On sent son stress, son contrôle qui la rend crispée. Elle aurait à y gagner de se montrer sympa, friendly, tout en ayant bcp de H. Chapeau à Veillon de rester fidèle à lui-même malgré l’antipathie en face
Bonjour, très beau passage, avec un peu d'humour beaucoup de messages... je considère toute personne comme différente! Nous ne sommes pas des robots sortis du même moule! Excellent..chacun fait ce qu'il veut..oui mais il y des horaires tout de même! ... bonne semaine...merci de cecque vous faites !
Dans un monde parallèle, les non-binaires sont oubliés de plusieurs décennies et c'est un punk qui nous explique que son combat n'est pas qu'une mode en citant des arguments identiques à ceux présentés ici.
Il est intéressant de parler d'effet de mode dans ce contexte-là. Oui, les personnes transgenres, la bisexualité et les constructions sociales existent. Mais je pense aussi que c'est devenu aujourd'hui une mode de chercher à s'identifier à ces mouvements pour ne pas être vu comme un ringard, un réac ou un frigide, et ce, surtout chez les ados et les jeunes adultes. Pas sûr que pour un jeune, être un homme hétéro monogame traditionnel soit encore vu comme branché. La société de consommation pousse aussi l'individu à se croire unique et exceptionnel, et ceci dans un but de fractionner la société et de créer des personnes neutres, indifférenciées et consommatrices. Le fait que Silance dise "chacun fait ce qu'il veut et voilà" démontre d'ailleurs bien qu'elle est dans une vision libérale-libertaire radicale qui ne peut pas fonctionner dans une société démocratique. Si je fais ce que je veux, je vais forcément gêner des gens et leur pourrir la vie à un moment ou à un autre, et vice-versa. Toute société repose sur un équilibre entre libertés individuelles et devoirs collectifs. Ensuite, Silance nous parle de « liberté chez les hommes et de harcèlement chez les femmes. » N’est-ce pas absurde de vouloir lutter contre les stéréotypes en amalgamant ainsi la vie des hommes et des femmes ? N’y a-t-il pas aussi une dimension économique et sociale fondamentale qui va définir la qualité de vie d’un homme ou d’une femme ? Si l’on sort d’une logique intersectionnelle qui se veut complexe, mais qui repose en réalité sur une essentialisation mal ficelée de diverses théories issues des sciences sociales, ne réalise-t-on pas alors qu’un ouvrier sera moins libre et plus victime de harcèlement (par son faible statut social et son capital économique limité, il est vulnérable au mépris d’un supérieur hiérarchique) qu’une bourgeoise ? Il faut évidemment défendre les droits des minorités, mais je ne trouve pas non plus acceptable qu'une infirme partie de la population impose sa vision du monde et une forme de censure à la majorité.
J'ai beaucoup aimé votre commentaire. Je partage l'avis que de nos jours on entend souvent les "chacun pense ou fait ce qu'il veut", ce qui empêche en fait tout débat, toute communication ou relation. "J'ai mon avis figé et personne ainsi ne peut le changer". C'est en ajoutant et en assimilant les avis plus éclairé d'autrui que l'on avance et que l'on peut se construire, et par conséquent en révisant les siens. Je suis aussi d'accord qu'à notre époque, on prône régulièrement la liberté individuelle du "je fais ce que je veux", croyant là à une liberté mais au final ce n'est que la conséquence d'une idéologie iliberale et indiviudaliste dont on a extrêmement de la peine à prendre conscience et à sortir.
@@jonathanjaggi7657 Tout à fait. Cette pensée toxique du "j'fais c'que veux" s'avère complètement stérile de par son relativisme. Le principe du débat, c'est de mettre en jeu ses croyances et convictions. A quoi bon "débattre" et discuter si l'on estime que chacun fait ce qu'il veut ? La liberté individuelle est un moyen et non pas une fin en soi. On voit bien que de nombreuses personnes qui suivent la mantra du "j'fais c'que j'veux, c'est ma liberté" sont souvent perdues et n'arrivent pas à trouver de sens à leur existence. L'humain a besoin de se mettre en place des limites et d'instaurer un cadre pour trouver du sens à sa vie.
"Chacun fait ce qu'il veut". Ok très bien, pas de problème. Par contre ces personnes veulent faire changer l'orthographe, veulent un troisième genre sur leur passeport, veulent de nouvelles toilettes, et j'en passe.
@@Tgirlbitch97 « ouin ouin » c’était avant justement et cela vous convenait. Maintenant qu’on milite, qu’on demande et qu’on « sort du placard » c’est « vous » qui « ouin ouin ». Vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Bisous
Aaaah mais alors c'était elle la vilaine psychopathe qui tirait des gueules pas possibles et qui s'est barrée pour bouder durant l'émission de Temps Présent
Son attitude devant le discours de Marc Bonnant était particulièrement ridicule : elle s'est comportée comme une ado boudeuse. Quand on est adulte et qu'on entend un discours qui nous déplaît, on écoute et on émet un avis contraire à la fin, on ne se barre pas en plein milieu de la conversation.
C'est la fille à qui celle-ci ? Insignifiante dans la scène musicale romande mais déjà interviewée à la RTS 😂 Pour de la musique plutôt minable en plus.
@@taniadiaz3876 À titre personnel je ne fais pas de musique. Et il n'y a pas besoin d'en faire pour savoir que le copinage est roi en Suisse. Les labels peuvent monter des starlettes de toute pièce grâce à leur contacts. On tappe des subventions, on place les "artistes" dans des émissions ridicules, dans des festivals etc... mais là c'est tellement mauvais que même avec le forcing la pauvre Silance floppe.
Honnêtement je ressens beaucoup de Diam’s et de Maneskin dans "l’atmosphère" de Silance. Je suis le seul? (Ceci est un ressentiment personnel, pas une critique ni une vérité)