belle histoire contée comme une légende.^^ cependant, que la réalité est différente de ce qui est présenté. la véritable bête était loin d'être un loup-garou, cependant selon les témoignages de bergers (premiers témoins de la bête) sa fourrure roussâtre et sa tête étaient différents d'un loup ordinaire. concernant les victimes, ce sont généralement des femmes et des enfants qui étaient traditionnellement les gardiens des troupeaux bovins. la bête avait tellement terrorisée la région que l'on autorisa aux roturiers le port d'arme. et la prime pour la bête du Gévaudan était soldée à 200 Livres (environ 3688,58 euros) soit 30x plus qu'un loup ordinaire. sa prime est allé jusqu'à 10.000 Livres (184.429,04 euros) l'histoire de la bête du Gévaudan a fait le tour du monde européen. dépassant même les frontières du Royaume de France et les océans. atteignant donc les colonies des Amériques. on a bien entendu essayé de faire des battues, de poser divers pièges. Versailles est allé jusqu'à envoyer un Régiment dans le Gévaudan! mais la bête était impossible à tuer pour de bon. au fur et à mesure que la traque de la bête progressait, l'affaire n'intéressa plus personne. il faudra attendre le 11 Juillet 1767 pour mettre fin définitivement au cauchemar. Jean Chastel est celui qui a vaincu la bête. il reçu 75 Livres pour l'avoir tué. . pourquoi cela fut-il si compliqué de la tuer? en partie à cause de la mauvaise qualité de la poudre et des armes. mais parce que la région du Gévaudan est une région montagneuse et forestière. même en faisant des battus, il n'était pas aisé. sans compter que les battus pouvaient se passer pendant plusieurs jours, rien que pour les organiser. . au final quel est cette fameuse bête? on ne le saura probablement jamais. on dit que ses os sont enterrés quelques part dans les jardins de Versailles. concernant l'identité de cette bête on parle d'un hybride chien-loup ou encore d'une bête venue de terres lointaines.
Mais il me semble qu'après que Jean Chastel a tué le gros loup les attaques ont recommencé peu de temps plus tard non? Je me souviens avoir lu la page wikipédia entière il y a quelques années, c'est une véritable épopée le machin
Il me semblait que l'hypothèse la plus probable était une hyène (qui sont plus facile a dressé que les loup),ce qui expliquerait pourquoi nous avons retrouvé des cadavre décapité (Rappelle : une hyène a assé de force pour broyer les os d'un éléphant ), et des humain qui profitent des méfaits de la bête se déguisé en loup pour commettre des leur méfaits tout en les attribuent à la bête, ce qui expliquerait que certains cadavre féminin est était retrouver dénudée.
Je ne crois absolument pas que Jean Chastel ait tué la bête.... elle ne correspond en rien aux témoiniages..... surtout vu le poids de l'animal, ça n'a pas de sens
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. ( mais en realitée il y a eu 3 autopsie de 3 hybrides chien croisé avec loup quant ils l'annalyse avec le regard de la science moderne). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Super narration comme toujours, mais il y a quelques erreurs, ca n enleve rien au charme du recits que vous avez fait, cependant pour quelqu'un qui connait l histoire de la bete, ca herisse un peu le poil. Comme le gevaudan, c est un "gé" pas un "gué" et les gens pensaient majoritairement que c etait un loup, pas un loup-garou. Mis a part ces erreurs le recit est bien raconté, j attends la prochaine avec impatience 😉
Oui et il était pas question que la « Bête » une fois arrivé à Paris avait était mal conservé du coup sa ressemblé un peut à un gros tas moisi....soit disant que le cadavre serait enterré depuis mais on ne sais pas trop où.....(forcément)
Il faut penser aussi que selon les écrits, et indices retrouvés; la bête pouvait aussi être un animal exotique du style hyéne ou lionne. Aussi, il reste toujours aussi la piste d'un psychopate pédophile/violeur, qui chercherait à attaquer ses victimes; en portant une peau de loup.
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. ( mais en realitée il y a eu 3 autopsie de 3 hybrides chien croisé avec loup quant ils l'annalyse avec le regard de la science moderne). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Sympa l'histoire, plutôt interprété comme un mythe vu les nombreuses inexactitudes, mais ça n'empêche la qualité des dessins et de la narration ! Vivement la prochaine !
Merci pour la Légende de la Bête du Gévaudan ; c'est une histoire macabre et très sombre, certes. Mais mythique. J'espère que vous ferez une vidéo sur Le Picolaton, le Voirloup ou d'autres légendes françaises ; elles sont si peu connus mais qui méritent d'être racontées.
Le Gevaudan n'était pas dans l'Auvergne Actuelle mais juste en dessous dans la Lozère Actuelle mais le Gevaudan devait être sans doute dans l'Ancienne Auvergne je pense !
