Trop bon l'humour ! Les ''Petits Gars'' sont trempés dans une vie qui n'est pas en dehors de la VIE ...ici bas et maintenant avec les moyens que va leur donner leur formation...et Dieu avec eux !
Merci seigneur pour choisir ces jeunes qui viennent des prêtres pour la France.. Car on a tellement besoin... Protège les.. Que la communauté saint Martin grand plus de plus..
Je vois que mon boulot est utile ! C'est moi qui ai balayé la chapelle pour les premières Vepres , et je me suis explosé le dos par la meme occasion .... Enfin bon ! L'internat de notre dame des blanches en UDP avec vous !
Dans le reportage , la dimension pastorale est mise au second plan , en paroisse , visite en EPHAD , maraude.... peut être sont ils tous en propédeutique ce qui à ce moment là pourrait s'expliqué ? pouvez vous me répondre à cettte question ? je vous remercie , union de prière. père Christian Auffret .DDFM de la Savoie
Sans vouloir le moins du monde faire du mauvais esprit, on voit bien que ces jeunes viennent de milieux privilégiés. Et, that is the rub, Dieu n’est-il pas devenu un peu le Dieu des privilégiés auxquels leur éducation a donné le pouvoir de réflexion ; mais la réflexion ne peut-elle pas au contraire nous éloigner du surnaturel ?. Et pourtant, un simple raisonnement par l’absurde me dit que la théorie du « hasard et de la nécessité »ne tient pas debout. Croire que l’homme dans sa beauté et tout ce qu’il a créé de merveilleux ne peut être qu’un simple objet du hasard, serait admettre qu’asseoir un singe derrière une machine à écrire, celui-ci pourrait , par exemple, réécrire l’œuvre entière de Shakespeare ; probabilité bien trop faible pour être envisageable. De la négation du 'non-Dieu', j’en suis donc arrivé à croire en un Dieu créateur de l’univers. Espérant que ma démonstration pourra, sinon inviter certains à rejoindre ces séminaristes, du moins créer une intéressante controverse.
Je ne vois pas en quoi ces jeunes viendraient de "milieux privilégiés"; ayant connu beaucoup de prêtres, ils venaient chacun de situations très différentes l'une de l'autre, parfois plus difficile parfois moins difficile - et, donc non, Dieu n'est pas limité à des "privilégiés" (quoi que ce terme veuille dire).
J'aimerais bien savoir quels diplômes ont les formateurs de cette communauté? J'ai écouté une fois l'argumentation de l'un des formateurs, j'ai trouvé cela très faible Dommage car ces jeunes brûlent leurs meilleures années sur ces bancs
Elements essentiels ? Et les femmes, ou sont les femmes ? Je veux dire : les sœurs, les mères, les formatrices, les ex aussi pourquoi pas...? Où sont-elles ? Ne vous privez pas de la moitié de l'humanité par peur ou par ignorance. Nous pouvons vous apporter beaucoup.
Votre remarque me fait le même effet que si, devant un reportage sur des rugbymen, vous disiez "ok mais ils sont où les footballers ? le foot c'est qd même une grande partie du sport de l'humanité, faut pas s'en priver" !!!!
Laurence, votre remarque est vraie dans l'idée : homme et femme sont différents et complémentaires. L'humanité se retrouverait amputée, amoindrie et défigurée par tout effort (maintenir les femmes dans l'infériorité et la servitude, interdire la virilité, théorie du genre et transsexualisme, etc.) visant à supprimer ce fait essentiel. Mais un séminaire est un lieu de croissance à l'écart des bruits du monde. C'est que ce n'est pas le lieu pour la découverte ou l'approfondissement de l'altérité homme-femme. Ce n'est pas du tout que les femmes soient détestables ! Mais pour des raisons saines et limpides de discipline, épanouissement, maitrise de soi, fraternité, etc. pour des garçons qui se préparent à être prêtres, il vaut mieux rester entre garçons à ce moment. J'ai observé dans des groupes de jeunes, lors de réflexions sur la vocation la mixité créé un malaise. Que ce soit chez les filles ou les garçons, les jeunes sont bien plus en confiance, se sentent mieux compris, se confient plus et se soucient moins du regard de l'autre dans des groupes unisexes que dans de groupes mixtes. Mais rassurez-vous ! Il parait que les séminaristes sont des êtres humains comme vous et moi : ils ont presque tous connu leur Maman, beaucoup ont des grandes ou petites sœurs, certains ont peut-être eu une copine/fiancée avant leur entrée au séminaire... Et puis de toute façon, ils ont Marie et toutes les saintes du calendrier !
@@paulc1057 Intéressante contribution, que je ne partage néanmoins pas. En tant que femme mûre (71 ans), et engagée pour aider, avec d’autres sacristines (pratiquement uniquement des femmes et deux hommes, dont un Jésuite ), je me sens, qu’on le veuille ou non, une personne de second rang. Vous pouvez me rappeler qu’il y a de nombreuses femmes saintes dans l’histoire de la chrétienté, mais que vous le vouliez ou non, nous n’avons rien à dire au niveau de la liturgie, ni de la famille, ni en droit canonique. Et encore, étant engagée auprès de la communauté Jésuite de Bruxelles, je vois que les prêtres vont jusqu’au bout de ce qu’autorise Vatican 2, mais l’essentiel de la liturgie reste fermé aux femmes, sauf en cas de nécessité la distribution de la Sainte Communion. Je vis avec, parce que je crois à la Présence Réelle. Mais cela reste un club d’hommes. Avec ce reportage, certes intéressant, je reste avec le sentiment que la vie offerte à Dieu est un privilège qui vous est réservé, à vous les hommes. Et si autant de jeunes hommes sont attirés par ce séminaire, à mon sens, c’est aussi parce qu’il leur donne le sentiment d’être des élus, qu’on va appeler « « Don « , une appellation réservée à la noblesse, à des élus, chargés de mener le « troupeau », comme si nous n’étions pas capables de réfléchir tant soit peu par nous mêmes. Ce n’est pas de l’orgueil de ma part, mais ce que je ressens comme une interdiction du moindre questionnement . La première qualité qu’on demande à ces séminaristes, c’est l’obéissance, c’est à dire à mon sens, l’absolue impossibilité de réfléchir par soi-même.On sait à quoi cela a abouti: à un risque majeur d’abus en tous genres, spirituels, de pouvoir et/ou sexuels. Dans mes observations, certainement partielles, je constate que la foi profonde des prêtres que j’ai la grâce de côtoyer n’empêche pas le discernement, l’ouverture d’esprit sur le monde, et l’engagement évangélisateur. Les diocèses ont vitalement besoin de vos prêtres et c’est une excellente initiative qu’ils continuent à vivre dans une petite communauté de trois prêtres, pour éviter la solitude et le risque de burn out. J’aime beaucoup le chant grégorien, une sorte de mantra chrétien, des mélodies reposantes, mais je pense que la compréhension des textes, le message qu’ils transmettent sont quelque peu mis de côté. Je comprends que cela puisse séduire, paradoxalement pour la facilité intellectuelle. On est bien, on se laisse bercer tout doucement, et on ressort, apaisé. Mais qu’on ne se pose surtout pas de questions.