@@rqwefqe7144 parce que sur twitter t'as la team ouin-ouin qui dit que c'est pas grave d'être en surpoids alors que ça provoque réels problèmes de santé.
Voir ce sketch comme “grossophobe” (fat shaming) oublie le droit à la satire à l’encontre de la “grossophilie”, i.e. la glorification de la beauté “grosse”, et du déni du problème sanitaire posé par l’obésité. On peut se foutre de la gueule des beaux, des musclés, des intellos, des cons, des gentils et des méchants, des hommes et des femmes, de tous. Ca s’appelle la liberté d’expression bordel.
malheureusement c'est le reflet d'une réalité : malbouffe industrielle, mère célibataire, heures de nuit, pauvreté, individualisme, méchanceté de ses camarades à l'école...
Triste réalité, certaines personnes ne grossisse que peu quand ils sont enfants et en rentrant dans l'âge adulte perdent cette qualité mais garde le défaut de mal manger, ce qui résulte à des personnes en surpoids...
La liberté d'expression nous permet aussi de dire qu'on trouve ce sketch limite et de dire que la qualité d'écriture n'était - pour une fois - pas au rdv. Franchement je les adore, mais là, je croche pas. L'obésité n'est juste un problème physiologique (évidemment que c'est dangereux pour la santé) mais un problème qui émane d'inégalités sociales comme ils ont essayé de mettre en évidence Perdre du poids est un processus lent et fastidieux qui doit se faire par étapes et qui comprend beaucoup de couches (alimentation, sport, sociabilité,...) et autant dire que si on est pas accompagné par un coaching bienveillant et intelligent, c'est la croix et la bannière. Le problème c'est que beaucoup de ces personnes, pour des raisons financières ou de temps, n'ont pas accès facilement à ce genre d'éducation et de structures... En plus, les moqueries quoditiennes et l'isolement social n'incitent certainement pas à faire le premier pas vers des associations car les personnes ont peur de se faire prendre en charge de manière "paternalisante" ou qu'ils ne vont pas être pris au sérieux (oui, je regarde ceux qui commentent "arretez de faire ouinouin" et comme on peut le voir dans ce sketch "mais oui pauvre bout de chou, tu peux réussir, c'est pas si dur"). Enfin bref, j'ai été triggered quoi
Hier je suis aller au magasin de tabac en bas de chez moi. Faisons un petit sondage, j'ai demandé a une personne qui était là si elle supportait bien le masque (car moi j'ai de l'asthme) Il me répond d'un ton condescendant: " je préfère ca que de tomber malade" m'a t il répondu en achetant ses cigarettes. Je me suis permis de lui faire remarquer que sur le paquet il est écrit" fumer tue" (et non pas "pourrait" tuer!!!) Les aliments qui sont remplit d'agents E, d'alu et SUCRE à volonté etc.Ce qui NOUS LE SAVONS TOUS TUE!!. Cela ne dérange pas notre gouvernement ni l'O.FSP. Tout ca est cohérant.
Drôle de constat, quel drame. On a effectivement vu pousser le kfc a lausanne, des fast food à bulle, il y en a un peu partout. Alors ce serait PAS MAL que le pays continue à dire non au fast food.
Mais beaucoup des jeunes adolescents s'y ruent les yeux collés à leur smartphone... C'est un fait. Ils préfèrent s'empiffrer de soda et de merdes bien chères plutôt que de s'installer dans un bistrot sympa, de boire un verre et manger un truc sur le pouce bon et pas trop cher. Ce sont aussi les résultats d'une politique de no tabac, no alcool donc no bistrot pour les jeunes ... j'ai bcp d'élèves de 16-17 ans qui n'hésiteraient pas deux secondes entre passer une heure dans un pub ou plutôt dans un Mc Do.
@@viktordtz2080 au niveau du prix un fast food est très souvent moins cher que de manger dans un bistrot selon mon expérience et je ne pense pas qu'il est mauvais d'y manger de temps en temps tant que ça ne devient pas une habitude. Et je ne comprends pas pourquoi vous associer les problèmes d'alimentation des jeunes avec les téléphones portables visiblement les boomers ne supportent vraiment pas la modernité !
@@noodlesoup9661C'est comme tout, c'est un mode de vie. Des jeunes ou des moins jeunes qui traversent une ville à pied sans regarder une seule fois ce qui les entoure mais uniquement leur écran, j'appelle ça une maladie. Je ne vois pas en quoi, on peut me traiter de boomers (je joue à des jeux de simu sur mon P.C. avec des périphériques assez pointus, je télécharge, etc). Etre accro à son smartphone, c'est à dire ne pas pouvoir boire un verre sans le manipuler 18 fois est une preuve de débilité profonde. Pour le fast food vous faites ce que vous voulez... cela fait des années que je n'y mets plus les pieds. Du coup, la dernière fois que je l'ai fait pour me dépanner, j'ai trouvé ça pire que tout. Comme quoi.
@@viktordtz2080 je suis tout à fait d'accord que de ne pas être capable de lâcher son téléphone est un véritable problème mais ça ne m'explique toujours pas quel est le rapport avec les fast food ?
