"La place des pères dans la famille a toujours été sacralisée" 

J'ai divorcé en 1982 ,à 27 ans ,avec des fils de 2 et 4 ans .Le père s'était fort peu occupé de ses fils . Il les a pris un weekend sur deux (mais pouvait y renoncer la veille car "il était invité chez des copains" )Il les emmenait passer l'après midi dans un bar ! Jamais de cadeau, jamais de vacances et nous ne nous parlions pas car j'avais eu droit à sa grosse main levée sur moi même après le divorce ,donc j'évitais de l'approcher. Il garait la voiture devant la maison et les enfants sortaient. Donc aucune implication dans leur scolarité par exemple ("oh, moi j'ai même pas eu le certif" )Puis une douzaine d'années après il les a complétement "oubliés". Il ne les prenaient plus ( il faut dire qu'il passait les weekends en pleine cambrousse avec sa nouvelle copine et que mes deux ados s'y ennuyaient ferme) ,pas un coup de fil.. Il ne l'ont revu ,adultes, que mort (à 51 ans ,de ses excès) Mais je les ai élevés seule le mieux possible et ils ont de bonnes situations et semblent heureux "quand même " Heureusement que leur père n'a pas été "obligé" de les voir davantage car ça n'aurait surement pas été bon!

L’experte Nadia Daam a raison Une mère, un père, une cellule familiale structurée et structurante, quelle horreur

Et que dire des pères à qui on retire l'autorité parentale après des enquêtes uniquement à charge et que la Justice autorise uniquement des visites "sous contrôle" (sous entendu que les enfants seraient en danger en présence du père) mais que l'Education nationale autorise à enseigner à d'autres enfants ???

Avec de la pédagogie (triste d'en arriver là) il faut absolument rappeler qu'il faut être deux pour faire un enfant. Et si on ne veut pas de la responsabilité parentale, et bien on prend ses dispositions ! Autre chose, il y a beaucoup de pères qui voudraient le rester mais qui en sont empêchés soit par les mères, soit par la Justice...

Un débat qui part d'un bon sentiment et présupposé. Mais qui dérape lourdement sur de l'idéologie que Nadia Daam disent des choses fausses sur la manipulation des femmes qui n'existerait pas soit mais qu'un juge des enfants affirme des choses fausses qui sont vérifiables par ailleurs, cela glace le sang.

La mesure de Macron remets le principe de responsabilité au centre du partage de l autorité parentale. Évidemment en France, pays de l assistanat généralisé et de la " fotalasociété" c'est mal perçu par les " spécialistes de la famille " .

Mais du, quid de la place de Guillaume Meurice dans la famille France inter ?

La réponse à ce débat est simple : définir la fonction paternelle. ( voir Lacan )

C’est le thérapeute qui s’est battu pour qu’il ait sa place mais pas lui !

La figure du père à qui on obéit sur un seul regard réprobateur n'existe pas. Les pères d'antan brillaient par leur absence en délèguant l'éducation à leur partenaire ou exerçaient, souvent, une autorité brutale. L'exposé des problèmes par les trois invités est très intelligent et doit être entendu.

Dans les système patriarcaux (comme l'islam), l'autorité du Père est en effet importante. Et l'Enseignant (émanation d'un système mécréant) est le rival qu'il s'agit de ridiculiser voire plus...

Ou est guillaume meurice

Tellement sacralisé que dans 90% des affaires la garde était donnée aux mères

Allez voir comment ça se passe dans les jaf. Un père ça paie et ça se tait. Paie ta pension et tu sera un bon père. Demande a t investir plus et tu seras un père violent.