Professeur kham kham bi selles lol mashala je vous suis et jadmire votre pédagogie on a de la chance de tavoir au senegal mais une petite precision magal dou pour magal dieuf dji serigne touba dieul wayé yala lay magal motakh mouné kay lén santeu lé ma yala mak gni nénagnou mot tabaski la ndieukeu utiliser mouné niteu yi meun nagnou si am bénéneu degg degg bou outé ak beuss def ko bida sila tourou magal gneuw pour magal yalla sante ko nguir limou ko défal diadieuf professeur yalna kham kham bi gueun séleu té yala yagal lafi
A Salam'oulaykoum Masha'Allah Mbok mi ... Gathié Ngalamal na say way diour ndakh yarr naniou leu yarine gou bakh Masha'Allah Ndakh Kate ni nga wakhei rafete na lolou sakh yetei nga tei heboulo vertu bou rare leu tey si mim rew Mashallah Yalla na Yalla deff liy geune si bepp mbolo domou adama
On raconte que lorsque Dieu le Très Haut qualifia le trône d’immense par sa parole : « Il n’y a de Dieu que Lui, le maître du trône immense ». L’orgueil s’insinua dans l’âme du trône infatué de ce que Dieu Très Haut n’ait jamais rien créé d’aussi énorme que lui. Sur ce, Dieu créa le serpent nommé Tay-Han, qui entoure sept fois le trône, d’autres disent mille fois, et une grande partie de son corps restait encore. On raconte qu’il avait six cent mille faces pareilles au ciel, chacune d’elle cernait sept fois le trône, d’autres disent mille fois, une grande partie de son corps restait encore. On raconte qu’il avait six cent mille faces pareille au ciel chacune d’elle cernait sept fois le trône. Et pas une seconde ne se passait sans que le trône ne se réfugiât en Dieu contre ce serpent de peur qu’il ne l’avalât; sa tête est faite de perle blanche et son corps d’or, nul ne connaît ce serpent excepté Dieu Très Haut. Il possède mille ailes faites de variétés de perles précieuses, glorifiant Dieu Tout Puissant; et sur chacun des plumes de ses ailes, se tient un ange armé d’une lance en pierres précieuses, exaltant la pureté du Tout Puissant. Et quand ce serpent glorifie son seigneur, sa glorification domine celle des anges; dès qu’il ouvre sa bouche il avale les cieux. Outre ses merveilles que j’ai mentionné ce serpent en possède d’autres. Alors le trône retint sa morgue. A ce serpent également l’orgueil fit croire que rien d’aussi grand que lui n’a jamais été créé : « Le Très Haut a dit: un jour qu’il était entrain de se déplacer, il tomba soudain sur un autre serpent endormi ; il pénétra dans son nez et ressortit par sa bouche sans que ce dernier le remarquât, tellement il était grand ». Ce sont les anges qui lui apprirent l’événement à son reveil. Et lorsque les anges informèrent ce serpent du nom de Lam-Lam, il poursuivit l’impertinent sur une distance équivalant à cinq cent ans de marche, dans la perspective de le rattraper et d’en faire une bouchée; n’ayant pas atteint ses objectifs, il revient à sa place et s’écria: « je ne crois pas qu’il existe quelque être de plus énorme que moi parmi les créatures de Dieu ». Sur ce, Dieu l’exposa à la soif. Il gagna la mer nommée al Majbub pour s’y désaltérer, une grenouille en sortit soudain et dès qu’elle vit le serpent, elle l’entraîna dans la mer et l’avalât. Ensuite elle s’exclama : « Louange à Dieu qui m’as accordé une bouchée de graisse ». Cette grenouille s’appelait Mayhûn. Comme la fierté s’insinuait en elle, la mer lui dit: « Tiens toi tranquille, o Mayhûm, toi et tout ce que contient ton ventre, êtes dans mes entrailles; donc s’il était permis de parler ainsi ce serais à moi de le faire ». Sur ce, Dieu ordonna à un ange de se raser la tête. « O mon seigneur, où est l’eau avec la quelle je me laverai la tête ? » s’enquit l’ange. Et Dieu de répondre vas à la mer nommée alMajbuh ». L’ange y alla et y plongea ses deux mains; il recueillit ainsi toute l’eau de la mer en ses deux mains et en frictionna sa tête, mais seul une motié fût mouillée tandis que l’autre restait sèche. Cet ange du nom de Salfâya-il fut lui aussi saisit par un sentiment d’infatuation qui lui fait croire que rien d’égal à lui n’avait été créé. A son retour de la mer, il trouve debout un autre ange nommé Abdâya-il qui l’apostropha « Te faut il de l’eau pour te laver la tête? ». Oui répondit Sayfâya-il aussitôt Abdâya-il cracha sur la tête de Sayfâya-il et une mer immense s’y forma si immense qu’il submergea Sayfâya-il et se répandit sur une distance égale a un parcours de cinq cent ans. Ceci fait Abdâya-il glorifia Dieu en ces termes: « Gloire à Celui dont la Grandeur rend toute autre grandeur insignifiante ! Gloire à celui qui contraint toute créature à la mort et demeure l’éternel vivant ! Gloire à Celui qui Est Un, Unique, Éternel, qui n’as point engendré n’as point été engendré et qui n’as point d’égal ! ». Il poursuivit « Tel est ton Seigneur et nul autre que lui n’est Ainsi! ». Et Dieu de proclamer « Abdâya-il a dit vrai je suis ainsi ».