Il y a automatiquement une angoisse de perte, de mort, car se séparer de son histoire et corréler a la valeur qu'on lui donner depuis les premiers âges, sans compter que l'histoire est anagrammer dans la mémoire, avec la partie inconsciente qui répètera inlassablement, c'est une angoisse d'anéantissement sans compter la tristesse de la perte de ce qu'on considérer jusqu'à là comme ayant de la valeur, enfin il me semble
Si l'on existe c'est pour un but , on a un esprit et un corps qu'on a pas fait soi même mais qu'on reçoit , le corps et notre véhicule il obéit à notre esprit . Une fois mort le véhicule usé est fini mais l'esprit est vivant . Les croyants savent qu'on reçoit un autre corps . Autant qu'il soit bien en agissant bien . Les écoles n'enseignent pas cela , le but de la vie n'est pas enseigné , tout ce qu'on nous dit c'est travaille et le monde est malade . Il peut être nocif de dire qu'on a pas de moi , car qu'est ce que les valeurs qu'il faut respecter si on se croit "à part " ?
Bien sûr si l'absence de moi demeure un concept et non une réalité vécue car expérimentée directement, cela est nocif. Il s'git ici d'aller voir de près ce qu'il en est. Lorsqu'il est clairement réalisé qu'il n'y a pas de moi-pilote de l'organisme, il est aussi réaliser que nous sommes Être, sans âge, sans cause, sans sexe, hors limites, et cet Être Est Paix, Joie, Amour, etc. Et cela ne peut pas être nocif.
Bonjour ❤Si nous sommes la conscience, et que la conscience n’est pas dans le cerveau comment expliquer que en cas de malaise ou anesthésie générale, nous sommes plus conscient? Et si nous sommes tous la même conscience, comment expliquer que les personnes qui font des EMI certaines ont des expériences et d’autres non?❤