Ah oui j'ai lu la même chose dans une encyclopédie dans une bibliothèque. J'ai aussi entendu parler de la bête même si je ne suis pas français et que je ne suis pas en France. (Haha elle est vraiment célèbre même chez moi au Maroc) J'adore votre chaîne, salutations depuis le Maroc🇲🇦!
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. ( mais en realitée il y a eu 3 autopsie de 3 hybrides chien croisé avec loup quant ils l'annalyse avec le regard de la science moderne). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Nous avons besoin un film de ça réalisé par Giles Marchand avec Milo Machando Graner, Jean Dujurdain, Golshifteh Farahani, Zar Amir Ebrehami, Mélusine Mayance, Guillaume Canet, Noemie Merlant, et Pauline Burlet
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. ( mais en realitée il y a eu 3 autopsie de 3 hybrides chien croisé avec loup quant ils l'annalyse avec le regard de la science moderne). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Une histoire réelle racontée comme une légende, et cela marche très bien avec cette narration ! C'est juste dommage qu'il y ait des vrais défauts de recherche, comme par exemple la fin : la bête présentée à la cour de Louis XV n'est pas celle tuée par Jean Chastel. Même si ceux connaissant l'histoire ont tiqués sur beaucoup de détails (restes humains dans le ventre, première victime, guevaudan...), cette incohérence à la fin est assez dommage (même dans la narration, on comprend qu'un personnage qu'on connaît pas (Antoine) a tué la bête, tuée précédemment par Chastel) Les illustrations restent quand même géniales pour raconter cette histoire !
Super video et je vous conseille fortement d aller ecoute la chanson du meme nom du groupe powerwolf qui est incroyable (plus exageree et surencherie mais ça c est un delire du chanteur)
Pas vraiment. Le problèmes des histoires c'est quel peuvent être déformer par le temps, un peu comme un "téléphone arabe" et on vas pas ce mentir les gens on aussi tendance à raconté certaine histoire à leur sauce. Comme on dit l'histoire est véritable selon les vainqueurs, ou quelque chose du genre 😅.
@@bouffonmaudit7622 pas faux, les loups semblaient être un vrai problème à cette époque en plus, ça et aussi le fait qu'ils étaient hyper superstitieux... et n'avaient pas la télé.
C'est normal, la peur des loups viscérale, elle est inscrite dans nos gènes. Quand on entend le hurlement lupin la nuit, nos poils se hérissent même si on est des gens très rationnels par ailleurs.
Je connais très bien l'histoire de la bête du Gévaudan pour l'avoir attentivement étudié et je dois dire que cette vidéo est remplie d'erreurs. Par contre ça reste une bonne histoire à se raconter au coin du feu pour se faire peur. Mais ce n'est absolument pas la véritable histoire.
Je veux bien vous donner les faits historiques. 1- La première victime de la bête du Gévaudan n'est pas un homme mais une jeune fille de 14 ans. Jeanne Boulet est la première victime. C'était le 30 Juin 1764. Elle gardait ses vaches près du village de Saint Étienne de Lugdarès et près du village des Hubacs lorsque elle se fit attaquer par la bête. 2- Les paysans n'ont jamais pu quitter leur ferme. Car ils étaient obligés de travailler pour se nourrir. Il ne faut pas oublier que à cet époque il n'y avait pas de congés payés, pas d'allocations, on était payé par apport à la quantité de travail que l'on avait fourni et non au temps de travail. En suite les revenus des paysans de l'époque étaient une vraie misère et ils n'avaient pas les moyens financiers de s'installer ailleurs. 3- L'histoire du paysan Pierre Château neuf, je ne l'ai jamais entendu et je n'ai jamais entendu parler de M Pierre Chateau neuf. Après je peux me tromper. Il faut dire qu'il y'a eu énormément de victimes et de témoins de la bête. On en compte une bonne centaine au moins. 4- Il n'a jamais été fait mention d'un loup garou marchant sur ses pattes arrière. Les gens de l'époque disait plutôt que c'était une bête ressemblant à un loup, mais plus grand qu'un loup ordinaire. 5- Antoine de Beauterne 1er porte - arquebuse du roi Louis XV à été envoyé en Gévaudan pour tuer la bête. (Officiellement) il parvint à tuer la bête et la fit empailler pour la présenter au roi à Versailles. Mais ce qu'il faut savoir c'est que les attaques ont continué encore après le passage de M De Beauterne. 6- Dans aucun loup à avoir été tué, on a retrouvé des restes humains. Donc cette version est fausse. Voilà j'espère avoir répondu à votre question. Cordialement David Held
Une histoire qui alimente beaucoup de théorie. Pour ma part j'adhère à une théorie selon laquelle il s'agissait d'un homme déguisé en bête vu que certaines victimes ont été retrouvées nues, voir même violées. D'autant que les victimes étaient également majoritairement des femmes et des enfants.
