L'article aborde la question de l'homosexualité en Côte d'Ivoire, notamment à Abidjan, en soulignant la montée en visibilité de la communauté homosexuelle, particulièrement dans le quartier de Cocody-Angré. Les membres de la communauté LGBT, appelés localement "WOUBI", réclament plus de droits et une meilleure protection, soutenus par des organisations internationales et des pays comme la France et les États-Unis.
Cependant, cette montée en visibilité est fortement rejetée par une grande partie de la population ivoirienne, majoritairement chrétienne et musulmane, qui perçoit l'homosexualité comme une atteinte à leurs valeurs morales, sociales et religieuses. Pour de nombreux Ivoiriens, l'homosexualité est une pratique "contre-nature", associée à la décadence morale et à une menace pour la société et l'avenir de l'humanité. L'article fait également référence aux positions fermes des autorités religieuses contre l'homosexualité et appelle à l'intervention des pouvoirs publics pour clarifier leur position.
L'auteur préconise l'adoption de lois similaires à celles du Nigeria, du Cameroun, du Sénégal ou de l'Ouganda, qui pénalisent l'homosexualité, pour protéger les valeurs ivoiriennes. Il critique également l'ingérence des ONG occidentales qui défendent les homosexuels en Afrique, tout en rejetant les pratiques traditionnelles africaines comme la polygamie dans leurs propres pays.
En conclusion, l'article exprime une opposition ferme à la légalisation de l'homosexualité en Côte d'Ivoire, appelant à une vigilance accrue, notamment auprès des jeunes, pour préserver les valeurs traditionnelles du pays.
28 сен 2024
