Il est lent comme il le dit lui-même. J'étais Damasien jusqu'en 2014-2016 et puis j'ai compris ma bévue, toute cette pensée contre-révolutionnaire, anti-démocratique voulue par deleuze sous couvert de subjectivité. La subjectivité a besoin de dominer, de manipuler, d'assaissonner-accessoiriser tout ce qu'elle touche jsuq'à le rendre méconnaisable (pas de problème les évènements naissent des accidents alors autant les susciter). Vous voulez les référence sur la perversion de Deleuze, même Lacan lui a donné des médailles. Ils s'invitaient l'un l'autre en 1967 ç Lyon notamment, le nombre de référence au séminaires XI, le livre de mauvaise foi que constitue l'Anti-OEdipe des mots même des deleuziens instituttionnls Damasio ne fait que prolonger l'apophatique deleuzienne celle de l'a-onomal, de l'in-discernable, del 'im-perceptibles, c'est que l'intervalle Deleuze le bourre toujours avec du problèmatique, . L'intervalle c'est l'espace-temps, la fêlure, la fissure, la béance, chez Lacan la coupure-suture. Juste j'ai perdu trop de gens à suivre ces inepties, rencontré trop de pervers qui se reconnaissent entre eux. On ne peut plus lire Lewis Caroll avec la même saveur après metoo ou Colette Guillaumin (Deleuze parlera de morale victorienne). Que dire de Balthus, le frère de KlossoWski, de David Hamilton avec Flavie Flament ? Sans doute, est-ce de l'amalgmae, mais c'est pour cela qu'on souhaite du furtif. Attention je n'ai rien contre le naturisme, la nudité. Mais là c'est autre chose. La furtivité, à a cache cela aussi. Même Mafessoli l'a pratiqué sur sa fille :)
@@anthonym.5292 Ok, j'ai les grandes lignes. Je ne sais pas pour Deleuze, ce n'est pas ce que je vois dans la furtivité de Damasio (j'avais fait cette vidéo sur le roman, pour soulever d'autres problèmes: ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-DurOITtSTY4.html&ab_channel=ungraindelettres), ici j'emploie "furtivité" comme un synonyme possible de "queer", évidemment sans ces connotations. Je vais y réfléchir (mais je m'intéresse surtout aux textes dans leur dimension formaliste, c'est-à-dire aux textes plus qu'à la biographie des auteurs !)
@@ungraindelettres Oui donc forcément on ne peut se comprendre. La furtivilté est celle par rapport aux société de contrôle. Concept fumeux de deleuze car déjà dans les sociétés disciplinaires il y a le contrôle. C'est juste les barrirère de controle qui s'y rajoutent. Et oui, il suffit d'avoir un jet et un yacht pour échapper aux barrières de contrôle mises en place dans les aéroport ou les appontements de ferries de la grande masse. Les très riches sont des furtifs, on peut faire cirucler tout ce qu'on veut sur les petits aérodromes... Je passe. La furtivité est celle par rpaport au pouvoir, à l'état. Mais c'est une pensée avant tout anti-démocratique (de manière évidente avec Deleuze - à cause de la subjectivité - et de manière dérivée avec Damasio qui masque cela par une pensée baroque (on met des rideaux, on fait des courbes... on fait parler plusieurs voix).