Non l’histoire d’un tueur en série est trop fantaisiste surtout que certains témoins confirme avoir vu le bête et c’était bien un animal , la théorie du croisement chien loup dressé par un homme est plus probable
@@asala1857 Peut-être qu'il y a eu les deux. Peut-être qu'un homme a profité de l'affaire pour mettre ses meurtres sur le dos de la bête pour couvrir ses traces. Il faut dire que les victimes retrouvées nues et violées ont de quoi semer le doute.
@@iangmhotmailfr bah en faite pas obligatoire les cadavres laissé par la bête aurait tout simplement pu être souillé par des passants aux pensé lugubres
@@benimpanu4405 plusieurs peut être mais pas une meute. Tout les témoins disent avoir été attaqué par un individu isolé. Déplus j'ai vu les peintures des cadavres des victimes. Elles seraient beaucoup plus dévoré que ça si elles étaient mangé chacun par une meute. Si c'est des loups alors c'est des loups qui ont chacun perdu leur meute
Si nous partons sur un point de vue cryptozoologique, oui il est possible qu'un loup garou soit à l'origine de quelques attaques. Pour l'instant la piste du loup hybride dressé à l'attaque semble plus concret mais selon moi je crois qu'il y est eu plus de 2 bêtes au cour de cette période dont peut-être un loup garou. Les témoins comparèrent souvent la "bête" aux loups, suggèrent donc qu'il ne s'agissait pas de loup à l'origine de ces attaques. Certains témoignages décrits parfois un animal à l'allure féline, mais la piste de la créature canine revient davantage. On ne sait toujours pas se qui c'est passé dans le Gévaudan.
Les bâtisseurs des mondes sont derrière tout ça n'est ce pas ? Pour la théorie, il y'a une explication logique, sauf que en ce temps là la peur était croissante du fait que la population bénéficier de très faibles moyens donc c'était facile pour eux de idéalisé la créature comme ce qu'elle n'était pas.
Pour ceux que cette histoire passionné ou intéresse, je vous joins la meilleure vidéo que vous pourrez retrouver à ce sujet. Hyper travaillée, documentée, vidéo longue mais très très pointue. ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-1GjXsiurLvA.html
Plein d’erreur historiques dans la vidéo. Je vous recommande l’épisode de secret d’Histoire consacré à la Bete du gévaudan, elle y conclu que la bete etait plus probablement un croisement entre un loup et les molosses d’attaque dressés a l’epoque par l’armée romaine d’ou son gout du sang
la Bête du Gévaudan n'a jamais été un dogman ou un loup-garou, puisqu'aucun témoignage de survivants de l'époque ne mentionne avoir vu la bête se dresser sur ses pattes arrière lors de ses attaques.
Rah la vache, quelle horreur d'entendre encore et encore un nom de région mal prononcé !! C'est GÉVAUDAN, pas Guévaudan. Un peu plus de recherches sur le sujet n'auraient pas fait de mal... Terriblement déçue par cet épisode qui parle pourtant d'une histoire de la région où je suis née. J'ai dislike et quitté la vidéo sans la finir.
Ce qui est fou avec cette histoire, c’est la limite entre la légende et l’historique car beaucoup d’événements ont été fait (le chasseur royal, la battue du Marquis etc), le mystère est (je ne trouve pas le mot adéquat)
@@voltirussk4608 non, plus comme si c'était plausible sans l'être, et en même temps surnaturel sans l'être. Pas facile à trouver comme mot, j'avais pensé à "chimérique" mais ce n'est pas exactement ça :/
ON NE DIT PAS GUEVAUDAN MAIS JEVAUDAN et un parti de ce que tu dis est faux la bete n'attaquer qu'en priorité aux femmes et aux enfants au début on a bien pensé que c'était un loups garou mais personne ne l'a décrit comme un loup qui pouvait marcher sur ses pattes arrière
euuuuuuuuuuuh alors en général je trouve tes vidéos très cool mais ''la bête de Gévaudan'' un loup garou? une bête anormalement grosse oui mais un loup garou à part les balles d'argent de Chastel jamais ça a été mis dans les documents....
c'est de la merde. pourquoi un loup garous? 1) les victimes n'ont jamais dit que c'était un loup garous ni qu'il marché sur 2 pattes 2) pourquoi un loup garous une créature qui se transforme en humain? les animaux sont trop faible pour faire peur a l'homme sans intervention humaine sans être humain eu mème, la forme humaine c'est la forme parfaite et indispensable maintenant? quel manque d'humilité! l’intérêt de se genre d’histoire c'est de montrer que l'homme est vulnérable fasse a un animal. quel est l’intérêt de montre un animal qui a besoin d’être humain de temps en temps pour faire peur au humain? la bête du Gévaudan c'est le quadrupède contre le bipède,, l'animal contre l'homme. pas une stupide créature qui besoin de vivre au crochet d'une forme humaine. le loup n'a pas besoin d’être garous pour faire peur il fait peur en tant que lui mème les animaux n'ont pas besoin d’être humain de temps en temps pour faire peur humain, votre loup garous vous pouvez le mettre la ou je pense