What a peculiar budoka Mochizuki was. These are very clearly KSR omote no tachi, but it really has a look of its own. There are different beats (particularly during o gasumi), some breaks no one else does, sometimes the in'yo is strange and disconcerting. The kata is there, but the spirit is so peculiar, too rough at some time, playful at others. It really is a different look than the usual Otake/Sugino we are used to now, though he got it from some of the eight shihan as well so... Really a great archive, merci!
Yes he was peculiar and was less interested in preserving the stylized kata and more trying to explore the intent of the movements. You'll also notice in addition to the changes in timing and technique the distance is a lot closer than TSKSR in many instances. He was also interested in integrating kenjutsu, kendo, judo, aiki jujitsu, jujitsu, kobudo, and even western martial arts by identifying the common denominators in the styles, as well as updating Yoseikan to be a match against modern sports martial arts (more Hiroo who loves boxing, fencing, and karate, than Minoru), so many things look very different from the original source. I'm no expert but my teachers were direct students of Minoru and Hiroo and that is what they explained to me. I hold Shodan in Yoseikan Budo, or Gyokushin Jujitsu depending on who you talk to.
UNE FORME VIVANTE et dynamique de "katas" qui, pratiqués de façon conventionnelle, sont habituellement si barbants. On retrouve ici l'essence même du Budô, à l'opposition de ce qui se fait couramment, à savoir "le kata pour le kata, avec pour seul et unique but le "kata", et comme horizon essentiel::: "le kata"..." Ici on voit les mouvements prendre vie, la distance est réelle et réaliste;;; on voit bien que les lames passent toujours à deux centimètres des corps, ce qui permet de développer des sensations authentiques, et tellement plaisantes. Ce que les pratiquants d'aujourd'hui ignorent pour la plupart, c'st qu'il n'y a pas, qu'il n'y eut pas "UNE" maison-mère officielle (qui a pris le pas sur toutes les autres), mais bien diverses tendances parmi lesquelles chacun a ainsi la possibilité de faire son choix. L'essentiel étant de pratiquer, et d'y éprouver du plaisir, afin que le Cheminement se fasse. La question essentielle n'est-elle pas: "Pourquoi et Pour Quoi pratiquons-nous?" À chacun de trouver sa propre réponse.
Quelle chance qu'il n'ait jamais été nommé Shihan de l'école ! la KSR n'y aurait pas survecu. Sur une autre video ou il essaye de faire du iaï c'est encore pire ! un mélange de Toyama ryu, de Muso Shinden Ryu et de KSR , un vrai salmigondi. A l'époque pour les "ganjin" en quête de l'esprit du "samouraï " et autres romantisme japonisant ça devait faire illusion, les "clients" se bousculaient parait-il, les vraies écoles elles, étaient fermées aux occidentaux.