J'ai beaucoup de peine à comprendre le message de votre Sketch. Vous passez par toutes les caricatures de la personne en surpoids pour balancer un message à la fin sur les statistiques du surpoids en Suisse, alarmant qui plus est car effectivement ce n'est pas que un problème d'apparence mais aussi un problème de santé. Bref c'était juste lourd, dommage vous avez habitués à mieux.
On vit dans une société où tout va de plus en plus vite. On doit travailler de plus en plus, on nous demande plus de rendement, travailler à moins de 100% est très mal vu (à moins d'être une femme et d'avoir des enfants en bas âge, et encore!)... Evidemment que les gens sont en surpoids et sont obèses! Ils n'ont pas le temps pour se faire à manger, ni pour faire du sport... Et évidemment il n'ont pas non plus le temps pour faire à manger à leurs enfants. On ne peut pas blâmer les individus; comme d'habitude, c'est dans le système qu'il y a un problème. Pourquoi une société où on travaillerait tous un peu moins et un peu moins vite ne pourrait-elle pas être possible? Ben oui, si on travaille moins, c'est moins d'iPhones, moins d'avions, moins de voiture, moins d'électricité... Évidemment, mon propos va vous sembler complètement taré, mais ça s'appelle la décroissance. Avec une recherche sur RU-vid ou sur Google vous pourriez apprendre beaucoup de choses à ce sujet.
J'ai le sentiment que ce sketch est peu pertinent et peu subtile. Les causes de l'obésité qui sont abordées le sont de manière tellement caricaturale que ça en enlève l'aspect comique. J'espère que la suite de vos sketchs retrouvera sa finesse :)
@@Guillaume_F Sans oublier une des causes principales qui est le remplacement ethnique de la population, il suffit d'observer un peu pour comprendre que ce ne sont pas les "de souche" qui poussent la moyenne de l'IMC à la hausse. Mais juste pour les causes sociales, ce sont les pauvres qui sont gros, l'aimantation est une education aussi
Il est gênant au possible ce sketch. Votre manière de faire passer les personnes en surpoids pour des attardés qui ne font aucun effort est à vomir. Franchement d'habitude vous me faites rire mais ce truc est pitoyable, vous devriez avoir honte.
Quand Kilian décrit sa situation, on comprend d'où vient son problème. Donc le sketch est dérangeant (il m'a dérangé aussi) mais il donne une explication sociale. Et Kilian devient touchant aussi. Arrêtez de mettre du "...phobe" à tout ce qui est dit lorsque cela vous choque. Qu'une personne un peu "enrobée" subisse des sarcasmes n'est pas admissible. Ne pas pouvoir dire qu'une personne qui ne trouve plus une chaise sur laquelle s'asseoir mais continue à s'empiffrer ce n'est peut-être pas normal, cela est inadmissible. On a le droit de la dire aussi ou de se poser des questions. Cela s'appelle la liberté d'expression. Je le dis: être obèse, c'est moche (pour des raisons sociales, médicales), mais je dis aussi faire croire à un obèse que tout lemonde trouve son état normal comme si de rien n'était est pure hypocrisie. Comme aux USA où on n'a même plus le droit de penser qu'il n'est pas normal de croiser 7 personnes sur 10 qui sont énormes. Cela ne veut pas dire que la personne doit subir des discriminations dans sa vie de tous les jours (sur son lieu de travail par exemple). Comprenez, personnellement, je me fiche complètement, par exemple, de travailler avec une personne obèse, de voyager à côté d'une personne obèse car l'apparence, on s'y arrête deux minutes après on travaille ou on vit avec la personne et le reste ne compte pas. Mais cela ne m'empêche pas qu'il n'est pas normal que cette personne ne puisse pas monter une volée d'escalier à 30 ans. Si on regarde ces Américains qui ne savent plus passer une porte, c'est essentiellement de leur faute. Ils bouffent de la merde (mais mettons qu'ils n'ont rien d'autre) mais cela en quantité astronomique (personne ne leur colle un .38 sur la tempe pour les obliger à prendre un maxi coca plutôt qu'un normal). Donc s'ils sont énormes et moches, je ne me gêne pas pour le penser. Qu'ils ne se remettent même pas en question et bien tant pis pour eux mais qu''ils ne viennent pas pleurer en parlant de "grossophobie". Si tout le pognon qui est dépensé en soins de santé pouvait aller à ceux qui ont "un gros ventre mais parce qu'il est vide", cela me semblerait plus juste. Cela dit, à opposé, une société qui axerait sa politique en établissant des canons sur ce que doit être un corps sain et l'obligation de sport dans l'optique de garder ce corps en bonne santé me répugnerait tout autant.
censé être humoristique, donc drôle, ou pas, selon chacun. On n'a pas tous les même humour. 1er, 2nd, 3ème degré voire plus. (je suis gros de l'intérieur mais pas trop de l'extérieur, par discrétion :-) . 500g par an pendant 40 ans, ça finit par faire, adieu le gabarit "modèle de mode" quand jeune). Ils ne sont pas toujours au top, c'est un art difficile.
